Finkelkraut : vendre le sionisme grace a la shoah...

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yacoub
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Re: Finkelkraut : vendre le sionisme grace a la shoah...

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Les aventures de «Bibi» Nétanyahou avec la justice par Etgar Keret
Par Etgar Keret, Ecrivain — 7 février 2017 à 17:46 (mis à jour à 18:01)
Pancartes lors d’une manifestation appelant à la démission de Benyamin Nétanyahou après la révélation d’enquêtes sur des affaires de corruption, le 14 janvier, à Tel-Aviv. Photo Baz Ratner. Reuters
Nétanyahou semble être devenu le personnage d’une série à rebondissements mais la démission du gouvernement et la préparation de nouvelles élections est la seule manière de savoir si les Israéliens sont prêts à suivre les prochains épisodes ou s’ils préfèrent changer de programme.

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Ces derniers temps, je suis souvent tombé sur des gens surpris par les attaques incessantes de Benyamin Nétanyahou contre la police et le conseiller juridique du gouvernement. Mais pourquoi donc, se demandent ces gens, continue-t-il à inventer des théories conspirationnistes auxquelles même ses électeurs ne croient plus, alors qu’il pourrait tout simplement se taire ?

Le problème est que Nétanyahou ne peut pas se permettre de se taire. Il n’est sûrement pas le premier Premier ministre à être mis en examen, mais il est bien le premier «Premier ministre à subir tant de mises en examen simultanées» dans un spectre aussi vaste d’affaires de corruption. Comme Dany Dean, le petit héros israélien d’une série de livres pour enfants, Nétanyahou aussi est le personnage d’une série populaire à rebondissements multiples. Et comme dans toute bonne série, l’important est la variété. Ainsi assistons-nous aux aventures de «Bibi» à la maison (l’examen des fausses factures des résidences du Premier ministre) ; Bibi et ses amis (la liste de cadeaux offerts par ses amis millionnaires) ; Bibi et les journaux (sa proposition d’aider un journal important en échange d’une couverture positive de son action) ; Bibi et les sous-marins (l’achat illégal de sous-marins) ; Bibi à l’armée (le rapport du contrôleur d’Etat l’accusant de dissimuler des informations devant son cabinet) ; et même Bibi à Paris (détention de fonds non déclarés, provenant d’un obscur millionnaire français).

La conclusion à en tirer est simple : soit il s’agit de conspiration, soit le joyeux suspect pisse du haut de son plongeoir, non seulement sur toutes les normes publiques, mais veille aussi à arroser tout ce qui est autour. Car si Nétanyahou ne criait pas sur tous les toits que les deux représentants de la police et de la justice - par ailleurs nommés par lui - veulent absolument sa peau pour des raisons obscures liées à l’extrême gauche, alors il reconnaîtrait par son silence que toutes ces enquêtes diverses et variées sont largement justifiées.

Le problème est que même si nous suivons Nétanyahou dans sa théorie du complot, il y a des faits dont lui-même reconnaît la véracité : il a bien reçu des cadeaux d’une valeur de centaines de milliers de shekels, sans les avoir déclarés comme il se doit ; il a bien promis au propriétaire d’un grand quotidien qu’en échange de son soutien journalistique, il userait de son influence pour réduire la diffusion du journal concurrent ; journal au sujet duquel il avait déclaré par le passé qu’il n’entretenait aucun lien avec lui et n’avait aucun pouvoir sur lui. S’il admet donc que ses conversations avec le propriétaire du journal ne sont pas inventées (il confirme que les enregistrements fabriqués par lui sont authentiques) et que les cadeaux ont bien été donnés et reçus, cela revient à reconnaître la plupart des faits pour lesquels il a été mis en examen.

Mais dans le même temps, il prétend que son comportement n’a rien de criminel. Et la question est alors de savoir ce que c’est : un comportement honnête ? Conforme ? Respectueux des règles de citoyenneté ? Non, dira Nétanyahou, mais cela n’a jamais empêché personne de m’élire. Sauf qu’aux dernières élections, toutes ces affaires n’existaient pas encore. Or, en admettant le scénario proposé par l’intéressé et selon lequel il ne serait pas coupable, mais simple menteur, exploiteur et hédoniste, victime des frustrations d’une gauche diabolique, la question est de savoir s’il peut encore prétendre que tous ceux qui ont voté pour lui il y a deux ans, voteront encore pour lui aujourd’hui ?

Il n’y a qu’un seul moyen raisonnable de répondre à cette question : la démission du gouvernement et la préparation de nouvelles élections. C’est la seule manière de savoir si le public israélien souhaite que la prochaine aventure de la série à rebondissements soit la réélection de Nétanyahou (avec l’apparition de Donald Trump en invité vedette) ou la démission de Netanyahou.


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yacoub
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L'ennemi de l'humanité est l'Arabie Saoudite qui a engendré ce grand monstre qu'est PBSL. Trump doit dégommer le gouvernement de ce pays et raser la Ka'aba.

Lien : https://www.weezevent.com/trump-islamis ... -et-israel

Dans le cadre de son cycle de conférences, TAL Business School organise sa 3ème conférence-débat sur le thème suivant :

Trump & islamisme : quel avenir pour la France et Israël ?


La conférence sera animée par Bernard KOUCHNER, fondateur de Médecins du Monde et ancien Ministre des Affaires Étrangères et Frédéric ENCEL, professeur de géopolitique et directeur de la chaire Franco-Israélienne de Relations Internationales* de TAL Business School.

Après la conférence avec Daniel SHEK et celle de Philippe VAL, qui ont réuni plus de 300 personnes, ce nouveau rendez-vous de la Chaire FIRI de TAL Business School traite d’un sujet incontournable, autour de deux personnalités d’envergure.

Elle se déroulera le mardi 28 mars 2017 à 19h00 précises, dans l’enceinte du Grand Amphithéâtre de TAL Business School.

La conférence est gratuite, et sera suivie d’un cocktail avec les intervenants.

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RÉSERVATION RECOMMANDÉE
Lien : https://www.weezevent.com/trump-islamis ... -et-israel

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*La Chaire FIRI, dirigée par Frédéric Encel, a pour vocation de faire connaître et appréhender les réalités du monde contemporain, tant sur les plans sociétal, économique, institutionnel, géopolitique que culturel. Elle accueille, tout au long de la saison 2016-2017, des personnalités influentes telles que Alain Finkielkraut, Philippe Val, Bernard Kouchner ou encore Rama Yade.

TAL Business School
Grand Amphithéâtre
26, Reading, Ramat Aviv, Tel Aviv
Accès par l’entrée principale du lycée “’Alliance”
Parking à disposition
info@tal-bs.com – 053-708-4776
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Georges
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Re: Finkelkraut : vendre le sionisme grace a la shoah...

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Des personnalités signent un virulent manifeste «contre le nouvel antisémitisme» en France

Par AFP — 22 avril 2018 à 10:41

Plus de 250 personnalités signent un 'manifeste contre le nouvel antisémitisme' en France, dénonçant un 'silence médiatique' et une 'épuration ethnique à bas bruit' dans certains quartiers

Plus de 250 personnalités signent un "manifeste contre le nouvel antisémitisme" en France, dénonçant un "silence médiatique" et une "épuration ethnique à bas bruit" dans certains quartiers Photo LOIC VENANCE. AFP


Des personnalités signent un virulent manifeste «contre le nouvel antisémitisme» en France

Trois cents personnalités signent un manifeste «contre le nouvel antisémitisme» en France marqué par la «radicalisation islamiste», en dénonçant un «silence médiatique» et une «épuration ethnique à bas bruit» dans certains quartiers, dans Le Parisien de dimanche.

«Nous demandons que la lutte contre cette faillite démocratique qu’est l’antisémitisme devienne cause nationale avant qu’il ne soit trop tard. Avant que la France ne soit plus la France», lit-on dans ce texte signé par des personnalités politiques de droite comme de gauche (Nicolas Sarkozy, Laurent Wauquiez, Manuel Valls, Bertrand Delanoë...), des artistes (Charles Aznavour, Gérard Depardieu...), des intellectuels, des responsables religieux juifs, musulmans et catholiques.

«Dans notre histoire récente, onze Juifs viennent d’être assassinés - et certains torturés - parce que Juifs par des islamistes radicaux», écrivent-ils, en référence à l’assassinat d’Ilan Halimi en 2006, la tuerie dans une école juive de Toulouse en 2012, de l’attaque de l’Hyper Cacher en 2015, de la mort par défenestration à Paris de Sarah Halimi en 2017 et, récemment, du meurtre d’une octogénaire dans la capitale, Mireille Knoll.

Cette dernière a été retrouvée morte le 23 mars dans son appartement, le corps lardé de coups de couteau et en partie carbonisé. Plusieurs milliers de personnes ont participé à «une marche blanche» contre l’antisémitisme après ce meurtre, pour lequel le parquet de Paris a retenu le caractère antisémite.

«Les Français juifs ont 25 fois plus de risques d’être agressés que leurs concitoyens musulmans», lit-on dans ce manifeste. «Dix pour cent des citoyens juifs d’Ile de France -c’est-à-dire environ 50.000 personnes- ont récemment été contraints de déménager parce qu’ils n’étaient plus en sécurité dans certaines cités et parce que leurs enfants ne pouvaient plus fréquenter l’école de la République. Il s’agit d’une épuration ethnique à bas bruit au pays d’Emile Zola et de Clemenceau», accusent les signataires.

«L’alibi» de l’antisionisme

La «terreur» d’un antisémitisme meurtrier «se répand provocant à la fois la condamnation populaire et un silence médiatique que la récente marche blanche a contribué à rompre», estiment-ils. Le manifeste relève que «la radicalisation islamiste – et l’antisémitisme qu’elle véhicule - est considérée exclusivement par une partie des élites françaises comme l’expression d’une révolte sociale (...)». En outre, «au vieil antisémitisme de l’extrême droite s’ajoute l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des juifs en victimes de la société», assène le texte. «La bassesse électorale calcule que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif», accusent les signataires.

Ciblant principalement ce «nouvel antisémitisme» qui sévit dans les quartiers populaires sous l’effet d’un islam identitaire voire radical, les signataires demandant «que les versets du Coran appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés de caducité par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémitisme catholique aboli par (le concile) Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime».

Actes antisémites en repli, faits violents en hausse

Les actes antisémites ont été pointés en repli en 2017 (-7%) pour la troisième année consécutive, selon les données du ministère de l’Intérieur. Mais cette baisse globale masque l’augmentation des faits les plus graves (+26% des violences, incendies, dégradations, tentatives d’homicide...). La communauté juive, qui représente environ 0,7% de la population, est la cible d’un tiers des faits de haine recensés.

Dans son dernier rapport, la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) notait une «persistance des préjugés antisémites traditionnels liant les juifs à l’argent, au pouvoir et leur reprochant leur communautarisme». Face à cette situation, le gouvernement a présenté en mars un deuxième plan (2018-2020) contre le racisme et l’antisémitisme, en promettant une lutte implacable contre les «torrents de boue» qui se déversent sur internet.

La publication de ce manifeste accompagne la sortie mercredi prochain d’un ouvrage collectif, «Le nouvel antisémitisme en France» (Albin Michel), rassemblant les contributions d’une quinzaine de personnalités dont le philosophe Pascal Bruckner, l’ancien ministre Luc Ferry et l’ex-directeur de Charlie Hebdo Philippe Val.
AFP
Source Libération
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Antisémitisme : plus de 300 personnalités dénoncent "une épuration ethnique à bas bruit" en France
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DISCRIMINATION - 300 personnalités, parmi lesquelles Charles Aznavour, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls ou Michel Drucker, dénoncent dans "Le Parisien Dimanche" un "nouvel antisémitisme" et une "épuration ethnique à bas bruit" dans certains quartiers.
22 avr. 08:17 - La rédaction de LCI

"L’antisémitisme n’est pas l’affaire des Juifs, c’est l’affaire de tous." Ainsi commence le "manifeste contre le nouvel antisémitisme", rédigé par Philippe Val et signé par plus de 300 personnalités venues de divers milieux : politique (Nicolas Sarkozy, Laurent Wauquiez, Bertrand Delanoë, Manuel Valls, Bernard Cazeneuve), culturel (Gérard Depardieu, Charles Aznavour, Françoise Hardy, Pierre Arditi, Michel Jonasz), médiatique (Michel Drucker, Bernard de la Villardière, Laurent Bouvet, Laure Adler, Marc-Olivier Fogiel), ou religieux (Mgr Joseph Doré, le Grand Rabbin Haïm Korsia, l'imam Hassen Chalghoumi).


Pour ces signataires, la France "est devenue le théâtre d’un antisémitisme meurtrier. Cette terreur se répand, provoquant à la fois la condamnation populaire et un silence médiatique que la récente marche blanche a contribué à rompre". Ils évoquent dans leur manifeste une "épuration ethnique à bas bruit" dans certains quartiers.
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