Bonjour Cagoule et sois le bienvenu sur islamla.
Il n'y a aucune haine ici. Simplement la critique raisonnée d'une religion folle, l'islam, qui a fait tant de victimes dans le monde, à commencer par les musulmans eux-mêmes.
Au plaisir de te lire.
Bonjour Cagoule et sois le bienvenu sur islamla.
Je vous félicite pour ces merveilleux partages. Continuez ainsi !melinata a écrit : ↑ven. 13 déc. 2019 05:14 Bonjour,
Merci pour le lien de la expert SEO Paris traduction
Tu as des traductions dans toutes les librairies. Cependant celle de Mr Berque je doute qu'elle soit encore éditée. Mais à vérifierServiteur a écrit : ↑mar. 19 nov. 2019 09:24Bonjour , est-ce que je peux trouver cette traduction du Coran dans une Librairie musulmane ?
Juste sur ce point, je lis au plus près le texte de Jean et je ne vois pas que Jésus ait rien aboli... parce qu'apparemment c'était déjà fait en pratique. Sinon, quel besoin aurait-on eu de le consulter ? Ce n'est pas lui qui intervient. Et pourquoi est-il dit que cette consultation, respectueuse dans la forme, est un piège dans le fond ? Jésus a dit, ce qui n'a pas forcément été bien compris que "pas un iota" de la Loi ne passerait (Matthieu 5:18). Les pharisiens, il s'agit de pharisiens, ne l'avaient pas attendu pour prendre du recul avec la Loi de Moïse. On lui disait en somme : "Chiche !". Or le même Evangile de Jean nous informe plus loin (18:31) que les Juifs ne disposaient plus de la peine de mort. Ils devaient passer par les Romains.marmhonie a écrit : ↑dim. 16 avr. 2023 04:21 5) Le Coran revient en arrière contre le sens de l'histoire de l'évolution des religions. La fin de la lapidation des femmes adultères dans le Nouveau Testament dans l'évangile selon Jean au chapitre 8, versets 1 à 11, est remise en application dans le Coran.
Allez dire cela au premier martyr chrétienne, St Étienne, lapidé à mort pour avoir défendu la mémoire de Jésus crucifié !
Pas pour adultère. Cette histoire telle qu'elle est rapportée est d'ailleurs peu vraisemblable. On laisserait Etienne prononcer un sermon interminable pour procéder ensuite, d'un seul coup, à un lynchage sommaire. Et "on", ce serait le Sanhédrin.
Quel est le rapport ?
Vous racontez n'importe quoi...
Qu'est-ce que vous racontez ? Merci de rester dans le sujet.
Je parlais strictement de la lapidation pour adultère. Si ces gens estimaient devoir lapider la femme, quel besoin avaient-ils de consulter Jésus ? Car ce n'est pas lui qui intervient. Et pourquoi est-il dit, expressément (comme d'ailleurs pour l'impôt à César dans Luc) que la question est un piège ? Où serait le piège s'il pouvait répondre posément : "Oui, lapidez, c'est la loi de Moïse dont pas un trait ne doit passer !" Ou aussi bien : "Non, c'est barbare, vous n'avez donc aucune compassion ?". Pourquoi traine-t-il avant de donner une réponse plutôt ambiguë (comme pour l'impôt à César, si on sait que les zélotes refusaient la monnaie romaine précisément parce qu'elle portait l'effigie d'un homme) ? Et si quelqu'un avait dit : "Moi, je suis sans péché !" ?
Merci ! (enfin, si c'est à moi que ça répond).
Il est vrai que la question posée à Jésus dans cet épisode est un piège tendu par les scribes et les pharisiens pour le mettre dans une situation délicate. La lapidation était une peine prévue dans la loi mosaïque pour l'adultère, mais comme vous l'avez mentionné, à l'époque de Jésus, les Juifs ne disposaient plus du pouvoir de prononcer des peines de mort sans l'approbation des autorités romaines. Cela créait un dilemme pour Jésus, car s'il approuvait la lapidation, il pourrait être accusé de défier l'autorité romaine, et s'il s'y opposait, il pourrait être accusé de ne pas respecter la loi mosaïque.spin a écrit : ↑sam. 8 juil. 2023 06:58Je parlais strictement de la lapidation pour adultère. Si ces gens estimaient devoir lapider la femme, quel besoin avaient-ils de consulter Jésus ? Car ce n'est pas lui qui intervient. Et pourquoi est-il dit, expressément (comme d'ailleurs pour l'impôt à César dans Luc) que la question est un piège ? Où serait le piège s'il pouvait répondre posément : "Oui, lapidez, c'est la loi de Moïse dont pas un trait ne doit passer !" Ou aussi bien : "Non, c'est barbare, vous n'avez donc aucune compassion ?". Pourquoi traine-t-il avant de donner une réponse plutôt ambiguë (comme pour l'impôt à César, si on sait que les zélotes refusaient la monnaie romaine précisément parce qu'elle portait l'effigie d'un homme) ? Et si quelqu'un avait dit : "Moi, je suis sans péché !" ?
Le même Evangile de Jean nous apprend plus loin que les Juifs ne disposaient plus de la peine de mort à ce moment. Ils devaient passer par Rome.
Je le vois un peu autrement quand je fais le rapprochement avec la question non moins piégée de l'impôt à César : on attendait de Jésus qu'il se déclare franchement pour ou contre les Romains, qu'il lève l'étendard de la révolte ou de la soumission. Il semble se dérober.marccortez a écrit : ↑mer. 25 oct. 2023 16:45 Il est vrai que la question posée à Jésus dans cet épisode est un piège tendu par les scribes et les pharisiens pour le mettre dans une situation délicate. La lapidation était une peine prévue dans la loi mosaïque pour l'adultère, mais comme vous l'avez mentionné, à l'époque de Jésus, les Juifs ne disposaient plus du pouvoir de prononcer des peines de mort sans l'approbation des autorités romaines. Cela créait un dilemme pour Jésus, car s'il approuvait la lapidation, il pourrait être accusé de défier l'autorité romaine, et s'il s'y opposait, il pourrait être accusé de ne pas respecter la loi mosaïque.
Exact ! Ici les pharisiens ont mis Jésus dans une impasse en lui demandant comment allait-il poursuivre son cheminement. Ils ignoraient qu'il venait s'offrir en sacrifice final afin que plus jamais on ignore que le pardon libère de tout, à commencer par soi-même. Il a définitivement révolutionné toutes les religions en affirmant qu'il n'y avait plus de cycle, que tout devenait nouveau sous le ciel, contrairement à la sagesse antique du roi Salomon. Que les holocaustes n'avaient plus aucun sens et que la liberté commence en soi en ne répétant pas les erreurs de nos aînés.marccortez a écrit : ↑mer. 25 oct. 2023 16:45 Il est vrai que la question posée à Jésus dans cet épisode est un piège tendu par les scribes et les pharisiens pour le mettre dans une situation délicate. La lapidation était une peine prévue dans la loi mosaïque pour l'adultère, mais comme vous l'avez mentionné, à l'époque de Jésus, les Juifs ne disposaient plus du pouvoir de prononcer des peines de mort sans l'approbation des autorités romaines.
Mais non ! Il renvoie à chacun le fruit de sa récolte (Matthieu 7:3). À toi le percepteur des impôts (Matthieu exerçait ce métier, l'oubliez-vous ? ) l'argent collecté pour César, à toi porteur d'un glaive le sang qui retombera sur ta conscience, à toi qui juge les autres comment tu seras jugé. On ne récolte pas des fraises en semant des cailloux. On ne plante pas des épines en terre pour ramasser des cerises. Qu'avez-vous besoin de vous surveiller les uns les autres ? Au contraire, veillez et priez. Voici son message. Il est simple. Que ton oui soit oui ; que ton non soit non : tout le reste est de trop (Matthieu 5:37).spin a écrit : ↑mer. 25 oct. 2023 18:01Je le vois un peu autrement quand je fais le rapprochement avec la question non moins piégée de l'impôt à César : on attendait de Jésus qu'il se déclare franchement pour ou contre les Romains, qu'il lève l'étendard de la révolte ou de la soumission. Il semble se dérober.
Non. Pilate se moque éperdument de ce Jésus. Il est venu pour vérifier que cette immense fête de la Pàque amenant des centaines de milliers de gens (les archéologues parlent de millions, peu importe), se déroule sans émeutiers. La forteresse d'Antonia surplombait la ville de Jérusalem avec 6000 romains. Il revoie les juifs entre eux : "Est-ce que je suis juif moi ?" (Jean 18:35)