Le voile, un symbole de 3.000 ans de machisme religieux

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Sandra
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A propos du voile islamique.

Message non lu par Sandra »

A propos du voile islamique.

Chaque personne, homme ou femme, durant tout le déroulement de sa vie adulte, devra interagir avec nombre de ses concitoyens, traiter, aider, subir, se confronter, vivre avec eux. Chacun, afin de s’épanouir et de se réaliser, quelque soit la voie prise, devra choisir, entreprendre, convaincre, réussir.

Les hommes et les femmes diffèrent quant à leurs aptitudes, leurs facilités et leurs inclinaisons vis-à-vis de tout cela. Les façons d’agir viriles au sens large du terme se distinguent des manières féminines.
Les femmes ne parviennent que bien moins par la force physique ou par ce qui s’y apparente. Les relations sociales et les potentialités de celles-ci sont leur force à elles.

Sous couverts d’une pudeur se vouant à couvrir une nudité englobant jusqu’à la chevelure et parfois plus, le voilage s’érige en fait, concrètement, socialement, en effaceur, en négateur de la féminité et de sa puissance de séduction.
Cet abandon de force lié au port du voile sous classe les femmes par rapport aux hommes dans leurs propensions respectives à interagir fructueusement pour avancer avantageusement dans la vie.

En acceptant le port du voile, une femme renonce à refuser aux hommes de se dévêtir de ses atouts propres à son sexe.


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yacoub
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Re : A propos du voile islamique.

Message non lu par yacoub »

Le voile ne concernait, à l'origine, que les femmes du gourou pédophile.

Et comme il est le Parfait Modèle à suivre, cette tradition a été acceptée par des musulmans de l'époque.

Il faut lire aussi cette sourate des femmes, chef d'oeuvre de sexisme anti-femmes.

En Turquie, il fallait de force dévoiler les femmes avec Ataturk.

En Tunisie, c'est la même chose avec Bourguiba.

L'Egypte, qui donne le la avec son université d'El Azhar, reste cramponnée
à un islam archaîque et incapable d'évoluer.

Pratiquement, c'est Al Azhar qui a tué l'intellectuel Farag Foda en prétendant qu'il était apostat alors qu'il ne voulait que la laïcité et le respect de la minorité copte.

On assiste partout au retour du voile, à la fin de la mixité., à l'apartheid sexuel librement consenti.

A l'époque des talibans, les femmes étaient traitées comme des esclaves.

Voici le témoignage en 2006 d'une franco-algérienne refugiée au Canada à cause de la barbarie de l'islam qui traite les femmes comme de la merde.

Le voile de la peur de Samia Shariff.

http://v.i.v.free.fr/msd/voile-de-la-peur.html
mickael
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Re : A propos du voile islamique.

Message non lu par mickael »

et pourtant c'est une "mode" qui s'est exportée p.e. à Londres ou on commence, dans certains quartiers, on voit pas mal de "belphegor"
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Slimane
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Re : A propos du voile islamique.

Message non lu par Slimane »

Yacoub a écrit :Le voile de la peur de Samia Shariff.
le hazard fait bien les chose , j'ai justement vu son livre ce matin ...mais vu que j'ai déjà encore quelques livres sur les extrémes religieux a lire, je ne l'ai pas acheté.
"C'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison!"
(Michel Colucci, dit Coluche / 1944-1986)
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(Arthur Schopenhauer / 1788-18
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Re : A propos du voile islamique.

Message non lu par mickael »

une chose qui m'a effaré, c'est de lire sur un autre forum, que des filles habitant la banlieue parisienne et nullement musulmanes, avaient des voiles qu'elles mettaient pour rentrer chez elles sans etre "embêtées" !!
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Sandra
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A propos du voile islamique

Message non lu par Sandra »

Chacun doit, durant tout le déroulement de sa vie, interagir avec ses concitoyens, à savoir traiter, aider, subir, se confronter, vivre avec eux. Afin de s’épanouir et de se réaliser, l’on doit ainsi, quelque soit la voie prise, choisir, entreprendre, convaincre, réussir.

Les hommes et les femmes diffèrent quant à leurs aptitudes, leurs facilités et leurs inclinaisons vis-à-vis de tout cela. Les façons viriles d’agir se distinguent des manières féminines. Les femmes ne parviennent que bien moins par la force physique ou par ce qui s’y apparente. Les relations sociales et les potentialités de celles-ci sont leur force à elles.

Au motif d’une pudeur vouée à couvrir une nudité englobant jusqu’à la chevelure et parfois plus, le voilage s’érige en fait, concrètement, socialement, en effaceur, en négateur de la féminité et de sa puissance de séduction.
Cet abandon de force lié au port du voile sous classe les femmes par rapport aux hommes dans leurs propensions respectives à interagir fructueusement pour avancer avantageusement dans la vie.

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Georges
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Re : A propos du voile islamique

Message non lu par Georges »

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Le voile est imposé par les membres mâles des familles musulmanes.

Dans les pays musulmans les filles commencent à le porter très jeune.

C'est tragique. [/quote]
"La où l'islam passe, la civilisation trépasse" Ibn Khaldoun
"l' islam est une loi pour les pourceaux" Ibn Roshd
"Je suis le prophète du carnage. Je suis le rieur sanglant" Mahomet
"le paradis est à l' ombre des épées" Mahomet
Les peuples non civilisés sont condamnés à rester dans la dépendance de ceux qui le sont.
Et la civilisation, c'est l'Occident, le Monde Moderne, dont la Turquie doit faire partie si elle veut survivre.
Mustafa Kemal, discours de 1928

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Georges
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Re : A propos du voile islamique

Message non lu par Georges »

Une musulmane devenue chrétienne parle du hijab
vendredi 4 janvier 2008, par Annie Lessard



« Le port du hijab ne protège pas nécessairement la femme musulmane ni ne garantit sa dignité. Quand je portais le hijab, je pensais que c’était plutôt cool. Je me sentais protégée, modeste et féminine. Je ne le porte plus car je suis devenue chrétienne et j’ai vu avec plus de clarté l’aspect négatif des attitudes à l’égard des femmes musulmanes. Le fanatisme sur la modestie n’a pas favorisé l’émergence de sociétés qui respectent les femmes comme des êtres humains plutôt que des objets sexuels. En fait, c’est le contraire qui est vrai »

Traduction du témoignage de Shamim Hung, doctorante au Institue of Philosophic Studies de l’Université de Dallas au Texas.

Le port du hijab ne protège pas nécessairement les femmes musulmanes ni ne garantit leur dignité.

Voilà pourquoi je suis surprise d’apprendre qu’un certain nombre de femmes occidentales se tournent vers l’islam et n’adoptent pas seulement le hijab, qui couvre la tête et des épaules, mais même le niqab qui couvre tout le corps, sauf pour les mains et le visage, ou la burka qui ne laisse que les mains exposées. « J’ai trouvé que le porter m’émancipait. J’adore ça. C’est une affirmation : Je suis une musulmane, et ce sont mes convictions », dit une Australienne convertie.

Il n’y a rien de mal à déclarer hardiment et librement sa foi en portant un hijab. De ce point de vue, c’est une habitude comme pour les moniales chrétiennes - un signe extérieur de pureté.

Mais les vêtements portés par les musulmanes symbolisent quelque chose de plus qu’un mode de vie décent. Ils sont aussi censés protéger les hommes des femmes - vues comme des êtres viles. L’islam voit la femme comme un « awra », un mot défini par l’Encyclopédie de l’Islam comme « pudenda » ou organes génitaux féminins. Tous les chercheurs et collectionneurs de hadith, ou dires du prophète, soutiennent cela. Imam Hanbal considère même que les mains et le visage de la femme sont « awra ». Ash-Shaafi’ee soutient que montrer les pieds de la femme est « awra » et qu’ils devraient donc être couverts. Selon al-Tirmidhi, le prophète a eu la conversation suivante avec sa femme : « Celui qui fait traîner (par terre) son habit par ostentation, Allah ne le regardera pas le jour de la Résurrection. » Donc Umm Salmah a demandé : « Que doit faire la femme des bouts de sa robe ? » Il a répondu : « Qu’elle les descende d’un empan ! ». Elle dit : « Mais elle risque de dévoiler ses pieds ». Il dit : « Qu’elle les descende d’une coudée, mais pas plus ».

Bien que toutes les sociétés musulmanes ne traitent pas les femmes avec ce genre de mépris, la méfiance est au cœur de l’islam. Mahomet était jaloux de ses épouses et n’avait pas confiance en elles parce que lui-même ne pouvait pas quitter des yeux les autres femmes. Il a dit : « Je suis en effet un homme jaloux, et aucun n’est exempt de la jalousie, sauf celui dont le coeur est dégénéré. La seule façon d’éviter la jalousie est d’empêcher tout homme d’entrer chez la femme et d’empêcher la femme d’aller au marché. ».

Il a donc forcé ses femmes à vivre dans la purdah, ou la réclusion. « Épouses du Prophète, vous n’êtes pas comme les autres femmes. Donc si vous craignez Dieu, ne soyez pas trop complaisantes dans votre discours, de peur que les cœurs lubriques ne vous conduisent à la luxure. Discutez avec les gens de façon claire et avec des mots simples. Demeurez toujours dans votre maison et n’affichez plus vos plus beaux atours comme les femmes avaient l’habitude de faire à l’époque de l’ignorance. » Selon un autre savant, al-Bukhari, le hijab n’était pas prévu pour les femmes esclaves, mais uniquement pour les épouses. Mais le hijab ne fournit pas la sécurité même dans la maison. Il n’empêche pas les maris de les battre. Mahomet a permis de battre les épouses, et lui-même les rouait de coups, y compris Aisha, son épouse de neuf ans.

Selon le célèbre théologien islamique, mystique et maître du 12ème siècle, l’Imam Abu Hamid Ghazali, les femmes ne doivent pas sortir à moins qu’il n’y ait une urgence. Dans son livre, Étiquette du mariage, il suggère qu’ « elle devrait mettre de vieux vêtements et prendre des rues et ruelles désertes, éviter les marchés, et s’assurer qu’un étranger n’entende pas sa voix, ses pas, ne sente son odeur ou ne la reconnaisse. » Les hommes musulmans ne font pas confiance aux femmes, et c’est pourquoi la conduite automobile ou les déplacements non accompagnés sont interdits aux femmes en Arabie saoudite et dans d’autres pays musulmans. Mon ex-mari, un musulman, ne me permettait pas d’ouvrir les rideaux, même dans la maison. Je n’étais même pas autorisée à aller faire la lessive seule.

À cause de ces croyances au sujet des femmes, la polygamie et le concubinage sont devenus des institutions dans le monde musulman. L’esclavage sexuel était un phénomène fréquent, même chez les couches plus basses de la société, en particulier durant les périodes de grandes conquêtes islamiques. Mahomet lui-même n’était pas dépourvu d’immoralité sexuelle. Il attaquait les caravanes qui passaient dans Yadrib (Medine), et distribuait le butin, qui comprenait des femmes, parmi ses disciples. Il y a une vision tordue et auto-contradictoire de la modestie dans l’islam. Outre le fait que les hommes musulmans peuvent avoir quatre épouses à la fois, ils sont aussi autorisés à avoir des concubines, selon le Coran. Hasan, le petit-fils de Mahomet, avait deux cent épouses et les remplaçait quatre à la fois. Les femmes musulmanes ne sont pas seulement obligées de s’y habituer. Elles souffrent et sont jalouses des autres femmes dans la vie de leur mari. Même les épouses du prophète étaient jalouses les unes des autres.

Winston Churchill a écrit sur les conséquences des attitudes à l’égard des femmes musulmanes dans son livre The River War (1899) : « Un sensualisme dégradant prive cette vie de sa grâce et de son raffinement, et la prochaine de sa dignité et de la sainteté. Le fait que, dans la loi mahométane, chaque femme doit appartenir à l’homme comme sa propriété absolue - soit comme enfant, épouse ou concubine - doit retarder l’extinction définitive de l’esclavage jusqu’à ce que la foi musulmane cesse d’être un grand pouvoir parmi les hommes ».

Mais curieusement, le fanatisme sur la modestie n’a pas favorisé l’émergence de sociétés qui respectent les femmes comme des êtres humains plutôt que des objets sexuels. En fait, c’est le contraire qui est vrai. Quand j’étais jeune, au Pakistan, j’ai rencontré beaucoup de harcèlement sexuel. Il n’y avait pas de recours. Ma mère me disait juste d’être tranquille et de continuer à marcher, sinon les hommes se regrouperaient et me dévisageraient de la manière la plus humiliante. Depuis que je suis venue aux États-Unis il y a 20 ans, je n’ai pas porté le hijab, et je n’ai personnellement jamais eu de mauvaises expériences.

Bien que les États-Unis soient loin d’être un couvent, je me sens plus libre et plus détendue parmi les chrétiens ici que je ne l’ai jamais été avec des musulmans, que ce soit au Pakistan ou aux États-Unis. Malgré tous leurs défauts les États-Unis ont encore une attitude fondamentalement chrétienne envers les femmes. Les femmes sont vues comme différentes mais égales et sont traitées avec respect et dignité. Certes, la laïcité dans tous les pays occidentaux est en train de changer nos attitudes. La beauté physique est valorisée plus que la beauté morale intérieure ; la pornographie est partout, le sexe hors mariage est en train de devenir la norme. L’avortement, le divorce, et le nombre croissant d’enfants grandissent dans des foyers monoparentaux sont de tristes réalités de la vie quotidienne. Mais au moins, dans le pire des cas, quand la passion éclate et que les idéaux de respect et de dignité s’effritent, la femme n’est pas automatiquement considérée comme la partie coupable. Ce n’est pas nécessairement vrai dans les cultures musulmanes. Au Pakistan, où la charia est la loi du pays, si une femme allègue un viol, elle est tenue de produire 4 témoins masculins de l’acte, ce qui est pratiquement impossible.

Ce que je crois, c’est que le respect des femmes n’est possible que lorsque les hommes reconnaissent que les femmes sont des enfants de dieu avec les mêmes droits et la même dignité. La solution des musulmans aux inévitable tensions sexuelles de la vie sociale est la ségrégation, ou selon le Coran, le hijab, un rideau qui sépare les femmes de la compagnie des hommes. Il peut s’agir d’un vêtement comme la burqa ou d’une pièce séparée de la maison. Mais cela ne fait pas grand chose pour changer le coeur des hommes afin qu’ils traitent les femmes comme des personnes et non comme des objets sexuels.



Alors se cacher derrière un voile ne fait pas grand chose pour favoriser la modestie. C’est comme un pigeon fermant les yeux à l’approche d’un chat.


Alors se cacher derrière un voile ne fait pas grand chose pour favoriser la modestie. C’est comme un pigeon fermant les yeux à l’approche d’un chat. Ce que je crains, c’est qu’un certain nombre de femmes occidentales, ulcérées par leur expérience dans un culture laïque imbibée de sexe, se tournent vers l’islam afin de vivre une vie décente et modeste. Elles feront une terrible erreur. Recouverte de leur burqa, elles ne seront peut-être pas accostées dans la rue par des voyous mal élevés, mais elles feront partie d’un monde de soumission et d’oppression. La véritable solution à leur exaspération est de retourner à leurs racines chrétiennes, dans lesquelles la moralité, la miséricorde et l’amour coulent d’un cœur purifié.

Source : A modest proposal, par Shamim Hung, MercatorNet, le 10 novembre 2007. Shamim Hung est doctorante au Institue of Philosophic Studies de l’Université de Dallas au Texas. http://www.mercatornet.com/articles/a_modest_proposal
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yacoub
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Re : A propos du voile islamique

Message non lu par yacoub »

Etre femme en terre d’islam aujourd’hui


Cet exposé n’est pas un témoignage mais une brève réflexion sur une condition qui ne peut laisser d’autres femmes indifférentes : car c’est bien en terre d’islam que la femme est aujourd’hui la plus opprimée.
Quoiqu’en disent certains islamologues qui depuis que les pays arabes ont les moyens de consacrer un budget à la propagande naviguent « aux frais de la princesse » de réceptions en hôtels 5 étoiles ; en échange ils sont chargés de véhiculer l’image d’un islam à l’eau de rose, apôtre d’une soit disant tolérance ou de répéter à qui veut bien les entendre que « la femme musulmane est plus favorisée que sa sœur chrétienne », que l’islam est pour la femme « un facteur de promotion voire de libération ».
On peut toujours faire croire n’importe quoi aux âmes crédules : ainsi d’après une tradition du 18ème siècle les crottes de Mahomet étaient bien parfumées ! (…).

Or, tout mensonge répété devient vérité : c’est bien connu.
« En terre d’islam »
Le Royaume d’Allah ne cesse de s’étendre.
De la Mauritanie à l’Indonésie en passant par le Maghreb, la Turquie, le Pakistan, l’Iran, le Nigeria, le Soudan, et j’en oublie… Pays riches (Arabie Saoudite) ou pays pauvres (Pakistan, Soudan), la condition féminine n’est pas partout la même : entre la Tunisienne instruite, libre de circuler, de se marier, de voter et d’être élue et la Saoudienne qui n’a pas le droit d’entrer seule dans un café ni de conduire une voiture, l’écart est grand.
« Etre femme en terre d’islam, aujourd’hui »
« L’aujourd’hui » est-il si différent de l’hier ? Excepté la Tunisie, la Turquie : pays réputés plus « ouverts », tous les peuples musulmans n’ont pas la chance d’avoir eu un Ataturk ou un Bourguiba pour les propulser dans l’Histoire avec un formidable coup de pied au derrière !

L’aujourd’hui est-il si différent de demain ? Quel devenir pour ces peuples qui sont soumis à des règles resurgies du passé se référant à des doctrines figées depuis le 13ème siècle dans un dogmatisme complet.
Déjà au 17ème siècle, l’illustre voyageur Chardin s’étonnait que le costume d’Ispahan fût toujours le même ; et Montesquieu dans « L’esprit des lois » décrira le despotisme comme un régime Hors-Histoire, régime où l’on trouve des anecdotes, des histoires de harem, d’eunuques mais où rien ne s’inscrit comme historique.

A l’issue d’un récent reportage télévisé consacré aux femmes en Afghanistan, on pouvait voir une fête de mariage et en gros plan une femme se déhancher au son d’une musique et la journaliste de conclure « l’Afghanistan se remet à danser ».
Qu’il soit permis d’en douter ! Non seulement pour l’Afghanistan mais pour d’autres pays d’islam surtout si nous entendons par « DANSER » une « manière totale de vivre le monde ».

Cette définition a été proposée par un philosophe contemporain que j’hésite à citer devant cette assemblée car il a doublement mal tourné : d’abord communiste stalinien exclu du PC, puis converti à l’islam : il s’agit de Roger Garaudy. Avant de sombrer dans cette nouvelle forme de totalitarisme, il avait écrit un beau livre sur la Danse qu’il désigne comme l’activité où l’être humain se trouve engagé totalement : corps – esprit – cœur.

Ce que je me propose d’esquisser ce soir, devant vous, comme démonstration : c’est que la femme en terre d’islam aujourd’hui est empêchée dans la plupart des pays de se réaliser sous ces trois dimensions : elle n’est donc pas prête de se remettre à danser.
1. Le corps
Dans cette culture où déjà la naissance d’une fille est considérée comme une catastrophe, la femme ne vit pas son corps ; elle ne le ressent qu’à travers les douleurs des règles et de l’accouchement.
Son corps n’est pas saisi comme rayonnement d’une subjectivité mais comme une chose empâtée que n’anime aucun projet sinon d’être là ; d’où pour beaucoup, cette passivité, cette nonchalance, cette boulimie de pistaches ou de loukoums.
L’idéal de beauté ne fait pas de place au sport ou très peu : l’Algérienne Hassiba Boumeka est une exception ; elle fut d’ailleurs blâmée pour avoir osé montrer ses cuisses aux jeux olympiques de Tokyo.
Au Pakistan, dès 1977, il fut interdit aux femmes de participer à des compétitions sportives.
Le fondamentalisme fait du corps féminin un objet de honte, de pudeur excessive.
La fonction du voile est de recouvrir l’Awra, alors que chez l’homme l’Awra est bien définie : c’est la partie du corps qui se trouve entre le nombril et les genoux et qui doit demeurée cachée sauf aux épouses, personne ne semble d’accord sur la définition de l’Awra chez la femme : l’Awra désignant les parties honteuses du corps, la femme serait tout entière Awra sauf peut-être les mains et les yeux.
La voile, destiné à inhiber le désir masculin est le symbole de la servitude féminine ; il est destiné à la soustraire à la convoitise de l’autre. Ainsi, soigneusement emballées les femmes se retrouvent interchangeables, sans visage. Habillée dans un sac, elle doit raser les murs à pas furtifs. La coquetterie est interdite : le vêtement ne doit pas être parfumé ni trop somptueux.
Interdiction de se farder ou d’interférer avec la nature de quelque façon.
Le même mollah qui condamne le maquillage ou la chirurgie esthétique parce qu’ils prétendent corriger la création divine ne voient aucune contradiction à tolérer l’excision : corps non seulement caché mais meurtri.
L’excision :
Si l’islam n’a pas inventé cette pratique – il ne l'a pas découragé ni rendu blamable-.

Rare dans le Maghreb, cette pratique est très répandue au Yémen en Egypte et au Nigeria – donc en terre d’islam. Mais ce n’est pas seulement à travers l’acte d’exciser que s’incarnent toutes les peurs de la féminité mais à travers toutes ces violences subies par les femmes : femmes battues dans leur foyer (de 70% à 80% au Pakistan), fouettées en public comme récemment au Nigeria, une jeune fille a été condamnée à recevoir 180 coups de fouet pour avoir eu des relations sexuelles en dehors du mariage.
Femmes balafrées, vitriolée, en Algérie pour avoir osé résister au FIS.
Femmes violées.
Femmes séquestrées.
Au Pakistan, des femmes sont incarcérées dans diverses prisons du pays sous de fausses accusations d’adultère ; et les gardiens les soumettent à toutes sortes d’humiliation pouvant aller jusqu’au viol.

En Afghanistan, des femmes sont encore incarcérées parce qu’elles avaient tenté de s’enfuir de chez elles.
Femmes lapidées : au Pakistan – en Iran
Au Nord du Nigeria où le 14 janvier dernier une femme qui a été violée est condamnée par un tribunal islamiste à être lapidée à mort pour… adultère.
Selon la charia réintroduite en l’an 2000 dans plusieurs Etats du nord du Nigeria, une femme mariée une première fois même si elle a ensuite divorcé commet un adultère si elle a des relations sexuelles sans être remariée.

Or une lapidation ne consiste pas à lancer à la victime quelques petits cailloux : non, on creuse un trou de plus d’un mètre, la condamnée est ensevelie jusqu’aux épaules les bras à l’intérieur du trou.
Puis on dessine un cercle à environ 8 mètres du trou ; et à partir de là les brutes lancent des pierres les plus grosses possible jusqu’à ce que le crâne éclate et que la cervelle se répande sur le sol.

Partout cette violence qui trahit un échec de la force et surtout une énorme pathologie des hommes dont les pulsions sexuelles sont transformées en pulsions de mort.
Alors, j’entends s’élever le chœur des islamologues bien pensants : « l’islam a décomplexé la sexualité ! » en réalité totalitaire le Coran prétend régenter tous les domaines de la vie privée y compris la sexualité.
Je vous laisse apprécier : la Sourate 2 « vos femmes sont pour vous un champ de labour, allez à votre champ comme il vous plaira ».
2. L’esprit
« Empêchez-les d’écrire ; n’ajoutez pas un mal à un malheur » déclarait Ali, cousin du prophète.
Est-ce que l’islam considère les femmes comme intellectuellement inférieures ? Cela n’est pas certain. Si elles sont empêchées de s’épanouir intellectuellement c’est pour des raisons d’ordre moral du genre : « Si on laisse sortir les femmes ce sera la débauche ». C’est donc avant tout un problème d’espace : l’accès à l’école passe par l’accès à la rue. Et puis la jeune fille, son diplôme en main, va chercher un travail, démarche logique mais qui va en terre d’islam, à l’encontre de l’obligation faite à tout homme de subvenir à l’entretien de son ou ses épouses. Ce qui perturbe l’islam, c’est la confusion des rôles et des espaces. Conséquence : taux élevé d’analphabètes : au Maroc : 78,6% ; en Tunisie : 62% ; en Arabie Saoudite : 75,4% ; au Pakistan : 90%.
En Algérie, taux également très élevé : on y cumule deux handicaps : une politique scolaire discriminatoire à l’égard des filles et une régression du système éducatif depuis Boumedienne qui confia l’école à des instituteurs égyptiens la plupart intégristes de la mouvance des frères musulmans : les programmes furent chamboulés, tout ce qui permettait l’éveil, le sens critique fut prohibé : système éducatif qui accoucha d’une horde d’incultes.
Peu instruite ou mal instruite, la femme est considérée comme une mineure :
- D’abord elle doit impérativement se marier.
- La célibataire est marginalisée, considérée comme une diablesse – et pour se marier elle a besoin d’un « wali » (tuteur matrimonial) pour la donner en mariage et ce, quel que soit son âge. La wali peut être le père ou le frère ou l’oncle paternel… et dans le mariage on constate l’absence totale de la notion d’association et la femme ne dispose pas librement de sa dot.
- La répudiation unilatérale par le mari sans justification demeure la règle dans la majorité des pays. Toutefois en Turquie, en Tunisie, au Sénégal elle est interdite. La mère a le droit de conserver la garde des enfants à condition qu’elle ne se remarie pas.

- La polygamie : à l’exception de la Turquie et de la Tunisie où elle est interdite, les hommes sont autorisés à prendre plusieurs épouses (quatre, selon la loi musulmane).
- Elle ne peut témoigner. On peut donc la violer impunément. Il est impossible à une femme d’accuser un homme de viol puisque quatre hommes face à elle doivent témoigner !…
- Enfin, en cas d’héritage, les femmes reçoivent la moitié de ce qui revient à l’hériter mâle. Ainsi en cas de décès des parents, la fille reçoit la moitié de la part accordée à son frère et la veuve 1/8 des biens du défunt mari. Inégalité qui se retrouve même en Tunisie où le garçon hérite des deux tiers et la fille d’un tiers seulement.
Certes me direz-vous, mais les Syriennes ont obtenu le droit de vote en 1949, les Egyptiennes en 1956, et la Turquie est un pays laïque où aucune référence à l’islam ne figure dans la Constitution : seul pays où la pleine égalité entre les hommes et les femmes est consacrée par la loi.
Pour combien de temps ?
L’Algérie avait, elle aussi, une législation laïque jusqu’en 1984, reconnaissant l’égalité entre hommes et femmes. Or Chadli avait des gages à donner aux intégristes. On assiste à une régression du droit des femmes.
3. Le cœur
Au sens pascalien du terme : siège de la sensibilité, de la profondeur, des connaissances intimes et intuitions ; c’est par le cœur que nous savons immédiatement que nous aimons un être humain, une œuvre d’art. C’est par le cœur que nous nous engageons pour défendre une noble cause …
Or, la femme en terre d’islam aujourd’hui peut-elle se réaliser dans la création artistique ? Non, car la culture du monde islamique est malade.
Ce n’est pas moi qui le dis, c’est Tahar ben Jelhoun qui en dresse un constat plutôt sombre dans un article du Monde de juillet 1985 : « Citez-moi le nom d’un seul objet de ce siècle, d’une seule école de pensée, de science ou d’art que nous ayons créés ». Sauf exception très sectorielle : architecture et poésie, la culture arabe a cessé d’innover, de créer, de renouveler ; en peinture, en musique, théâtre, cinéma, aucune femme n’est citée : la chanteuse Oum Koulsoum est morte en 1975 sans postérité musicale. Ce n’est pas étonnant ; pour peindre, composer, écrire, pour créer, il faut la liberté, ou l’exil.


En matière de culture, il n’y avait donc plus grand-chose à étouffer : néanmoins les islamistes professent qu’il faut refuser l’Art au profit de la Foi. Toute forme de création artistique est taxée d’hérétique parce qu’elle est perçue comme faisant concurrence à Dieu.
Le seul espace où le cœur des femmes puisse s’investir c’est la résistance, le combat.

Comme en témoignent les téméraires de RAWA association clandestine de résistance de femmes afghanes : ce sont elles qui ont filmé les exécutions publiques au stade de Kaboul : images vues depuis, partout dans le monde ; ce sont elles qui ont créés sous les Talibans des écoles clandestines. Aujourd’hui, libérées de ces monstres, elles n’accueillent pas pour autant dans la joie le retour au pouvoir de ceux qu’elles désignent comme les criminels de l’Alliance du Nord : elles étaient environ 200 dans les rues de Peshawar à le crier.
Elles revendiquent l’égalité pour les femmes ; de vraies élections ; la démocratie ; des orphelinats, des écoles. Des ateliers où pourraient travailler les 30 000 veuves de guerre au lieu de mendier.
Déjà en Algérie en 1992, des femmes avaient refusé le Diktat du FIS.
En Turquie, en 1994, des femmes ont résisté le jour où le parti religieux a remporté les mairies de 21 villes y compris Istanbul et Ankara.
Même certains courants islamistes – c’est un comble ! – ont mis en avant des femmes en l’absence d’hommes tués ou incarcérés, elles ont joué un rôle indispensable dans la formation de réseau de solidarité, la prise en charge de militants en fuite et transgressé par là l’espace public masculin par excellence : le monopole de la violence (Palestiniennes du Hamas, Libanaises du Hezbollah). Conclusion :
Alors, la femme en terre d’islam aujourd’hui, se remet-elle à danser ?
Par « danse » nous entendons non pas une contorsion de chairs flasques ou de ventres mous au son d’une musique de bazar, mais une manière totale de vivre le monde.
La danse est comme le disait Nietzsche « une puissance affirmative de vie », « l’expression d’une surabondance de vie ».
Elle a pour contraire : « l’esprit de lourdeur », c’est-à-dire tout ce qui fige l’être humain dans la répétition, l’habitude, la sclérose.
Avec un corps meurtri, un esprit ligoté, un cœur au chômage excepté pour de rares militantes, non, décidément en terre d’islam aujourd’hui la femme n’est pas prête de se remettre à danser sinon comme jadis les fous de l’asile de Bicêtre : au bout de leurs chaînes
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Re : A propos du voile islamique

Message non lu par Mey »

Salut Yacoub

Je te remercie d'avoir mis ce texte qui aurait mérité un sujet à lui tout seul ... car là il est noyé dans une suite de réponses ....

Ce sujet est particulièrement sensible car c'est l'un des points qui démontrent s'il le fallait que l'islam est dangereux et cruel ...

Tout le reste ce n'est QUE de la littérature ...

Lorie
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Georges
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Re: A propos du voile islamique.

Message non lu par Georges »

Une doctorante licenciée pour port du voile islamique
Par Mael Inizan
Créé 04/17/2009 - 10:57

Après deux ans sans problème, la fac de Toulouse la considère comme un agent public, soumis au devoir de réserve.

Le débat sur le port du voile islamique ressurgit à Toulouse. Sabrina Trojet, doctorante à l'université Paul-Sabatier, a perdu en février son allocation de recherche après avoir refusé d'abandonner le voile, qu'elle portait pourtant depuis deux ans. La présidence de l'université lui reproche de ne pas se conformer au principe de neutralité exigé des agents publics.

Fin février, Sabrina Trojet reçoit une lettre du président de l'université Paul-Sabatier [1] qui lui notifie son licenciement de son poste d'allocataire de recherche pour avoir « persisté à porter un voile couvrant entièrement sa chevelure, destiné à marquer manifestement son appartenance à une religion ».

Aujourd'hui sans ressources, la jeune doctorante a engagé une procédure devant le tribunal administratif de Toulouse.

Elle troque son hijab pour un voile sicilien

Sabrina a commencé à porter le voile en première année de master. Depuis 2006, elle bénéficiait d'une allocation de recherche pour sa thèse en microbiologie. Chaque mois, elle percevait un salaire qui lui permettait de se consacrer à temps plein à ses travaux de recherche.

C'est seulement deux ans plus tard, en juillet 2008, que le nouveau président de l'université la convoque. Il lui somme de se conformer aux exigences de la fonction publique et d'enlever son voile.

Sabrina refuse de se plier au exigences hiérarchiques, mais troque cependant son voile islamique pour un voile sicilien, moins couvrant. Six mois plus tard, elle reçoit une lettre de licenciement. Ni préavis, ni indemnité :

« Mme Trojet a enfreint délibérément et de façon constante le devoir de stricte neutralité qui s'impose à tout agent public dans l'exercice de ses fonctions quel que soit son service et qu'il soit ou non en contact avec les usagers de ces services. »


Si la loi française interdit le port de signe religieux ostentatoire au collège et au lycée, elle autorise les étudiants a manifester librement leur appartenance à une religion.


Cependant, pour maitre Jacques Levy, l'avocat de l'université, en signant son contrat d'engagement en qualité de bénéficiaire d'une allocation de recherche, Sabrina a perdu le statut d'étudiant pour celui d'agent public :

« Les agents publics sont tenus de se soumettre à certaines restrictions. Ils ne doivent pas afficher leurs opinions politiques et religieuses. (…) L'université a été patiente et a laissé tout le temps à Sabrina de se conformer à ces exigences. »


Pour l'avocat de Sabrina, maitre Devers [2], la neutralité des agents publics ne doit pas s'appliquer à une doctorante. Il invoque les principes de proportion et de justification dans le cadre des entreprises privées récemment rappelés par la Halde [3], la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité :

« Sabrina n'a pas consacré une heure de son temps à donner des cours. Son travail se limitait à des recherches pour sa thèse. Dès lors, même si elle bénéficiait d'une allocation de recherche, elle n'exerçait pas à proprement dit une mission de service publique qui pourrait justifier une interdiction de porter le voile.


« On parle d'une atteinte “gravissime” au principe de laïcité alors qu'elle portait son voile depuis plus de deux ans sans que ça ne pose aucun problème à personne. »


Référé devant le tribunal de Toulouse

Enceinte et à seulement sept mois de la soutenance sa thèse, Sabrina est aujourd'hui sans ressources. Elle a déposé un référé devant le tribunal administratif de Toulouse pour suspendre la décision de l'université avant un jugement au fond dans quelques mois. Le tribunal doit rendre sa décision ce vendredi. En attendant, Sabrina refuse de s'exprimer dans les médias.

Un comité de soutien s'est formé. Il invite les internautes à signer la pétition [4] en ligne et à soutenir financièrement Sabrina [5] pour lui permettre de payer ses frais d'avocat et de continuer ses travaux de recherche.

Voile : ce sont celles qui le portent qui en parlent le mieux [6]
Tous nos articles sur le voile [7]
Le site de soutien à Sabrina Trojet [8]
La pétition de soutien en ligne de Sabrina Trojet [9]
L'avis de la Halde sur l'expression religieuse dans l'entreprise [10]

--------------------------------------------------------------------------------

URL source: http://www.rue89.com/2009/04/17/une-doc ... -islamique
Liens:
[1] http://www2.ups-tlse.fr/11980450/0/fich ... RF=ACCUEIL
[2] http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/
[3] http://www.halde.fr/L-expression-religi ... 12847.html
[4] http://www.soutien-sabrina.org/phpPetit ... petition=2
[5] http://www.soutien-sabrina.org/spip/spip.php?article3
[6] http://www.rue89.com/2008/05/27/voile-c ... t-le-mieux
[7] http://www.rue89.com/tag/voile
[8] http://www.soutien-sabrina.org/spip/
[9] http://www.soutien-sabrina.org/phpPetit ... petition=2
[10] http://www.halde.fr/L-expression-religi ... 12847.html
"La où l'islam passe, la civilisation trépasse" Ibn Khaldoun
"l' islam est une loi pour les pourceaux" Ibn Roshd
"Je suis le prophète du carnage. Je suis le rieur sanglant" Mahomet
"le paradis est à l' ombre des épées" Mahomet
Les peuples non civilisés sont condamnés à rester dans la dépendance de ceux qui le sont.
Et la civilisation, c'est l'Occident, le Monde Moderne, dont la Turquie doit faire partie si elle veut survivre.
Mustafa Kemal, discours de 1928

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Georges
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Re: A propos du voile islamique.

Message non lu par Georges »

Les tribunaux sont de plus en plus saisis de contentieux sur le port du voile
LE MONDE | 17.04.09 | 16h10 • Mis à jour le 17.04.09 | 16h11


Samia Saïd saura dans une dizaine de jours si elle peut réintégrer le cours d'anglais dont elle a été exclue en mars. Son cas a été examiné jeudi 16 avril par le juge des référés du tribunal administratif de Paris.

Le 5 mars dans la soirée, cette Française de 38 ans, titulaire d'un DEA en droit international, s'est vue refuser l'entrée du lycée public où elle suivait depuis octobre 2008 une formation d'anglais dispensée par le Greta Top Formation, spécialiste de la formation professionnelle pour adultes.


Motif invoqué par le chef d'établissement du lycée d'accueil : le voile islamique, porté par Mme Saïd depuis son inscription à cette session de formation, contrevenait à la " loi sur la laïcité". Pour l'avocat de la plaignante, il s'agit là d'une "interprétation erronée et d'une tentative d'extension de la loi de mars 2004 sur le port de signes religieux, qui s'applique aux élèves des établissements publics".

A Toulouse, Sabrina, 25 ans, devait être fixée sur son sort vendredi 17 avril dans l'après-midi. Le tribunal administratif devait se prononcer sur la suspension ou non de son licenciement en février par l'université Paul Sabatier. Cette étudiante en microbiologie a refusé de répondre aux demandes de l'université qui exigeait qu'elle retire son voile : devenue allocataire de recherche, elle dispose d'un contrat de travail de droit public, jugé incompatible par son employeur avec le port d'un signe religieux ostensible. "En tant qu'agent public elle ne peut plus porter le foulard", défend l'avocat de l'université, Jacques Levy.

Le fond juridique de ces deux affaires est différent, mais les cas de Samia et de Sabrina sont révélateurs d'une tendance de fond. Les Français de confession musulmane sont de plus en plus enclins à saisir la justice dès lors qu'ils s'estiment discriminés en raison de leur pratique religieuse. "La tendance 2008 confirme une hausse très nette de contentieux", affirme Samy Debah, président du Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), qui présentera son rapport annuel mercredi 22 avril.

Le relatif succès de la pétition de soutien à Sabrina, qui a recueilli plus de 2300 signatures en dix jours, montre également une mobilisation croissante sur ces affaires. "Les dossiers qui arrivent en justice ne sont encore que l'arbre qui cache la forêt, estime un avocat spécialiste de ces dossiers. Car une chose est sûre, les musulmans en ont ras-le-bol d'être discriminés."

Le CCIF constate que les plaintes, concentrées jusqu'à présent dans les administrations et les préfectures, touchent désormais largement le monde du travail et de la formation professionnelle. L'université, où les jeunes filles voilées sont parfois confrontées à des enseignants qui, à titre individuel, mettent en cause leur tenue, le secteur des loisirs (dernièrement une femme voilée s'est vue refuser l'inscription dans une salle de sport qu'elle fréquentait auparavant non voilée), ou celui des auto-écoles sont désormais le théâtre de conflits de ce type. Le CCIF affirme toutefois résoudre 90 % des affaires par la médiation. " Les discriminants ne connaissent pas toujours la loi et, parfois il suffit juste de faire preuve de pédagogie pour régler le problème", assure encore M. Debah.

Les saisines de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), permettent aussi en partie d'éviter le passage en justice. Mais ses recommandations, non contraignantes, ne remplissent que partiellement cet objectif. Saisie d'une affaire portant sur la présence de stagiaires voilées dans un Greta, la Halde, dans un avis de juin 2008 avait estimé que " seules des circonstances particulières rendant incompatibles le port du foulard avec des exigences de sécurité et/ou de santé pourraient justifier des restrictions à la liberté religieuse des stagiaires du Greta" et rappelé l'arrêt du Conseil d'Etat de 1996 qui indique que " le seul port du foulard ne constitue pas par lui-même un acte de pression ou de prosélytisme". L'avocat de Mme Saïd s'est empressé de le verser à son dossier.



Stéphanie Le Bars

--------------------------------------------------------------------------------
La loi "sur le voile" du 15 mars 2004

La loi du 15 mars 2004 encadre, en application du principe de laïcité, "le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics". Elle s'applique aux élèves, mais ne concerne ni les parents d'élèves ni les candidats venant passer un examen dans l'établissement. Les agents du service public sont soumis à un strict devoir de neutralité.

Article paru dans l'édition du 18.04.09
"La où l'islam passe, la civilisation trépasse" Ibn Khaldoun
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"Je suis le prophète du carnage. Je suis le rieur sanglant" Mahomet
"le paradis est à l' ombre des épées" Mahomet
Les peuples non civilisés sont condamnés à rester dans la dépendance de ceux qui le sont.
Et la civilisation, c'est l'Occident, le Monde Moderne, dont la Turquie doit faire partie si elle veut survivre.
Mustafa Kemal, discours de 1928

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Re: A propos du voile islamique.

Message non lu par Georges »

Après le voile, la burqua :shock:

Image
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Re: A propos du voile islamique

Message non lu par Marie2009 »

Des musulmans turcs se moquent du voile islamique :lollol


[youtube]<object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/H1ya1iRnas4&hl ... ram><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/H1ya1iRnas4&hl=fr&fs=1" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>[/youtube]
C'est le devoir de chaque homme de rendre au monde au moins autant qu'il en a reçu.
Albert Einstein
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Re: A propos du voile islamique

Message non lu par Georges »

Ces femmes qui courbent l'échine

(Journal de Montréal) Richard Martineau

«Le hidjab islamiste est un uniforme intégriste, comme le furent par le passé la chemise brune ou noire» -Taslima Nasreen, écrivaine bangladaise menacée de mort par une fatwa.

Ce week-end, au terme d'une «réunion extraordinaire», la Fédération des femmes du Québec a décidé que l'État devrait permettre aux femmes qui travaillent au sein de la fonction publique québécoise de porter le voile islamiste.

Un autre groupe de gauche qui fait la carpette!

Une autre association féministe qui se met à quatre pattes devant les barbus!

On n'a pas vu pareille manifestation de masochisme féminin depuis que Joanna Colavecchio a décidé de sortir avec Dave Hilton...


PRENDRE SON TROU


La Fédération des femmes du Québec devrait changer de nom et s'appeler La Fédération des femmes soumises du Québec.


En fait, non, j'exagère. Les membres de la FFQ ne sont pas soumises à 100%. Quand il s'agit de manifester contre Anne-Marie Losique, les minijupes et les blouses trop décolletées, nos gardiennes de la morale n'hésitent pas à sortir de leur couvent et à crier leur colère et leur indignation.


C'est juste quand vient le temps de condamner la misogynie des autres cultures qu'elles prennent leur trou et courbent le dos.


Dès que la haine des femmes agite un passeport étranger ou parle avec un accent, nos émules de Simone de Beauvoir perdent tous leurs moyens, rentrent leurs griffes et ronronnent.


«À CONTRE CORAN»


Au lieu d'écrire de longs manifestes contre les dangers du rouge à lèvres et du g-string, nos amies de la FFQ devraient plutôt lire Ma vie à contre Coran, de Djemila Benhabib.


Elles tomberaient sur des passages comme celui-ci:


«Le Québec n'a pas à accommoder l'islamisme. Il doit renforcer son identité plurielle et affirmer son attachement à la laïcité et aux droits des femmes...»

Ou celui-là:


«Non seulement le voile est un apartheid sexuel, mais c'est un linceul. Le voile, c'est la soumission forcée ou acceptée des femmes à un programme d'oppression...»

Ou encore celui-ci:

«La laïcité organise la Cité en préservant et en respectant la neutralité de l'action publique. Ne promouvoir ni l'athéisme ni la croyance religieuse, tel est à mon sens le contenu de la neutralité. Il y a quelque chose de malsain à fermer les yeux sur l'intrusion du religieux dans l'espace public, quelque chose qui n'augure rien de bon pour la santé de la démocratie...»

LES FAUSSES FÉMINISTES

Honte à vous, mesdames de la Fédération des femmes du Québec. Honte à vous, Michèle Asselin. Honte à vous, Françoise David, qui appuyez le même discours.


Vous n'êtes pas dignes de porter le noble nom de «féministe». Si vous êtes féministes, moi, je m'appelle Gloria Steinem!

L'an dernier, quand Gérard Bouchard et Charles Taylor ont, comme vous, lâchement courbé l'échine devant l'intégrisme, j'ai publié les propos de Michèle Vaniès, présidente du groupe français Regards de femmes.

Je les publie à nouveau aujourd'hui afin de rappeler aux lecteurs à quoi ressemble UNE VRAIE FÉMINISTE:

«Le voile islamiste n'est pas une tenue folklorique traditionnelle. Il a été inventé par les tenants de l'Islam politique pour montrer leur capacité d'occuper les espaces et les esprits.

«Ce n'est pas un bout de tissu quelconque. Des femmes qui refusent de le porter sont fouettées, égorgées, lapidées. Dès que les intégristes prennent le pouvoir dans un pays, leur première mesure est de voiler les femmes...»


Honte à vous !
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"Je suis le prophète du carnage. Je suis le rieur sanglant" Mahomet
"le paradis est à l' ombre des épées" Mahomet
Les peuples non civilisés sont condamnés à rester dans la dépendance de ceux qui le sont.
Et la civilisation, c'est l'Occident, le Monde Moderne, dont la Turquie doit faire partie si elle veut survivre.
Mustafa Kemal, discours de 1928

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