Femmes obeissantes

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sofasurfer
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Re: Femmes obeissantes

Message non lu par sofasurfer »

C'est une relation maitre esclave, rien a voir avec une relation mari femme.

Qu'une femme cherche un maitre pour assouvir ses désirs de devenir esclave de son plein gré, je n'y vois aucun inconvénient, mais vouloir propager cette relation a toute une population qui désire vivre en couple de manière normale, c'est ubuesque...


Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles

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Re: Femmes obeissantes

Message non lu par yacoub »

  • L’armée égyptienne dans l’ombre des « tests de virginité »
    mercredi 28 décembre 2011 / par Assanatou Baldé


    L’armée égyptienne ne pourra désormais plus pratiquer "les tests de virginité" sur les femmes interpellées. Cette décision a été rendue mardi par la Cour administrative du Caire suite à une plainte déposée par une jeune militante, Samira Ibrahim Mohammed, qui a été soumise à cette pratique après avoir été arrêtée le 9 mars alors qu’elle manifestait sur la place Tahrir.

    Humiliée après avoir humiliée des dizaines de jeunes filles. L’armée égyptienne vient d’être prise à son propre jeu. Elle se voit interdite par la Cour administratives du Caire, qui a rendu sa décision mardi, de pratiquer des "tests de virginité" sur les femmes interpellées.

    Cette décision survient après une plainte déposée contre le Conseil militaire par une militante égyptienne de 25 ans, Samira Ibrahim Mohammed, qui est l’une des victimes de cette pratique. C’est au nom de toutes les femmes égyptiennes qu’elle a décidé de porter son cas devant la justice, a-t-elle confié au quotidien Libération. « Si je me tais, je donne raison à l’armée. On ne peut plus accepter ça », clame-t-elle. L’audience a d’abord été ajournée une première fois, le 29 novembre, avant d’être fixée à mardi. Cette décision, une première dans ce genre d’affaire en Egypte, a été saluée par des cris de joie et des applaudissements de la part de dizaines de partisans de la plaignante venus assister au jugement, comme on peut le voir sur une vidéo d’Al-Jazeera. « C’est une bonne nouvelle. Nous attendons maintenant une décision de la Cour sur les indemnités », a déclaré Hossam Baghat, responsable de l’ONG Initiative égyptienne pour les droits de la personne.

    L’humiliation d’être déshabillée devant des hommes

    Ces interminables journées passés dans une prison militaire du Caire, Samira Ibrahim Mohammed ne veut plus se les remémorer, selon Libération. Le cauchemar de la jeune femme débute le 9 mars, au lendemain de la journée internationale de la femme. Elle est interpellée avec 17 autres de ses compatriotes alors qu’elle manifeste sur la place Tahrir. La jeune femme, accusée de vandalisme et d’insultes à un représentant des forces de l’ordre, a été incarcérée durant quatre jours avant d’être auditionnée au tribunal militaire. Elle raconte dans une vidéo enregistrée par l’ organisation internationale Human Right watch « l’humiliation d’être déshabillée devant les hommes » et surtout son « examen de cinq minutes au cours duquel un officier s’est livré à une pénétration digitale avant de confirmer qu’elle était toujours une jeune fille ».

    Les ONG mobilisées contre cette pratique

    Les organisations égyptiennes et internationales de défenses des droits de l’homme ont été nombreuses à être montées au créneau contre cette pratique, en particulier Amnesty International et Human Right Watch. Elles ont dénoncé les « tests de virginité » comme une forme de « torture et de violence sexuelle ».

    Amnesty international a lancé la polémique fin mai suite à la justification de ces pratiques par un haut gradé de l’armée égyptienne sur la chaîne d’information américaine CNN. « Nous ne voulions pas qu’elles aillent dire qu’on les a abusées sexuellement ou violées, donc nous avons voulu prouver qu’elles n’étaient déjà plus vierges », a déclaré ce Général sous couvert d’anonymat. « Les filles détenues n’étaient pas comme votre fille ou la mienne. C’étaient des filles qui avaient campé dans des tentes avec des manifestants sur la place Tahrir et nous avons trouvé dans les tentes des cocktails Molotov et de la drogue », a-t-il ajouté.

    L’image de l’armée égyptienne ternie

    Pour redorer son image ternie par ces pratiques décriées par le monde entier, l’armée s’était engagée auprès d’ONG à ne plus y avoir recours, sans toutefois les renier dans ses principes. Le chef de la justice militaire, Adel Mursi, a assuré ce mardi que la décision de la Cour administrative « était inapplicable car il n’y avait absolument aucun ordre de procéder à ces tests » dans les prisons militaires. « Si cela se produit, cela relève d’un acte personnel, passible d’une enquête criminelle », a-t-il ajouté.

    Ces mesures suffiront-elles à sauver la réputation de l’armée ? Depuis la chute du régime d’Hosni Moubarak, les militaires ont multiplié les procès de civils, les arrestations arbitraires de militants, de blogueurs et les répressions meurtrières lors de manifestations. Pas plus tard que la semaine dernière, l’armée a dû présenter ses excuses après la diffusion sur internet d’images montrant des soldats battant des manifestantes, traînant au sol l’une d’elles, dont les vêtements relevés dévoilaient son soutien-gorge. Ces images ont profondément choqué en Egypte mais aussi partout dans le monde. Plusieurs pays ont dénoncé les violences commises par les forces de l’ordre, à l’encontre des manifestantes.

    L’armée égyptienne acclamée par la foule lors du soulèvement populaire contre le régime d’Hosni Moubarak est désormais considérée comme le principal ennemi des militants pro-démocratie. De la lune de miel, l’armée égyptienne est passée à la lune de fiel avec le peuple d’Egypte.

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Re: Femmes obeissantes

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Somalie : les femmes comme butin de guerre,il parait que l'islam protège les femmes et leur donne des droits. :P :shock:


Comme à l’époque de Mahomet, qui organisait des razzias contre des caravanes, des villes et des villages avec ses brigands. Les femmes et les enfants rapportés comme butin de guerre étaient réduits en esclavage. Allah a dicté des sourates permettant à Mahomet de se réserver le cinquième du butin.

Au Canada et aux USA, des mosquées ont encouragé des jeunes musulmans à se rendre en Somalie pour mener le djihad aux côtés des militants barbares du groupe Shabab.

La voix de la jeune fille s’est éteinte quand elle a parlé de l’après-midi ensoleillé où elle est sortie de sa hutte et a vu sa meilleure amie enterrée jusqu’au cou dans le sable.

Son amie avait fait l’erreur de refuser d’épouser un commandant Shabab. Elle allait payer en se faisant fracasser le crâne, pierre par pierre. «Tu es la suivante», a dit le Shabab à l’adolescente de 17 ans qui vivait avec son frère dans un camp de réfugiés sordide. Les hommes sont revenus plusieurs mois plus tard. Cinq militants ont fait irruption dans sa hutte et l’ont violée collectivement, a-t-elle dit. Ils ont affirmé qu’ils menaient le djihad, ou guerre sainte, et que toute résistance serait considérée comme un crime contre l’islam, passible de mort. «J’ai fait des cauchemars au sujet de ces hommes», a-t-elle dit après avoir fui la région qu’ils contrôlent. « Je ne sais pas quelle est leur religion».

La Somalie est ravagée par des décennies de conflit et de chaos, ses villes sont en ruine et son peuple affamé. Juste cette année, des dizaines de milliers de personnes ont succombé à la famine et un nombre incalculable a péri dans les continuels combats. Les Somaliens font maintenant face à une autre terreur généralisée: une augmentation alarmante des viols et des abus sexuels des femmes et des filles.

Le groupe militant Shabab, qui se présente comme une force rebelle moralement juste et le défenseur de l’islam pur, s’empare des femmes et des filles comme butin de guerre, ils les violent collectivement et abusent d’elles dans le cadre de leur règne de terreur dans le sud de la Somalie, selon des victimes, des travailleurs humanitaires et des fonctionnaires des Nations Unies. À court de liquidités et perdant du terrain, les militants forcent également les familles à leur donner leurs filles pour des mariages arrangés qui souvent durent à peine quelques semaines et sont essentiellement de l’esclavage sexuel, une manière bon marché de remonter le moral des troupes déprimées.

Mais ce n’est pas juste le Shabab. Des victimes et des travailleurs humanitaires affirment que depuis les derniers mois, des hommes armés s’en prennent aux femmes et aux filles déplacées par la famine, qui font souvent des centaines de kilomètres à pied en quête de nourriture et aboutissent dans des camps de réfugiés surpeuplés et anarchiques où des militants islamistes, des miliciens voyous et même des soldats du gouvernement commettent des viols, des vols et des meurtres en toute impunité.

Avec la famine qui force des centaines de milliers de femmes à se déplacer, les privant de la protection traditionnelle de leur clan, les travailleurs humanitaires disent qu’il n’y a jamais eu autant de viols. Dans certaines régions, disent-ils, les femmes sont utilisées comme des laissez-passer aux barrages routiers, abandonnées aux hommes qui surveillent ces barrages afin de permettre à un groupe de réfugiés désespérés de passer.

«La situation s’aggrave», a déclaré Radhika Coomaraswamy, représentante spéciale de l’ONU pour les enfants dans les conflits armés. Les récentes fuites ont suscité une augmentation des viols opportunistes, a-t-elle dit, et «les mariages forcés sont un autre moyen utilisé par le Shabab pour contrôler la population».

L’ONU indique avoir reçu plus de 2500 rapports de violence sexuelle dans les deux derniers mois seulement pour Mogadiscio, un nombre inhabituellement élevé ici. Mais comme la Somalie est une zone de non-droit pour la plupart des opérations, le personnel de l’ONU se dit incapable de confirmer ces rapports, s’en remettant aux organisations humanitaires somaliennes émergentes constamment menacées.

La Somalie est un pays profondément traditionnel, où 98 pour cent des filles sont excisées, selon les données des Nations Unies. La plupart des jeunes filles sont analphabètes et confinées à la maison. Quand elles en sortent, c’est généralement pour travailler, parcourant les ruelles jonchées de débris, enveloppées de la tête aux pieds dans un voile noir, portant souvent quelque chose sur leur dos, sous la chaleur écrasante du soleil équatorial.

La famine et les déplacements massifs, qui ont commencé durant l’été, ont accru la vulnérabilité des femmes et des filles. De nombreuses communautés somaliennes ont été dispersées, et avec les groupes armés forçant les hommes et les garçons à joindre leurs milices, ce sont souvent des femmes seules, avec des enfants, qui ont entrepris la dangereuse odyssée vers les camps de réfugiés.

Dans le même temps, des travailleurs humanitaires et des fonctionnaires des Nations Unies disent que les Shabab, qui combattent le gouvernement de transition de Somalie et imposent une version stricte de l’islam dans les zones qu’ils contrôlent, ne peuvent plus payer leurs milliers de combattants de la même façon qu’avant. Les Shabab offrent désormais aux jeunes hommes des «épouses temporaires» pour qu’ils continuent à se battre pour eux, de la même manière qu’ils s’emparent des récoltes et du bétail.

Mais ce ne sont guère des mariages, a déclaré Cheikh Mohamed Farah Ali, un ancien commandant Shabab ayant fait défection à l’armée gouvernementale. «Il n’y a aucun religieux, aucune cérémonie, rien», a-t-il dit, ajoutant que les combattants du Shabab s’étaient même accouplés avec de frêles petites filles d’à peine 12 ans qui se sont retrouvées déchirées et incontinentes. Si une fille refuse, dit-il, «elle est tuée à coups de pierres ou par balles». [...]
L'islam n'est pas la révélation de dieu a l'homme mais celle de l'homme sur dieu.
La religion en tant que source de consolation est un obstacle à la véritable foi, et en ce sens l'athéisme est une purification
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Celle la à couper les couilles à son beau père qui tentait de la violer.
http://blog.sami-aldeeb.com/2012/01/01/ ... la-violer/
Dernière modification par nexus le lun. 2 janv. 2012 18:25, modifié 1 fois.
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Re: Femmes obeissantes

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Pakistan : les talibans ont coupé les seins d'une femme qui allaitait et forcé d'autres femmes à les manger, cruauté,lâcheté et barbarie islamiste sans limites,il serait peut être intéressant d'envoyer les adeptes féminines du niqab de l'hexagone faire un stage dans ces régions tribales ou elles pourront voir leur chère doctrine rigoriste en action, la ou elles pourront s'épanouir sous la bénédiction du cher prophète de la secte qui à tant ouevrer pour la condition féminine dans ce bas monde . . :shock:



Des combattants talibans pakistanais ont coupé les seins d'une femme qui allaitait son enfant et ont demandé à d'autres femmes de manger les morceaux. Cet incident sanglant est décrit dans un rapport sur ​​la maltraitance des femmes dans les régions tribales bordant l’Afghanistan, en proie au militantisme.

L'incident s'est produit lorsque cinq militants sont entrés dans une maison et ont vu la femme en train d’allaiter son enfant. L’Express Tribune cite le rapport intitulé Impact of crisis on women and girls in FATA (l’impact de la crise sur les femmes et les filles des régions tribales). Ce rapport de l'organisation de droits humains « Khwendo Kor » (Maison des soeurs en pachto) publié avec le soutien financier de l'ONU, est basé sur des études de cas de femmes de la ceinture tribale vivant dans des camps érigés à Khyber-Pakhtunkhwa pour les personnes déplacées en raison du militantisme. Les femmes des régions tribales sont plus susceptibles d’être victimes d’abus dans un contexte post-conflit, qu’elles fassent ou non partie du conflit, indique le rapport.

Le rapport révèle également que dans les camps, des femmes ont été forcées d’avoir des relations sexuelles en échange de nourriture et d’autres articles. Les filles et les veuves sont plus exposées à de tels abus. « Quand je suis allée chercher de la nourriture à l’entrée principale du camp, un agent de sécurité m'a forcé à avoir des relations sexuelles en échange d'huile de cuisson et de lentilles », a déclaré une femme de 22 ans du camp de Jalozai citée dans le rapport.
Les enquêtes menées dans les camps de secours de Nahqai et de Jalozai montrent que les femmes ne sont pas à l’aise d’aller aux toilettes parce que des hommes rodent continuellement dans les parages. Le rapport fait également état d’une augmentation des « crimes d’honneur » visant les femmes violées, le viol étant considéré comme un déshonneur pour la famille. Les mariages forcés, les crimes d'honneur, l'échange de femmes entre tribus et la naissance d’enfants handicapés à cause des mariages entre cousins germains rendent les femmes très dépendantes, indique le rapport.

Source : Taliban cut nursing woman’s breast, asked others to eat pieces: UN-backed report, Indian Express, 16 décembre 2011.
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Re: Femmes obeissantes

Message non lu par nexus »

Il parait que violer et fouetter sa femme mène à dieu.C'est assez dur à regarder.

http://blog.sami-aldeeb.com/2012/01/02/ ... ne-a-dieu/
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Re: Femmes obeissantes

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La Somalie, le Pakistan, l'Afghanistan, l'Iran et le Soudan, plus ils continueront
dans ses horreurs, plus l'islam fera horreur aux musulmans eux mêmes.

Les 5 piliers de l'islam selon Zaratou

La peur
Comme toute phobie, une peur irrationnelle plantée dans l’esprit du musulman dès l’enfance. Allah est ce type de despote qui aime plutôt être craint qu’aimé. Et pour ceux qui ont le malheur de ne pas croire à ses idioties, il a réservé un enfer digne des tortionnaires les plus pervers. La crainte de Dieu, et de son châtiment éternel est le thème le plus cité dans tout discours religieux. Cet effet de répétition constitue l’ossature même du Coran. Il est destiné à pénétrer l’esprit de l’être humain et à l’enraciner la peur dans son inconscient même.

L'oppression
Violente de préférence. La différence avec les systèmes de répression connus des dictatures et des systèmes totalitaire, est que celle-ci n’est pas menée ou organisée par une institution centralisée comme l’inquisition ou la Gestapo.

Elle est intériorisée par l’individu qui la reproduit à son tour sur son frère, sa sœur, son voisin, son compatriote, son coreligionnaire. ..
Mohamed n’a t-il pas dit : « Que celui d'entre vous qui voit un mal le change par sa main». Une porte ouverte à la violence gratuite. Et surtout un défouloir à toutes les frustrations et les inhibitions des mâles dominants qui rodent dans le troupeau des fidèles.

L'arrogance
Les nazis se croyait la race supérieure. Les juifs se croient le peuple élu. Les musulmans ce disent « la meilleure communauté jamais produite pour les hommes ». Ce n’est qu’en discutant avec des musulmans qu’on comprend la fierté qu’il ressentent de faire partie des élus d’Allah. Cette arrogance les rend sourds à toute discussion ou débat. Une sorte de logique tribal qui impose de défendre aveuglement ce qu’on est. Si l’occident a réussi sur terre, c’est bien eux qui auront le paradis. D’ailleurs ils n’ont toujours pas résolu ce paradoxe : comment se fait t-il qu’ils soient en queue de peloton dans quasiment tous les domaines de vie humaine : science, économie, littérature, culture, sport,etc alors qu'il possèdent entre leurs mains la parole de Dieu. Une parole qui comporte toutes les réponses à toutes les questions et tant de miracles. Mais si, j’ai oublié : il n’ont pas assez appliqué l’islam! Ce qui nous mène vers notre point suivant.

La culpabilité
Comme chez nos amis les chrétiens, l’islam a compris comment se servir de la mauvaise conscience pour ronger l’esprit du fidèle. Il faut toujours prier plus, se vider plus de ces désirs et de ses passions, se conformer plus aux rites stupides... jusqu’à produire des robots décervelé prêt à tout pour arrêter ce mal qui les ronge. Prêt à opprimer leur entourage comme exécutoire de leur propres frustrations. Prêts à tuer, lapider, exploser. Le plus étonnant, c’est que l’islam a même réussi à culpabiliser l’occident de l’avoir persécute !

L’ignorance
Avez entendu parler de cette statistique : chaque année sont traduits en Espagnol autant de livres que ce qui est traduit en Arabe en 10 siècles. L’islam s’est maintenu dans état d’autarcie culturelle durant 14 siècle. D’ailleurs comment pourrait-on autrement soutenir qu’un livre aussi médiocre que le Coran soit la parole divine. Avec les médias modernes les musulmans tiennent aujourd’hui leur fenêtre sur le reste du monde. C’est peut être de là que viendra l’espoir.
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Re: Femmes obeissantes

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voici la vidéo d'une femme brûlant son hijab.
http://blog.sami-aldeeb.com/
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Re: Femmes obeissantes

Message non lu par nexus »

VOICI un texte évoquant le dogme des Ségrégations sexuelles en Iran envers les femmes c'est assez instructif sur leurs conditions dans les sociétés islamiques.




Source : D’après l’application de ce dogme « mahram / non mahram », toute une série de mesures ségrégatives sont ainsi nées qui ont été considérées comme un recours à l’islam par toutes les sociétés islamisées et surtout dans des pays dirigés par les régimes islamiques. C’est sous ce dogme que les femmes et les jeunes filles iraniennes sont déjà forcées à porter le hijab islamique.

Toutes les mesures misogynes dans les sociétés musulmanes se relient à un dogme que l’on appelle « mahram / non mahram ». Pour expliquer ce qui est « non mahram », il faut d’abord connaître ce qui est considéré comme « mahram » : un « mahram » est un très proche membre de la famille comme les enfants, les parents, les sœurs et les frères, les grands-parents, les oncles, les tantes et les beaux-parents avec lesquels une personne musulmane ne peut pas se marier.

Par contre, toute autre personne avec laquelle on peut éventuellement se marier est considérée comme « non mahram ». D’après la tradition islamique une femme musulmane ne doit pas montrer ses atours à un « non mahram. »

Ainsi, pour séparer la femme musulmane du champ visuel des « non mahrams » (en gros, de la quasi-totalité des hommes), on a imposé le hijab islamique. Le hijab islamique est en effet un mur qui sépare la femme musulmane de son environnement de « non mahram ».

D’après l’application de ce dogme « mahram / non mahram », toute une série de mesures ségrégatives sont ainsi nées qui ont été considérées comme un recours à l’islam par toutes les sociétés islamisées et surtout dans des pays dirigés par les régimes islamiques. C’est sous ce dogme que les femmes et les jeunes filles iraniennes sont déjà forcées à porter le hijab islamique.

Il va de soi que ce dogme s’applique aux mesures visées de répression contre les femmes en général et surtout les femmes qualifiées de “bad hijab” (mal voilées). Lutte contre les « mal voilées » fait partie d’une campagne nationale de haine et contrainte contre les femmes iraniennes depuis la prise du pouvoir par le régime islamique en 1979.

Le voile (le chador ou le hijab islamique) ne signifie pas forcément un degré élevé de respect de l’islam, mais démontre plutôt l’existence du dogme islamique qu’on appelle dans la langue persane « na mahram », non-mahram. C’est un dogme qui est devenu dans les sociétés musulmanes un phénomène plus présent et plus significatif que l’islam lui-même l’ordonna.

Le hijab islamique diffère d’un pays musulman à l’autre, mais quelle que soit la forme, la couleur, et la taille, il est un vêtement qui ne laisse pas apparaître le corps d’une femme musulmane aux yeux des « non mahrams. »

L’application du dogme de « non mahram », en tant que méthode d’exclusion des femmes, a ses racines dans une période préislamique de la péninsule d’Arabie, lorsque la petite fille était enterrée vivante. Malgré l’interdiction formelle par l’islam de la pratique de l’infanticide, certains critères misogynes ont été intégrés et puis institutionnalisés dans le statut des femmes dans les normes, traditions et lois islamiques.

Dans la société primitive des clans d’Arabie, le système patriarcal n’a pas garanti l’égalité des droits au sexe « faible ». Dans ce sens, le respect du dogme « mahram / non mahram » est synonyme d’une diminution générale du rôle social de la femme musulmane. Cet héritage archaïque montre aujourd’hui comment les femmes musulmanes font juridiquement et moralement face à la discrimination : la plupart de leurs droits sont abolis à la naissance et elles sont quasi écartées de la vie sociale.

L’introduction du dogme de « non mahram » dans l’islam n’est pas sans rapport avec les ennuis du Prophète vis-à-vis de son harem. Comme décrit par le penseur iranien, Ali Dashti, dans son livre Bisto-Seh Saal (23 années, une référence à la durée de la prophétie de Muhammad). Selon lui, le Prophète utilisait des versets du Coran ”Surah Ahzaab” pour consolider sa position vis-à-vis ses jeunes femmes pour les forcer à l’obédience absolue et la chasteté.

Pourtant pour y arriver, le prophète n’a pas mentionné un standard de hijab islamique. Ce qui laisse pour certains Musulmans modérés à penser que le hijab islamique est un produit du dogme du « non mahram » qui se trouve de plus en plus loin de ces racines mais reste à la même contrainte que tous les dogmes.

Le dogme du « non mahram » ne s’applique pas seulement dans la tenue ou le code vestimentaire de la femme, mais il est devenu dans la culture des pays musulmans un dogme qui s’implique dans tous les aspects de la vie sociale. Même l’architecture n’en était pas épargnée :

Une maison musulmane typiquement traditionnelle est construite autour d’une cour, une partie de la maison est réservée pour les femmes. La réception des hommes invités se trouve à côté du couloir de l’entrée de la maison afin que les visiteurs « les non mahrams » ne voient pas les femmes. Les fenêtres donnent sur la cour afin qu’un contact visuel ne se produise pas entre les habitantes de la maison avec les passants masculins, considérés comme « non mahrams. » Dans la grande maison où plusieurs générations peuvent vivre ensemble, les mesures les plus strictes sont imposées afin que le contact entre les « non mahrams », comme les cousins, beaux-frères ou belles-sœurs… ne mène pas à une tentation sexuelle.

Les traces du dogme de « non mahram » sont encore plus visibles dans les anciens palais, où aucun homme « non mahram », à l’exception des domestiques castrés, n’avait le droit d’accéder au harem du roi. De tels palais, comme l’habitation du Calife ou du roi, ont dû se conformer aux principes islamiques : alors le corps féminin y restait derrière la ligne rouge du champ visuel de tous les yeux masculins, ou des « non mahrams » fréquentant le palais.

Donc, on n’y voit guère des tableaux, des fresques, de musique, du théâtre, des cérémonies… dans lesquels le corps féminin soit apparu. L’application des mesures préventives a engendré une culture dominante qui s’est étendue dans la société musulmane. Elle dominait et domine toujours plus ou moins l’art, la musique, la poésie, et les normes morales et la vie sociale dans le monde musulman.

À cause de l’imposition du hijab islamique, l’outil symbolique du dogme « de non mahram », une série de discriminations contre les femmes comme celles concernant les conditions de travail, l’éducation, les loisirs et les sports, et d’autres aspects de la vie sociale ont émergé dans la société musulmane. Celles-ci prennent une allure ennuyante dans certains pays dirigés par les régimes islamiques.

Le poids de la ségrégation sexuelle et de la répression des femmes s’accrurent toujours sous le régime islamique en Iran. Depuis l’installation du régime islamique en 1979, des milliers de femmes iraniennes et leurs défenseurs ont été tués, emprisonnés et forcés à quitter le pays pour avoir lutté pour l’égalité des sexes. Des millions de femmes, considérées mal voilées, ont été punies, humiliées, et harassées en public par la police de la moralité du régime. Dans le fond de toutes ces mesureuses myogènes, on trouve le dogme de « mahram / non mharam ».
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Re: Femmes obeissantes

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la propagande mahométane, au Canada, pour justifier l'esclavage de la femme.

http://www.youtube.com/watch?v=GS9PLh3xCMw&feature=player_embedded
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Re: Femmes obeissantes

Message non lu par yacoub »

l'homo islamicus cretinus cretinus selon Nexus, place son honneur entre les cuisses de ses femmes.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=4VIEvyNhw6I
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Re: Femmes obeissantes

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Yacoub a écrit :l'homo islamicus cretinus cretinus selon Nexus, place son honneur entre les cuisses de ses femmes.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=4VIEvyNhw6I
Et il parait que l'islam à libéré les femmes ,quelle tristesse.
Ce genre de pratiques c'est vraiment le summum de la lâcheté masculine islamique.
L'islam n'est pas la révélation de dieu a l'homme mais celle de l'homme sur dieu.
La religion en tant que source de consolation est un obstacle à la véritable foi, et en ce sens l'athéisme est une purification
L'athéisme est une négation de Dieu, et par cette négation, il pose l'existence de l'homme.
Maried
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Re: Femmes obeissantes

Message non lu par Maried »

Ces monstresn ont été engendrés par des femmes c'est la faute des femmes
d'avoir éduqué leurs enfants dans cette religion
Sartre disait je n'ai aucun respect pour les victimes qui respectent leurs bourreaux
je fais mienne cette opinion
alors que d'habitude je suis à la réserve quant aux prises de position anti ocidentales de ce philosophe
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Cicéron
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Re: Femmes obeissantes

Message non lu par yacoub »

Il y a des esclaves qui sont contents de leurs servitudes.
La Boétie a écrit là dessus
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