le foot féminin en Arabie

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Lilith
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le foot féminin en Arabie

Message non lu par Lilith »

cette vidéo est très parlante :

http://www.memritv.org/clip/en/3052.htm

tout ce qui intéresse le journaliste c'est de savoir si les fringues ne vont pas tomber et montrer un bout de bras ou des cheveux...

la honte!!!


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yacoub
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Re: le foot féminin en Arabie

Message non lu par yacoub »

On est hanté par le sexe en islam.
Le rut, le rut, le rut.
Mahomet était omnisexuel et force sa oumma à l'être.
Voltaire a dit:
Mahomet a formé son peuple pour trois choses
-la guerre, la reproduction et la prière
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Lilith
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Message non lu par Lilith »

à ce stade, ça confine quand même à la maladie mentale, elles se sont justifiées combien de fois les nanas de s'habiller comme leur autorise leur religion?
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yacoub
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Re: le foot féminin en Arabie

Message non lu par yacoub »

Lilith a écrit :à ce stade, ça confine quand même à la maladie mentale, elles se sont justifiées combien de fois les nanas de s'habiller comme leur autorise leur religion?
Dar El islam est un immense asile psychiatrique comme dans la nouvelle de Poe
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yacoub
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Re: le foot féminin en Arabie

Message non lu par yacoub »

Tant que l'islam existera il continuera de tuer de lapider de fouetter de couper des mains de trancher des pieds des cous de couper des clitoris et des prépuces.

C'est la dure Loi Divine la Charia

Dura Lex Ceda Lex

Le blogueur saoudien, coupable aux yeux de la justice d'avoir "insulté l'islam", a reçu vendredi 50 premiers coups de fouets, sur une condamnation totale de 1000 coups.
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moame
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Re: le foot féminin en Arabie

Message non lu par moame »

lol yacoub il est ou le rapport entre l'intitulé du post et ce que tu as posté?
Venez participer à mon podcast "APOSTATS ISLAM" et raconter votre sortie de l'Islam !
Contactez moi en pv ou sur apostatsislam@gmail.com
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yacoub
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Re: le foot féminin en Arabie

Message non lu par yacoub »

ARABIE SAOUDITE : 48000 CANETTES DE BIÈRES DÉGUISÉES EN CANETTES DE PEPSI…

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En Arabie Saoudite l’alcool est interdite aux yeux de la loi mais, certains s’adonnent à la boisson et les trafiquants recourent à tous les moyens possible pour les abreuver en vin, bière etc pour satisfait leur propre intérêt économique. L’un d’eux a malheureusement été intercepté.

En effet, un camion transportant des canettes normales de Pepsi a été arrêté lorsqu’ après vérification il est apparu que c’était en fait des bières alcoolisées couvertes d’autocollants imitant l’apparence de produit Pepsi raconte un responsable des douanes frontières avec les Emirates Arabes Unis. Se sont en claire 48000 canettes de soda qui contenaient en réalité de la bière qui ont été saisi à la frontière.
Par ailleurs ce n’est pas la première fois que de telles pratiques frauduleuses d’alcool se font remarquée dans le royaume wahhabit qui interdit toutes consommation d’alcool, des sanctions sont donc prévues allant contre les coupables de cet acte. Cependant notons que malgré toutes les mesures de préventions et de corrections l’alcool demeure bien dans ce pays.
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Re: le foot féminin en Arabie

Message non lu par yacoub »

un prince saoudien condamné pour le meurtre de son amant أمير سعودي أدين بقتل عشيقها

https://youtu.be/tWpLStT6tng

https://youtu.be/tWpLStT6tng
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Re: le foot féminin en Arabie

Message non lu par yacoub »

La première plainte contre le régime saoudien sera déposée aux États-Unis ce lundi : 750 milliards de dollars en jeu

L’entrée en vigueur de la loi autorisant les victimes des attentats du 11 septembre à poursuivre en justice l’Arabie Saoudite qui n’a pas été approuvée par le président Barack Obama, mais a été finalement imposée par les élus du Congrès américain, va être «inaugurée» par une des victimes concernées qui va déposer la première plainte ce lundi et va demander le gel des avoirs saoudiens aux Etats-Unis. Il y a quelques mois, alors que la crise entre les deux pays n’en était qu’à ses débuts, le département du Trésor américain avait révélé que 116,8 milliards de dollars appartenant à l’Arabie Saoudite étaient injectés dans l’économie des Etats-Unis. L’Arabie Saoudite était prévenue : dès qu’ils ont su que les 28 pages classifiées du rapport officiel sur le 11 septembre étaient «accablantes» pour le régime saoudien et que la perspective d’être traîné devant les tribunaux américains pour avoir financé Al-Qaïda devenait inévitable, les monarques qui règnent à Riyad avaient menacé de retirer en représailles leurs actifs aux Etats-Unis, évalués à 750 milliards de dollars.

Les Al-Saoud ont grandement besoin de cet argent pour faire face aux difficultés économiques sans précédent provoquées par la chute vertigineuse des prix du pétrole depuis 2014. Une crise aggravée par l’intervention armée dans les guerres de déstabilisation menées par groupes terroristes mercenaires interposés en Syrie, et directement contre le Yémen, en dirigeant une coalition de pays arabes soutenue par les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni, au prix de lourdes ponctions dans les caisses du royaume saoudien.


Mais, maintenant, ce que la famille des Al-Saoud devra se résoudre à envisager, c’est plutôt qu’un juge ordonne le gel des avoirs saoudiens à titre conservatoire. C’est une pratique juridique courante aux Etats-Unis. Pour rappel, la première riposte de l’administration américaine aux attentats de New York et Washington du 11 septembre 2001, a été, à peine quelques jours après, le décret présidentiel du 24 septembre, par lequel Georges W. Bush avait ordonné le gel des avoirs financiers de vingt-sept individus et organisations présumés «terroristes». Mais l’objectif, alors, était de priver les terroristes de leurs fonds qui servent à leurs activités criminelles.

Le gel contre les avoirs détenus par les financeurs ou les acteurs du terrorisme fait partie du dispositif de lutte antiterroriste adopté par de nombreux pays confrontés à cette menace. Il permet de geler les avoirs d’une personne qui «commet ou tente de commettre des actes de terrorisme, y participe ou les facilite, ainsi que ceux qui les financent». Récemment, le gouvernement belge a gelé les avoirs de dix personnes soupçonnées d’être en lien avec des activités terroristes, et plus précisément avec les attentats de Bruxelles et de Paris. La Belgique a mis en application un arrêté royal sur la lutte contre le financement du terrorisme, datant de 2006. Tous les fonds et ressources économiques de ces dix personnes sont gelés et il est interdit de leur prêter de l’argent.

C’est ce qui risque d’arriver aux Al-Saoud qui n’ont pas pu bloquer ce processus comme ils l’avaient fait en juin dernier, en faisant pression pour imposer à l’ONU de retirer l’Arabie Saoudite de la liste noire des pays violant les droits des enfants. La coalition arabe menée par l’Arabie Saoudite avait été placée sur la liste noire des pays violant les droits des enfants, pour avoir provoqué la mort de centaines d’enfants des suites de leurs frappes aériennes contre le Yémen. Des diplomates à l’ONU avaient fait savoir que l’Arabie Saoudite avait menacé de couper des financements à l’Office des Nations unies qui aide les réfugiés.

Houari Achouri
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Re: le foot féminin en Arabie

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Convoi de sénégalaises en Arabie saoudite pour «esclavage sexuel» : le réseau de proxénètes reprend du service
L’affaire des trafiquants de femmes qui convoient des candidates à l’immigration en Arabie Saoudite pour les vendre comme des esclaves avait défrayé la chronique en 2013 au Sénégal quand les médias l’avaient relayée. La Division des investigations criminelles (Dic) s’en était même saisie pour mettre la main sur les cerveaux. Après 2 ans d’accalmie, le réseau de trafiquants de Sénégalaises dans les pays arabes reprend du service. Le témoignage d’une femme domestique sénégalaise, qui vit ce calvaire en Arabie Saoudite, remet cette affaire au goût du jour








Entre janvier et mai 2015, ce sont des dizaines de filles qui ont été convoyées en Arabie saoudite sur la base d’une immigration légale. Mais en réalité, il s’agit d’un vaste réseau de trafiquants de femmes dont leurs cibles sont des Sénégalaises, candidates à l’immigration pour les pays arabes.

Avant-hier l’une d’elles, prêtons lui le nom de Coumba pour respecter son anonymat, s’est confiée à la rédaction du quotidien Grand-Place pour crier à l’aide. «J’appelle au secours pour pouvoir fuir de la maison où je me trouve. On est séquestrée ici et on nous traite comme des esclaves …», raconte Coumba au bout du fil, la voix tremblotante.

Le désespoir de cette fille, la vingtaine, qui vit à Ryad et qui nous a joints par l’intermédiaire d’un confrère, se sentait dans sa voix. Cette fille confie avoir profité de l’absence de son patron «maître» pour prendre le téléphone afin de saisir la presse sénégalaise.

Coumba raconte sa vie au quotidien dans la maison de son patron : «On nous bat, on ne nous paie pas» «En venant ici, je pensais à un travail décent comme domestique. Mais en réalité, on m’a amenée ici pour être une esclave. Je suis la bonne à tout faire pour mon patron saoudien. Et nous sommes beaucoup de filles à vivre ce calvaire. On nous bat, on ne nous paie pas», témoignage Coumba. Qui lâche, en sanglot : «je suis traitée parfois comme un objet sexuel par mon patron».

Par peur d’être surprise, Coumba, qui guette, certainement, l’arrivée de son maître a pu expliquer, un peu avant de raccrocher le téléphone brusquement, comment elle a dé- barqué en Arabie Saoudite pour atterrir entre les mains de son patron devenu son maître.

En effet, Coumba fait partie de ces centaines de femmes sénégalaises prises au piège par des convoyeurs sénégalais. Le mode opératoire est simple: «Les trafiquants, qui sont en relation avec leurs clients saoudiens qui leur font part de leur volonté d’avoir des domestiques, choisissent des femmes prêtes à travailler en Arabie Saoudite et leur trouvent le visa. Ils promettent à ces dernières un emploi pour un particulier saoudien avec un bon salaire sur la base d’un contrat».

Selon le témoignage de Coumba, «dès leur arrivée en Arabie Saoudite, leur nouveau patron, en présence de leur convoyeur, leur fait signer un contrat dont elles ne comprennent rien des termes, car écrit en arabe».

Trompées, elles sont amenées dans des régions lointaines pour «être utilisées comme esclaves», alors qu’elles étaient sensées travailler chez des particuliers à Ryad. Une fois entre les mains de leur maîtres, les voilà qui perdent toute leur dignité et sont coupées du reste du monde.

«On a confisqué mon passeport, ma carte d’identité et le té- léphone que j’avais amené avec moi. Je ne suis plus en contact avec ma famille», explique Coumba qui fait partie d’un groupe de filles convoyées au mois de janvier dernier en Arabie Saoudite.

Des ramifications dans la sous-région : un réseau de 3 délinquants dont un saoudien démantelé

Comme au Sénégal, ce trafic de filles dans les pays du Golfe, s’est développé dans la sous-région. Au mois d’avril dernier la Division des investigations criminelles de la police nationale du Burkina Faso a démantelé un réseau de 3 délinquants, dont un saoudien spécialisé dans la traite des personnes principalement des jeunes filles.

Ces individus s’apprêtaient à convoyer 17 filles âgées entre 15 et 26 ans, dont 5 sont encore mineures. Avec les enquêtes, des ramifications du réseau ont été identifiées en Côte d’Ivoire, en Inde, en Indonésie, au Sri Lanka et en Arabie Saoudite.

Le trafic des sénégalaises ne date pas d’aujourd’hui : la Dic suit l’affaire depuis 2013

En 2013, la Division des investigations criminelles s’était saisie de ce genre d’affaire suite aux témoignages recueillis par notre confrère Mamadou Bitèye à l’époque journaliste à Walfadjri et qui avait fait l’objet d’une émission.

La Dic avait même auditionné 2 filles vendues comme esclaves qui s’étaient échappées des griffes de leurs maîtres saoudiens et qui ont eu la chance d’être rapatriées. La presse avait, à l’époque, relayée le témoignage d’une des Sénégalaises domestiques en Arabie Saoudite qui, selon elles, sont violées. L’une d’elles témoigne qu’elle servait d’objet sexuel au fils de son maître.

En 2012, aussi la presse avait relayé le cas de 2 ressortissants saoudiens qui étaient activement recherchés par les limiers de la Dic suite à une correspondance adressée par l’ambassade du Sénégal en Arabie saoudite au ministère de l’Intérieur.

Dans ses notes, le diplomate sénégalais fait parvenir aux autorités sénégalaises les témoignages de sénégalaises qui exercent comme employées de domicile qui se sont faites berner par leurs convoyeurs.

Ces derniers, 2 saoudiens, qui logeaient dans un hôtel de la place ont pris la poudre d’escampette avant que les redoutables enquêteurs de la Division des investigations criminelles ne fassent une descente sur les lieux.

Ce trafic, qui semblait observer un temps de pause, a, d’ailleurs, repris ces derniers mois avec le convoi de dizaines de filles sénégalaises, presque toutes la vingtaine, selon Coumba. «On était plusieurs filles à partir au mois de janvier, d’autres étaient programmées pour les prochains mois.

Il y avait même des diplômées, car on espérait que c’est un travail avec un bon contrat. Alors qu’on ne voit même pas la couleur de notre salaire. Notre patron le donne à celui qui nous amené ici», raconte Coumba avec amertume au bout du fil.

BOUBACAR SEYE, PRESIDENT DE «HORIZON SANS FRONTIERES» «ELLES TRAVAILLENT COMME ESCLAVES DANS TOUS LES PAYS ARABES»

La situation des femmes africaines et sénégalaises, en particulier, n’échappe pas aux organisations de défense des immigrés. Comme pour confirmer le témoignage de Coumba qui a joint la rédaction de Grand-Place, le président de l’Ong Horizon sans frontière déclare qu’«en réalité, leurs parents pensent qu’elles travaillent comme des domestiques dans les maisons, mais en réalité elles sont vendues comme des esclaves».

«Il s’agit d’un réseau très organisé de trafiquants, les cerveaux de ce trafic sont des gens qui ont eu à séjourner dans les pays arabes et qui ont beaucoup de contact dans ces pays. Ils font croire aux femmes qu’elles leur font trouver un travail, alors qu’ils sont là pour recruter des esclaves au profit de leurs clients», révèle Boubacar Sèye. Le président de l’Ong «Horizon sans frontières» a d’ailleurs reçu, il y a un mois, les parents d’une fille qui est actuellement en Arabie Saoudite.

Ces parents, qui n’ont plus de nouvelles d’elle, se sont approchés de lui pour faire rapatrier la fille. «Je les ai orientés au ministère chargé de l’immigration. Des filles qui voulaient immigrer, elles aussi, en Arabie Saoudite sont venues me voir je les ai dissuadées, mais elles ne semblaient pas convaincues».

M. Sèye estime, par ailleurs, que «c’est l’occasion de poser le débat sur la féminisation du flux migratoire. Beaucoup de femmes immigrent dans les pays arabes, alors que là bas elles ne bénéficient d’aucune protection».

Le président de l’Ong «Horizon sans frontières» explique que la situation que vivent des filles en Arabie Saoudite est pareille voire pire dans les autres pays arabes. «Elles vivent pire au Liban», se désole-t-il.
Grand Place
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