Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

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moame
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Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

Message non lu par moame »

Et encore une info toute fraiche que le journal du musulman evitera soigneusement de publier :

http://m.huffpost.com/fr/entry/5362759? ... ref=france


Venez participer à mon podcast "APOSTATS ISLAM" et raconter votre sortie de l'Islam !
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Re: Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

Message non lu par Elementaire »

"le mariage forcé c'est quand on veut pas, moi je voulais MOI" dit le mari...
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Curieuse11
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Re: Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

Message non lu par Curieuse11 »

moame a écrit :Et encore une info toute fraiche que le journal du musulman evitera soigneusement de publier :

http://m.huffpost.com/fr/entry/5362759? ... ref=france
Le pire c'est contrainte à épouser son violeur, c'est à lui que je fais avaler la mort au rats !
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yacoub
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Re: Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

Message non lu par yacoub »

Une agression sexuelle dans un bus à Casablanca fait scandale au Maroc

La scène est choquante. Pourtant, elle est loin d’être inédite au Maroc, où près de deux femmes sur trois sont victimes de violences, selon des chiffres officiels. Dans une vidéo mise en ligne dans la nuit du dimanche 20 au lundi 21 août – mais les faits se sont déroulés il y a trois mois –, une femme de 24 ans est agressée en pleine journée à l’arrière d’un bus, à Casablanca, par quatre jeunes hommes. Hilares, ils lui arrachent les vêtements, touchent violemment ses seins et l’insultent en darija (arabe dialectal marocain). Sur les images, la jeune femme apparaît à moitié nue, en larmes, suppliant ses agresseurs de la laisser partir, sans que le chauffeur ne réagisse.

Depuis sa diffusion, la vidéo a suscité des réactions controversées sur la toile. La plupart des internautes ont posté des messages de soutien à la jeune femme, condamnant fermement les agressions sexuelles envers les femmes, de plus en plus fréquentes au Maroc – et impunies. L’association Touche pas à mon enfant a par ailleurs utilisé Facebook pour publier des captures d’écran de la vidéo afin de permettre l’identification des agresseurs et de « traduire en justice cette horde barbare qui s’est attaquée lâchement à une jeune fille ».

Mais d’autres s’en sont pris à la victime, jugeant sa tenue « indécente » et « provocante ». « Vu comment elle est habillée, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même ! », commente un internaute sur Facebook. « C’est une prostituée. Elle n’a eu que ce qu’elle méritait », écrit un autre.

« Ça fait partie de notre quotidien »

Ces réactions mitigées témoignent des contradictions d’une société tiraillée entre modernité et conservatisme. Dans un pays qui se veut tolérant et où les femmes n’ont pas l’obligation de porter le voile, une partie de la société légitime la violence à leur encontre. En janvier, deux Marocaines blessées lors de l’attentat du réveillon à Istanbul avaient fait l’objet d’une vive campagne d’insultes, accusées d’avoir fêté le jour de l’an « dans un lieu de débauche alors qu’elles sont musulmanes ».

Pour Wafae, 22 ans, « les agressions sexuelles font partie de notre quotidien ». A Casablanca, se déplacer seule est devenu une épreuve de chaque jour pour les femmes. « Que ce soit dans le bus, dans la rue ou même dans un souk plein de monde, on subit des attouchements, des insultes. Les hommes ouvrent leur braguette, collent leur sexe au dos des femmes et vont jusqu’à éjaculer sur nous. En plein espace public ! » Autour d’elles, les témoins restent silencieux. « Ils lèvent les yeux au ciel, font semblant de ne pas voir. Les chauffeurs de bus n’interviennent jamais », poursuit la jeune femme.

Dans ce climat de violence, beaucoup de femmes portent un voile pour se protéger des agressions. « Mais ça ne suffit pas. On a beau porter une djellaba large et un foulard malgré la chaleur estivale, les hommes s’en prennent à nous », déplore Wafae.

Ces agressions sont la plupart du temps ignorées par les autorités. « La loi marocaine condamne le harcèlement des femmes au travail, mais pas dans les espaces publics », avait concédé début août à l’AFP Mustapha Ramid, ministre d’Etat chargé des droits de l’homme.

Mais cette fois, la viralité de la vidéo et le battage médiatique autour ont eu pour effet de faire intervenir les pouvoir publics. Lundi, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a annoncé l’arrestation de six individus âgés de 15 à 17 ans « pour leur implication présumée dans l’agression sexuelle d’une jeune fille dans un bus à Casablanca ».
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yacoub
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Re: Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

Message non lu par yacoub »

Comme le texte risque de disparaître, je le mets en entier:

#SoisUnHomme, la campagne misogyne qui appelle les Marocains à "couvrir leurs femmes"

Société Le 16 juillet 2018


Une campagne menée sur les réseaux sociaux avec le hashtag #كن_رجلا (#Soisunhomme), incite les Marocains à empêcher « leurs femmes » de porter des vêtements « serrés » et des maillots à la plage.

Par Ghita Ismaili

La campagne de boycott, lancée le 20 avril dernier sur les réseaux sociaux avec dans le viseur l’eau de Sidi Ali, le carburant d’Afriquia et le lait frais de Danone, en a inspiré plus d’un. Si certains ont appelé à élargir l’appel au boycott pour y inclure d’autres marques comme Jaouda, Coca-Cola, Maroc Télécom ou encore le festival Mawazine, d’autres y ont vu une opportunité pour faire la promotion de leurs discours intégristes et misogynes.

Depuis quelques jours, le hashtag #كن_رجلا (#Soisunhomme) appelle les internautes marocains à couvrir « leurs femmes » en cette période estivale. Sur Facebook, la première page à avoir relayé ce hashtag s’appelle « La campagne nationale pour réclamer une vraie banque islamique au Maroc » et compte plus de 170.000 membres. Dans un post publié le 9 juillet, celle-ci annonce le lancement de la campagne. « Sois un homme et ne laisse pas tes femmes et tes filles sortir dans des vêtements serrés », peut-on lire dans la publication.

En moins d’une semaine, le post en question a été liké plus de 3.300 fois et partagé à plus de 13.500 reprises.


Plusieurs autres pages ont suivi le mouvement, en partageant des publications appelant les hommes marocains à « couvrir leurs femmes ».


« La campagne #Soitunhomme connaît un succès grandissant et croissant. Aidez-nous avec beaucoup de partages, de publications, de commentaires et de likes », se félicite l’administrateur de la page, qui est visiblement à l’origine de la campagne.

D’autres publications plus récentes, partagées sur la même page, font les louanges en images de « la beauté » du voile intégral. « Les yeux habitués à regarder des femmes nues et impudiques », écrit l’auteur du post en commentaire, citant Abou Ishaq Al Heweny, prêcheur égyptien aux positions radicales pour qui notamment « l’excision est obligatoire ou recommandée ».

La majorité des posts partagés avec ce hashtag sont accompagnés de hadiths ou de versets coraniques.

Si plusieurs internautes défendent le mouvement, d’autres y voient un « pur retour en arrière », une « aberration » ou encore une « propagande de plus de la part des islamistes ». « Seuls les idiots et les hypocrites vont adhérer à cette campagne. La femme est un être humain indépendant. Tu es qui pour décider de ce qu’elle va porter ou non ? », s’insurge une internaute.

Ce n’est pas la première fois que le débat sur les libertés individuelles s’invite au Maroc en saison estivale. En août 2017, une vive polémique avait été suscitée par Omar Al Kazabri, imam de la mosquée Hassan II de Casablanca qui avait alors dénoncé la « nudité obscène » qui selon lui envahissait les villes marocaines « été comme hiver ». « La nudité n’est plus affaire de saison, elle est étalée sous nos yeux, hiver comme été », avait-il estimé dans un message publié sur sa page Facebook, avant de faire marche arrière sur ses propos.

En 2016, l’interdiction du burkini par plusieurs établissements privés marocains avait fait beaucoup de bruit au royaume, poussant le ministre du Tourisme de l’époque, Lahcen Haddad, à donner des explications. « Sur les plages, les gens portent ce qu’ils veulent à condition de respecter les règles de pudeur. Mais pour des raisons d’hygiène qui leur sont propres, certains établissements et maisons d’estivage ne tolèrent pas le burkini. Au Maroc, cet habit n’est pas un sujet portant à polémique, car aucune interdiction n’a émané des autorités publiques. Nous respectons les valeurs de l’islam modéré. Bikini et burkini coexistent sur nos plages », avait-il notamment souligné dans une interview accordée à Jeune Afrique.
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Re: Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

Message non lu par yacoub »

Hauts-de-Seine : le calvaire marocain d’une Française accusée d’adultère

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|Anthony Lieures| 20 juillet 2018, 18h12 | MAJ : 20 juillet 2018, 18h28 |63
Colombes, le 19 juillet 2017. En vacances au Maroc, une Française de 41 ans (qui brandit ici sa convocation au tribunal) a passé plus de 30 heures en garde à vue pour "complicité d’adultère". Elle dit ignorer que son ami était marié. LP/A.L.
Valérie*, 41 ans, a passé plus de 30 heures en garde à vue à Marrakech, après avoir passé la nuit avec un homme qu’elle ne savait pas marié. Cette habitante de Colombes raconte.

Les policiers l’attendaient à la sortie du lit. Une femme de 41 ans a été interpellée, samedi 14 juillet à Marrakech (Maroc), après avoir passé la nuit dans un hôtel avec un homme… dont elle ignorait qu’il était marié.

Interpellée pour « complicité d’adultère », cette habitante de Colombes est restée plus de 30 heures en garde à vue avant d’être libérée dimanche en fin de journée après avoir payé une caution de 5 000 dirhams (environ 450 €).

Son compagnon, lui, a été placé en détention provisoire. Rentrée lundi en France, Valérie* devait comparaître ce lundi devant le tribunal correctionnel de Marrakech. Mais elle a décidé de ne pas honorer la convocation.
Elle dénonce des « conditions déplorables » en garde à vue

« Il est hors de question que j’y retourne, explique cette cadre d’une grande entreprise. Mes droits ont été bafoués, j’ai été abandonnée pendant deux jours dans des conditions déplorables, dans un couloir étroit au milieu des cafards, de femmes enceintes battues… Avec un procureur odieux qui m’a hurlé dessus. »

Celle qui s’est vue prescrire un arrêt maladie d’une semaine se dit « traumatisée ». Si elle savait l’adultère interdit au Maroc, elle assure qu’elle « ignorait » que son ami était marié. « Il m’a dit qu’il était divorcé, assure-t-elle. En fait, j’ai appris ensuite qu’il n’était qu’en procédure et que le divorce devait être prononcé en septembre. »

Mais ce qu’elle dénonce surtout, c’est le peu de soutien qu’elle a obtenu du consulat de France. « Personne ne m’a aidée ! s’étrangle-t-elle. J’ai demandé un traducteur, je n’ai rien eu. J’ai demandé un avocat. La personne de permanence m’a seulement dit d’aller chercher sur Internet la liste des avocats francophones au Maroc… Mais je n’avais plus de téléphone en garde à vue ! »

De son côté, le ministère des Affaires étrangères indique que le consulat, « aussitôt prévenu de la détention de notre compatriote », a pu lui téléphoner et « transmettre ses conseils dans le cadre de la protection consulaire. » Il indique toutefois que « la législation locale n’autorise pas le personnel consulaire à rencontrer une personne en garde à vue. »

« Dans ce genre de cas, qui est loin d’être isolé, on précise aux gens quels sont leurs droits », souffle une source diplomatique qui rappelle à ceux qui voyagent à l’étranger que le site du ministère recense, pour chaque pays, « les spécificités de la loi locale. »
« Les mentalités évoluent au Maroc »

Que risque Valérie si elle refuse de se présenter au tribunal ? « Sa caution ne lui sera pas rendue et elle sera jugée en son absence », explique Khadija Arrach, avocate au barreau de Rabat.

Elle assure que ce type d’affaires n’aboutit pas toujours à une peine de prison. « Elle peut être condamnée à du sursis ou à une amende, cela dépend du dossier et des circonstances. Avec une bonne plaidoirie, j’ai encore obtenu aujourd’hui une relaxe dans une affaire d’adultère en flagrant délit », insiste-t-elle.

L’avocate assure que « les mentalités évoluent au Maroc » sur ce sujet : « Il y a eu beaucoup de polémiques. Beaucoup de voix se sont élevées pour dire que l’on peut faire l’usage que l’on veut de son corps. »

De son côté, Valérie a tenu à écrire à la présidence de la République pour raconter son cauchemar. « Il faut que les gens sachent que les vacances à Marrakech, ce n’est pas toujours tout beau, tout rose, souffle-t-elle. Et que lorsque il y a un problème, personne n’est là pour vous soutenir. »
*Le prénom a été changé.
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Re: Nouveau suicide au maroc apres mariage forcé

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Meurtre de deux touristes scandinaves au Maroc : les suspects arrêtés avaient prêté allégeance à Daech

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ENQUÊTE - Deux jeunes femmes scandinaves âgées de 24 et 28 ans ont été assassinées lundi dernier au Maroc, qui faisaient du tourisme dans le Hauts-Atlas. Quatre suspects ont été arrêtés. Ils avaient prêté allégeance au groupe terroriste Etat islamique.
20 déc. 22:24 - La rédaction de LCI

Elles étaient parties un mois en vacances ensemble et ont été sauvagement assassinées lundi dernier, à une dizaine de kilomètre d'Imlil, dans le sud du Maroc. Depuis le meurtre de deux jeunes touristes scandinaves dans cette région montagneuse isolée et non-surveillée, les autorités marocaines ont interpellés quatre personnes. Quatre individus qui, selon une vidéo dont l'authenticité a été confirmée par le procureur de Rabat, avaient prêté allégeance à Daech.


"La vidéo montrant les individus arrêtés, dans le cadre de l'enquête sur le crime de meurtre des deux touristes étrangères, en train de prêter allégeance à Daech a été enregistrée la semaine dernière, avant l'exécution des actes criminels faisant l'objet de l'enquête", indique un communiqué diffusé jeudi soir par les autorités judiciaires marocaines.
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Meurtre de deux jeunes touristes au Maroc : un suspect arrêté
Qui sont les suspects arrêtés ?

Un premier homme a d'abord été arrêté dans la ville de Marrakech. Les enquêteurs ont d'abord découvert qu'il était lié à un groupe extrémiste". Un avis de recherche portant sur trois suspects alors en cavale a ensuite été diffusé dans la nuit de mercredi à jeudi. Tous les trois, âgés de 27 à 32 ans, sont originaires de Marrakech, selon cet avis, et l'un d'eux a des antécédents judiciaires "liés à des actes terroristes", selon les informations obtenues par l'AFP.


Sur les photos d'identité en noir et blanc diffusées par les autorités, un des suspects est vêtu d'un vêtement long blanc, porte "un kufi" - une calotte blanche sur la tête - et arbore une barbe non taillée. Le deuxième porte également une barbe fournie, tandis que le troisième a un visage maigre cerné d'un bouc.


Selon le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire national (DGST) qui publient des photos, ces trois hommes ont finalement été interpellées dans un autocar.
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