Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

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dexter
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Re : Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

Message non lu par dexter »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_de_Camp_David_II

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sommet_de_Taba

Il faut que tu comprenne qu'une négociation n'est pas une capitulation sans condition, surtout quand on a gagné une guerre défensive...
On ne déclare pas une guerre sans risque si on la perd (dailleur ce serait indécent), la sysie devait le savoir.


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torabora
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Re : Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

Message non lu par torabora »

je t'ai dit mille fois je ne lis pas les liens Web ! j'aimerai avoir ton raisonnement !
le dernier rappel : c'est l'ONU qui a créé Israel = OK?
c'est l'ONU quia prévu un morceau de terre pour les palestiniens = OK?

Bon, appliquons les décisions de l'ONU Bordel ! c'est simple !

pour grantir ça, il faut consituer une force internationale qui a le droit de frapper par force toute partie (israel, palestine, syrie) qui ne respecte pas ça !
vous êtes d'accord?

Mais israel a refusé la force internationale à Gaza ET AILLEURS ! pourquoi à ton avis? Il ont pas confiance aux européens et US? nan !

Mais puisque tu utilise "On" pour parler d'israel, je sais à qui je parle maintenant, ce n'est pas un apostats maghrébin, ni à un européen bien blanc, il s'agit plutôt d'un Pieds noir rejeté par les Alégrien pendant la guerre ! c'est les plus dangereux et les plus européens plus que les européens eux même !

je te comprends, rejeté làbas et encore ici ! c'est dur !
je te conseille de ne pas utiliser "on" , quand tu parle d'Israel, c'est si ton pays va combattre labàs ! Moi la palestine n'est pas mon pays, mais l'injustice et le silence des pays qui ont massacré les juif ... M'enerve !
dexter
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Re : Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

Message non lu par dexter »

On est une figure de style, tu remarqueras que je l'utilise aussi quand je parle de la syrie juste apres. Je serais un syrien israelien? :lol:
On sert a se mettre dans la position de celui dont on parle.
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Re : Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

Message non lu par torabora »

Tu n'as pas utilisé "On" quand tu as parlé de la Syrie ! mais quand tu as palé de la guerre gagnée par Israel !!!! Je sais de quoi je parle et je sais la fonction de "On" en langue française ! dans ton cas ton "on" remplace le "nous" (israeliens) et "je" le sioniste !

Dis moi menteur ou t'as utilisé On quand tu parle de la Syrie ? t'as utiliser On pour parler d'Israel ! point !

Bordel, faut lire un peu : tu me dis "on" est une figure de style ?? Ou t'as trouvé ça bordel, t'es pas gaulois ou quoi ? t'as pas fait l'école?

Lis bien espèce d'ignorant :

ON = Pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable faisant toujours fonction du sujet !

marre de débattre avec des sous-hommes !

Moi si j'étais sioniste je le dis car je suis pas hypocrite !
Je défends la cause d'un peuple meurtri en arguementant by la loi internationale ( à savoir les décisions de l'ONU et autres), donc ma pensée et saine !!!

M'enfin, t'es ELU toi aussi donc t'as raison ! basta !

ciao :shock:
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Re: Re : Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

Message non lu par dexter »

dexter a écrit : >>>ON ne déclare pas une guerre sans risque si on la perd (dailleur ce serait indécent), la sysie devait le savoir.
ce "On" la crétinus, j'estime que c'est a ta porter. Vu que tu aimes bien tous prendre a son sens premier, tu devrais te sentir honorer que je te qualifie de "belle" abruti.
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Re: Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

Message non lu par yacoub »

L'Égypte du président Sissi bascule dans le camp pro-Assad

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© Alexei Druzhinin, AFP | Le président Vladimir Poutine et son homologue Abdel Fattah al-Sissi, photographiés à Sotchi, en 2015.

Texte par Marc DAOU

Dernière modification : 08/12/2016
Défiant ses partenaires arabes, surtout l’Arabie saoudite, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a récemment officialisé son soutien au régime de Bachar al-Assad et placé son pays dans le giron russe.

Après avoir conforté son pouvoir à l’intérieur du pays et noué une solide entente avec la Russie de Vladimir Poutine, l’Égypte du président Abdel Fattah al-Sissi s’emploie à reprendre sa place sur l’échiquier régional. Quitte à revoir ses calculs diplomatiques et à se désolidariser de ses partenaires sunnites sur la question de la crise syrienne, au nom de la guerre contre le terrorisme islamiste.

Abdel Fattah al-Sissi défie ainsi les monarchies du Golfe, obnubilées par leur rivalité politico-religieuse avec l’Iran chiite, source de déstabilisation du Moyen-Orient depuis plusieurs années, au Yémen, en Irak, et en Syrie.

Des conseillers militaires égyptiens en Syrie ?

Fin novembre, le président égyptien a en effet affiché son soutien total à l'armée de son homologue syrien Bachar al-Assad, déjà parrainé par Moscou et Téhéran, contre les groupes rebelles, soutenus par Riyad et ses alliés du Golfe. "Notre priorité est de soutenir les armées nationales, par exemple en Libye pour renforcer le contrôle de l'armée sur le territoire et traiter les éléments extrémistes. Même chose en Syrie et en Irak", avait-il déclaré lors d’un entretien diffusé par la télévision publique portugaise RTP.

Pour que le message soit encore plus clair, il avait adopté la rhétorique du Kremlin en affirmant que la position de son pays était "de respecter la volonté du peuple syrien, et qu'une solution politique à la crise syrienne [était] la meilleure façon de procéder".

En outre, depuis quelques semaines, notamment à la suite de la visite au Caire du responsable des services de sécurité syriens, le général Ali Mamlouk, les informations faisant état de la présence de "conseillers militaires égyptiens" aux côtés des forces de Damas se sont multipliées dans des médias arabes. Mercredi 7 décembre, Al-Akhbar, un journal libanais proche du Hezbollah pro-iranien, a révélé qu’un certain nombre d’experts militaires et sécuritaires égyptiens étaient présents en Syrie dans le cadre d’une coopération entre les deux pays visant "à combattre la menace terroriste". Le quotidien affirme que leur nombre s’élèvera à 200 d’ici fin 2016.

Le 24 novembre, le quotidien libanais pro-syrien As-Safir indiquait, qu'une unité de 18 pilotes de l'armée égyptienne avait été déployée sur une base militaire dans le centre de la Syrie. Une information qui a été officiellement démentie par Le Caire. Pas par Damas.

Se libérer de l’emprise financière de Riyad

Ces développements interviennent dans un contexte de tensions déjà très vives entre Égyptiens et Saoudiens, depuis le soutien du Caire, en octobre, d’une résolution russe sur la Syrie à l’ONU. Un épisode qui a sensiblement détérioré les relations privilégiées entre les deux puissances régionales, puisqu’en réponse, le royaume wahhabite a suspendu la livraison de produits pétroliers au Caire.

Le pouvoir égyptien, sous perfusion financière saoudienne depuis la reprise en main du pays en 2013 par les militaires, aux dépens des Frères musulmans et du président Mohamed Morsi, cherche depuis à se libérer de cette emprise économique en se rapprochant des Russes.

Et ce, au moment où Moscou cherche, de son côté, à étendre son influence au Moyen-Orient, en profitant des rapports de plus en plus distants entre les puissances de la région et les Occidentaux. La Russie avait été la première à manifester son soutien au nouveau pouvoir issu de l'armée en 2013, tandis que l’allié américain historique prenait ses distances avec les militaires égyptiens et que l’administration Obama se détournait de plus en plus de la région.

En attente de retombées économiques, ce rapprochement s’est concrétisé d’un point de vue militaire par des exercices conjoints entre les deux armées et des livraisons de matériel militaire au Caire. Un appui vital pour le pouvoir égyptien, qui doit faire face à la fois à la menace insurrectionnelle jihadiste dans le Sinaï et à l’instabilité chronique de son voisin libyen.

Après Poutine, Trump

Pragmatique, le président Sissi compte également profiter des conséquences sur la conjoncture internationale de la présidentielle américaine, qui a propulsé le "poutinophile" Donald Trump à la Maison Blanche, lui aussi partisan de la même ligne dure à l’égard des mouvements radicaux.

Et le raïs égyptien a toutes les raisons d’espérer tirer des bénéfices du changement d’administration à Washington - qui interviendra en janvier 2017 -, ayant eu le rare privilège de s’être entretenu, le 19 septembre à New York, avec le président élu, alors que ce dernier n’était encore qu’un simple candidat.

Dans un communiqué publié à la suite de cette entrevue par le service de presse du milliardaire américain, le président égyptien avait été cité "en exemple de ce que doit être un allié exemplaire" dans le cadre de la lutte contre "le terrorisme et l’islamisme radical". Donald Trump avait assuré que s’il venait à être élu à la présidence, "les États-Unis d'Amérique [seraient] un ami fidèle mais aussi un allié, sur lequel l'Égypte pourra compter, les jours et les années à venir".

Il lui avait même promis de se rendre en Égypte en visite officielle et de l’inviter en retour à Washington. De quoi ouvrir de nouvelles perspectives pour le pouvoir de l’ancien maréchal.
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Re: Des milliers de Palestiniens pénètrent en Égypte

Message non lu par yacoub »

Égypte : une cinquantaine de policiers et soldats tués dans des combats avec des terroristes islamistes

© AFP (archives) | Un policier des forces spéciales et un soldat égyptien au Caire.

Texte par FRANCE 24 Suivre france24_fr sur twitter

Dernière modification : 21/10/2017
Au moins 35 policiers et soldats égyptiens ont été tués dans des affrontements avec des éléments "terroristes" au sud-ouest du Caire. Plusieurs assaillants ont également été tués lors des affrontements.

Au moins 52 policiers et soldats ont été tués en Égypte, vendredi 20 octobre, dans des affrontements avec des éléments islamistes dans le désert occidental, au sud-ouest du Caire, ont indiqué des sources sécuritaires et médicales.

Dans un communiqué, le ministère de l'Intérieur a confirmé l'incident, tout en évitant de donner un bilan des membres des forces de sécurité tués. Le ministère a également précisé que plusieurs assaillants "terroristes" ont été tués lors des affrontements. Mais aucune précision n'a été donnée quant à leur nombre.

Les forces de sécurité, qui traquaient des militants islamistes dans la région, ont été attaquées vendredi en fin de journée sur la route menant à l'oasis de Bahariya, à moins de 200 km au sud-ouest du Caire, selon le ministère de l'Intérieur.

L'armée durement touchée

Le site de l'oasis a longtemps été une destination touristique prisée.

Selon une source proche des services de sécurité, leur convoi a été visé par des tirs de roquettes. Des engins explosifs ont également été utilisés par les assaillants.

L'attaque n'a pas été revendiquée.

Depuis que l'armée a destitué en 2013 le président Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, des groupes extrémistes ont multiplié les attentats visant les militaires et la police. Les autorités égyptiennes luttent principalement contre la branche égyptienne du groupe jihadiste État islamique (EI), qui multiplie les attentats, principalement dans le nord de la péninsule du Sinaï (est de l'Egypte). Des centaines de soldats et de policiers ont péri dans ces attaques.

Avec AFP
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