C. Levi Strauss analyse l'islam
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C. Levi Strauss analyse l'islam
« si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement (prières cinq fois par jour, génuflexions) ; revues de détail et soins de propreté (les ablutions rituelles) ; promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions organiques ; et pas de femmes. » Claude Levi srauss , Tristes tropismes éd. Plon, 1955, coll. Terre Humaine, p. 466
Seuls ceux qui ont vécu, j'entends réellement vécu des années dans une société musulmane peuvent comprendre ce que dénonce Levi Strauss. C’est un monde de tristesse, de ségrégation, d’oppression, tout y est terne, pas de couleurs gaies, les hommes s’habillent en gris, les femmes sont couvertes, les rires sont forcés à l’excès ou moqueurs. Chacun essaie, dans le petit espace où il a quelque pouvoir, d’exercer sa domination sur son bouc émissaire personnel, son employé, son élève, sa femme, ses filles…
Les femmes, dénoncées comme naturellement inférieures à l’homme, cumulent toutes les oppressions, recluses dans les espaces domestiques elles seront toujours assises derrières les hommes dans la voiture comme à la mosquée. Ce positionnement les reléguant au fond de la salle de prière dans un espace imposé est strictement codifié, impératif catégorique musulman... Il va de soi qu’il leur est interdit d’être muezzin, iman, mufti ou d’exercer toute autre fonction religieuse et même simplement de lire le coran à haute voix .
le musulman ne connaît rien à l’univers de la femme, c’est un monde étrange qui lui échappe totalement, empli d’arcanes liées à sa sexualité, aux lieux qui lui sont interdits, aux horaires séparés dans les hammams… Elles sortent ensemble, par groupe de trois ou quatre dans la rue, dans les magasins, subterfuge efficace pour briser l’enfermement que leur impose la phallocratie traditionnelle, les plus téméraires vont jusqu’à boire un café en terrasse.
Que disent-elles de l’homme quand elles ricanent ainsi en le regardant en coin ? Il voudrait bien croire qu’elles fantasment -comme lui à longueur de journée- sur ses performances sexuelles, sur tout ce qu’il pourrait leur faire… mais il sait bien en son être que ce n’est pas ça, elles se moquent de sa moustache broussailleuse, la même que celle de son voisin, du voisin de son voisin, de son frère, de son père, ridicule symbole étalé de sa virilité, exacerbée et contenue à la fois. Elles se moquent de son gros bide, apparat adipeux qui lui poussera inéluctablement à cause de l’existence désœuvrée qui le fixera à jamais sur les chaises des cafés, inactif, avachi, à siroter toute sa vie des thés trop sucrés, imbu du prestige que lui confère la vague impression de puissance qu’il éprouve en déplaçant sa masse avec la grâce d’un lutteur turc. Elles se moquent de ses manières grossières, de son sempiternel énervement, de sa voix forte, de ses veines gonflées qui sont autant de signaux adressés à son entourage pour exercer dans le minuscule domaine dont il est le maître, un pouvoir absolu, traitant le serveur comme de dernier des larbins.
Oui, elles se moquent de lui, n’ont d’yeux que pour ce touriste discret qui lit tranquillement son journal, un rien ébahi par les excités de la table d’à côté. Le moustachu sait, sent cette moquerie et ça le rend fou, tout le monde en prend pour son grade, ce serveur, ces putes maquillées qui sortent sans homme pour les chaperonner et qui font de l’œil sans vergogne à cet occidental efféminé, ces occidentaux qui sont à la botte des américains, des juifs, ces juifs qui tiennent les fils de la planète…
Alors, exclu de l’univers des femmes, de l’univers de l’étranger qui lui échappent autant l’un que l’autre, cet homme restera avec d’autres hommes, tous musulmans, tous identiques, condamnés à soigner leur mal-être entre hommes par des rituels d’appartenance renouvelés à chaque instant, ensemble au café à boire des thés, ensemble à fumer la chicha ensemble à manger, tout cela en bons musulmans, c'est-à-dire à l’exclusion des autres.
« Chez les Musulmans manger devient un système : nul ne saisit l’os de la viande pour ronger la chair. De la seule main utilisable (l’autre étant impure, parce que réservée aux ablutions intimes) on pétrit, on arrache des lambeaux ; et quand on a soif, la main graisseuse empoigne le verre. En observant ces manières de tables, qui valent bien les autres mais qui, du point de vue occidental, semble faire ostentation de sans-gêne, on se demande jusqu’à quel point la coutume plutôt que le vestige archaïque, ne résulte pas d’une réforme voulue par le prophète : « Ne faites pas comme les autres peuples qui mangent avec un couteau », inspiré par le même souci, inconscient sans doute, d’infantilisation systématique, d’imposition homosexuelle de la communauté par la promiscuité qui ressort des rituels de propreté après le repas, quand tout le monde se lave les mains, se gargarise, éructe et crache dans la même cuvette, mettant en commun, dans une indifférence terriblement autiste, la même peur de l’impureté associée au même exhibitionnisme. » Tristes tropiques, p.466
Seuls ceux qui ont vécu, j'entends réellement vécu des années dans une société musulmane peuvent comprendre ce que dénonce Levi Strauss. C’est un monde de tristesse, de ségrégation, d’oppression, tout y est terne, pas de couleurs gaies, les hommes s’habillent en gris, les femmes sont couvertes, les rires sont forcés à l’excès ou moqueurs. Chacun essaie, dans le petit espace où il a quelque pouvoir, d’exercer sa domination sur son bouc émissaire personnel, son employé, son élève, sa femme, ses filles…
Les femmes, dénoncées comme naturellement inférieures à l’homme, cumulent toutes les oppressions, recluses dans les espaces domestiques elles seront toujours assises derrières les hommes dans la voiture comme à la mosquée. Ce positionnement les reléguant au fond de la salle de prière dans un espace imposé est strictement codifié, impératif catégorique musulman... Il va de soi qu’il leur est interdit d’être muezzin, iman, mufti ou d’exercer toute autre fonction religieuse et même simplement de lire le coran à haute voix .
le musulman ne connaît rien à l’univers de la femme, c’est un monde étrange qui lui échappe totalement, empli d’arcanes liées à sa sexualité, aux lieux qui lui sont interdits, aux horaires séparés dans les hammams… Elles sortent ensemble, par groupe de trois ou quatre dans la rue, dans les magasins, subterfuge efficace pour briser l’enfermement que leur impose la phallocratie traditionnelle, les plus téméraires vont jusqu’à boire un café en terrasse.
Que disent-elles de l’homme quand elles ricanent ainsi en le regardant en coin ? Il voudrait bien croire qu’elles fantasment -comme lui à longueur de journée- sur ses performances sexuelles, sur tout ce qu’il pourrait leur faire… mais il sait bien en son être que ce n’est pas ça, elles se moquent de sa moustache broussailleuse, la même que celle de son voisin, du voisin de son voisin, de son frère, de son père, ridicule symbole étalé de sa virilité, exacerbée et contenue à la fois. Elles se moquent de son gros bide, apparat adipeux qui lui poussera inéluctablement à cause de l’existence désœuvrée qui le fixera à jamais sur les chaises des cafés, inactif, avachi, à siroter toute sa vie des thés trop sucrés, imbu du prestige que lui confère la vague impression de puissance qu’il éprouve en déplaçant sa masse avec la grâce d’un lutteur turc. Elles se moquent de ses manières grossières, de son sempiternel énervement, de sa voix forte, de ses veines gonflées qui sont autant de signaux adressés à son entourage pour exercer dans le minuscule domaine dont il est le maître, un pouvoir absolu, traitant le serveur comme de dernier des larbins.
Oui, elles se moquent de lui, n’ont d’yeux que pour ce touriste discret qui lit tranquillement son journal, un rien ébahi par les excités de la table d’à côté. Le moustachu sait, sent cette moquerie et ça le rend fou, tout le monde en prend pour son grade, ce serveur, ces putes maquillées qui sortent sans homme pour les chaperonner et qui font de l’œil sans vergogne à cet occidental efféminé, ces occidentaux qui sont à la botte des américains, des juifs, ces juifs qui tiennent les fils de la planète…
Alors, exclu de l’univers des femmes, de l’univers de l’étranger qui lui échappent autant l’un que l’autre, cet homme restera avec d’autres hommes, tous musulmans, tous identiques, condamnés à soigner leur mal-être entre hommes par des rituels d’appartenance renouvelés à chaque instant, ensemble au café à boire des thés, ensemble à fumer la chicha ensemble à manger, tout cela en bons musulmans, c'est-à-dire à l’exclusion des autres.
« Chez les Musulmans manger devient un système : nul ne saisit l’os de la viande pour ronger la chair. De la seule main utilisable (l’autre étant impure, parce que réservée aux ablutions intimes) on pétrit, on arrache des lambeaux ; et quand on a soif, la main graisseuse empoigne le verre. En observant ces manières de tables, qui valent bien les autres mais qui, du point de vue occidental, semble faire ostentation de sans-gêne, on se demande jusqu’à quel point la coutume plutôt que le vestige archaïque, ne résulte pas d’une réforme voulue par le prophète : « Ne faites pas comme les autres peuples qui mangent avec un couteau », inspiré par le même souci, inconscient sans doute, d’infantilisation systématique, d’imposition homosexuelle de la communauté par la promiscuité qui ressort des rituels de propreté après le repas, quand tout le monde se lave les mains, se gargarise, éructe et crache dans la même cuvette, mettant en commun, dans une indifférence terriblement autiste, la même peur de l’impureté associée au même exhibitionnisme. » Tristes tropiques, p.466
Abdelbouddha
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
alors, il est où Unavis? il me semble qu'il se référait à des grands penseurs, non?
Abdelbouddha
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Laisse lui le temps d'arriver ! ^^
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Claude Levy Strauss a écrit Tristes Tropiques en 1955
et il a vu l'influence néfaste de l'islam sur les élites Françaises
ainsi Louis Massignon et d'autres Arabisants refusait aux Algériens les bienfaits de la civilisation Française
et les engageait à rester dans la culture arabo-islamique qui pourtant est néfaste et dangereuse aux femmes
Au lieu d'imiter la Turquie l'Algérie indépendante choisit de se modeler sur les théocraties islamiques
Nous sommes contaminés par l'intolérance islamique
a t-il dit
et il a vu l'influence néfaste de l'islam sur les élites Françaises
ainsi Louis Massignon et d'autres Arabisants refusait aux Algériens les bienfaits de la civilisation Française
et les engageait à rester dans la culture arabo-islamique qui pourtant est néfaste et dangereuse aux femmes
Au lieu d'imiter la Turquie l'Algérie indépendante choisit de se modeler sur les théocraties islamiques
Nous sommes contaminés par l'intolérance islamique
a t-il dit
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
C'est pas mal, mais quand meme un peu exagerer, c'est pas toujours comme ca, entout cas en egypte il y a pas que des gens comme ca, je pense que c'est plus vrai pour les pays style arabie ou alors pour les gens provenant de familles tres religieuses, mais quand meme il ya un grand nombre de musulmans qui ne ressamblent pas au model decris (heureusement)abdelbouddha a écrit :« si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement (prières cinq fois par jour, génuflexions) ; revues de détail et soins de propreté (les ablutions rituelles) ; promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions organiques ; et pas de femmes. » Claude Levi srauss , Tristes tropismes éd. Plon, 1955, coll. Terre Humaine, p. 466
Seuls ceux qui ont vécu, j'entends réellement vécu des années dans une société musulmane peuvent comprendre ce que dénonce Levi Strauss. C’est un monde de tristesse, de ségrégation, d’oppression, tout y est terne, pas de couleurs gaies, les hommes s’habillent en gris, les femmes sont couvertes, les rires sont forcés à l’excès ou moqueurs. Chacun essaie, dans le petit espace où il a quelque pouvoir, d’exercer sa domination sur son bouc émissaire personnel, son employé, son élève, sa femme, ses filles…
Les femmes, dénoncées comme naturellement inférieures à l’homme, cumulent toutes les oppressions, recluses dans les espaces domestiques elles seront toujours assises derrières les hommes dans la voiture comme à la mosquée. Ce positionnement les reléguant au fond de la salle de prière dans un espace imposé est strictement codifié, impératif catégorique musulman... Il va de soi qu’il leur est interdit d’être muezzin, iman, mufti ou d’exercer toute autre fonction religieuse et même simplement de lire le coran à haute voix .
le musulman ne connaît rien à l’univers de la femme, c’est un monde étrange qui lui échappe totalement, empli d’arcanes liées à sa sexualité, aux lieux qui lui sont interdits, aux horaires séparés dans les hammams… Elles sortent ensemble, par groupe de trois ou quatre dans la rue, dans les magasins, subterfuge efficace pour briser l’enfermement que leur impose la phallocratie traditionnelle, les plus téméraires vont jusqu’à boire un café en terrasse.
Que disent-elles de l’homme quand elles ricanent ainsi en le regardant en coin ? Il voudrait bien croire qu’elles fantasment -comme lui à longueur de journée- sur ses performances sexuelles, sur tout ce qu’il pourrait leur faire… mais il sait bien en son être que ce n’est pas ça, elles se moquent de sa moustache broussailleuse, la même que celle de son voisin, du voisin de son voisin, de son frère, de son père, ridicule symbole étalé de sa virilité, exacerbée et contenue à la fois. Elles se moquent de son gros bide, apparat adipeux qui lui poussera inéluctablement à cause de l’existence désœuvrée qui le fixera à jamais sur les chaises des cafés, inactif, avachi, à siroter toute sa vie des thés trop sucrés, imbu du prestige que lui confère la vague impression de puissance qu’il éprouve en déplaçant sa masse avec la grâce d’un lutteur turc. Elles se moquent de ses manières grossières, de son sempiternel énervement, de sa voix forte, de ses veines gonflées qui sont autant de signaux adressés à son entourage pour exercer dans le minuscule domaine dont il est le maître, un pouvoir absolu, traitant le serveur comme de dernier des larbins.
Oui, elles se moquent de lui, n’ont d’yeux que pour ce touriste discret qui lit tranquillement son journal, un rien ébahi par les excités de la table d’à côté. Le moustachu sait, sent cette moquerie et ça le rend fou, tout le monde en prend pour son grade, ce serveur, ces putes maquillées qui sortent sans homme pour les chaperonner et qui font de l’œil sans vergogne à cet occidental efféminé, ces occidentaux qui sont à la botte des américains, des juifs, ces juifs qui tiennent les fils de la planète…
Alors, exclu de l’univers des femmes, de l’univers de l’étranger qui lui échappent autant l’un que l’autre, cet homme restera avec d’autres hommes, tous musulmans, tous identiques, condamnés à soigner leur mal-être entre hommes par des rituels d’appartenance renouvelés à chaque instant, ensemble au café à boire des thés, ensemble à fumer la chicha ensemble à manger, tout cela en bons musulmans, c'est-à-dire à l’exclusion des autres.
« Chez les Musulmans manger devient un système : nul ne saisit l’os de la viande pour ronger la chair. De la seule main utilisable (l’autre étant impure, parce que réservée aux ablutions intimes) on pétrit, on arrache des lambeaux ; et quand on a soif, la main graisseuse empoigne le verre. En observant ces manières de tables, qui valent bien les autres mais qui, du point de vue occidental, semble faire ostentation de sans-gêne, on se demande jusqu’à quel point la coutume plutôt que le vestige archaïque, ne résulte pas d’une réforme voulue par le prophète : « Ne faites pas comme les autres peuples qui mangent avec un couteau », inspiré par le même souci, inconscient sans doute, d’infantilisation systématique, d’imposition homosexuelle de la communauté par la promiscuité qui ressort des rituels de propreté après le repas, quand tout le monde se lave les mains, se gargarise, éructe et crache dans la même cuvette, mettant en commun, dans une indifférence terriblement autiste, la même peur de l’impureté associée au même exhibitionnisme. » Tristes tropiques, p.466
Non, avec moi elles fantasment, je peux te l'dire!! (j'suis athe c'est ptetre pour ca?)abdelbouddha a écrit : Que disent-elles de l’homme quand elles ricanent ainsi en le regardant en coin ? Il voudrait bien croire qu’elles fantasment -comme lui à longueur de journée- sur ses performances sexuelles, sur tout ce qu’il pourrait leur faire… mais il sait bien en son être que ce n’est pas ça
"Suivez ceux qui cherchent la vérité. Fuyez ceux qui l'ont trouvé" - Vaclav Havel
- samay
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Ouais , au Maroc non plus , c'est pas du tout comme ça ... dans les grandes villes
Mais dans les villages et à la campagne , c'est exactement comme décrit plus haut.
J'ajoute que les périodes de l'année les plus tristes , sont paradoxalement les périodes de "fête" .Comme les fêtes principales sont religieuses , les boites et débits de boisson sont tenus , sous peine de fermeture , de ne pas servir d'alcool aux musulmans . Au super marché , pendant les fêtes , on doit montrer ses papiers pour pouvoir acheter du haram .lol . et si par malheur tu t'appelles Mohamed ou Rachida , on ne te servira pas , même si t'es allemande , française ou chinois
Mais bon , en tout cas très bon texte et plein d'humour . Merci pour ce post
Mais dans les villages et à la campagne , c'est exactement comme décrit plus haut.
J'ajoute que les périodes de l'année les plus tristes , sont paradoxalement les périodes de "fête" .Comme les fêtes principales sont religieuses , les boites et débits de boisson sont tenus , sous peine de fermeture , de ne pas servir d'alcool aux musulmans . Au super marché , pendant les fêtes , on doit montrer ses papiers pour pouvoir acheter du haram .lol . et si par malheur tu t'appelles Mohamed ou Rachida , on ne te servira pas , même si t'es allemande , française ou chinois
Mais bon , en tout cas très bon texte et plein d'humour . Merci pour ce post
- alibey
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Au sujet de l'islam Onfray a du être influencé par Levi-strauss
Je vous propose l'une de ses interventions
http://www.youtube.com/v/JgKdC7mr1QI
Je vous propose l'une de ses interventions
http://www.youtube.com/v/JgKdC7mr1QI
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Bon bah apparemment Unavis n'est pas resté longtemps par ici ! ^^
Merci pour ces textes intéressants ! Si vous en avez d'autres chu preneur. J'ai un profond respect pour Claude Levi Strauss
Merci pour ces textes intéressants ! Si vous en avez d'autres chu preneur. J'ai un profond respect pour Claude Levi Strauss
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Oui, j'en ai d'autres, plein! Mais ni Unavis ni Multiafrique ne se riqueront à répondre, leur incapacité à soutenir une conversation sur Levi Strauss témoigne de leur inculture. Même si les utilisateurs enregistrés savent qu'ils ne connaissent pas l'islam il faut en avertir les visiteurs occasionnels. Je suis bien content que le second soit comme le premier, ils n'ont pas lu Levi Strauss. Au moins on voit que je m'acharne pas sur Multiafrique, c'est général, on ne peut comprendre le sens de l'islam si l'on n'a pas lu Averroès, Avicenne, Al Farabî... et eux-mêmes ont ne peut les comprendre sans un minimum de connaissance sur Platon, Aristote, le stoïcisme...
En fait, je suis persuadé que leur but est d'occuper tout l'espace du forum de manière à ce que les critiques pertinentes de cette religion disparaissent de la page d'accueil afin que les musulmans qui doutent de leur foi n'y aient pas un accès direct, mais assimilent ce forum à une foire d'empoigne.
je vais proposer dans "amélioration du forum" un moyen de remédier à ces pratiques malhonnêtes.
En fait, je suis persuadé que leur but est d'occuper tout l'espace du forum de manière à ce que les critiques pertinentes de cette religion disparaissent de la page d'accueil afin que les musulmans qui doutent de leur foi n'y aient pas un accès direct, mais assimilent ce forum à une foire d'empoigne.
je vais proposer dans "amélioration du forum" un moyen de remédier à ces pratiques malhonnêtes.
Abdelbouddha
- alibey
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
J'ai lu "triste tropique" et il faut dire que c''est vraiment très interessant même si levi-straus parle de son expérience en indezOUnOUrs a écrit :Bon bah apparemment Unavis n'est pas resté longtemps par ici ! ^^
Merci pour ces textes intéressants ! Si vous en avez d'autres chu preneur. J'ai un profond respect pour Claude Levi Strauss
Au sujet de la soi-disant tolérance de l'islam il dit :
Plutôt que parler de tolérance, il vaudrait mieux dire que cette tolérance, dans la mesure où elle existe, est une perpétuelle victoire sur eux-mêmes (les musulmans). En la préconisant, le Prophète les a placés dans une situation de crise permanente, qui résulte de la contradiction entre la portée universelle de la révélation et l'admission de la pluralité des fois religieuses. Il y a là une situation «paradoxale» au sens pavlovien, génératrice d'anxiété d'une part et de complaisance en soi-même de l'autre, puisqu'on se croit capable, grâce à l'Islam, de surmonter un pareil conflit. En vain, d'ailleurs : comme le remarquait un jour devant moi un philosophe indien, les musulmans tirent vanité de ce qu'ils professent la valeur universelle de grands principes : liberté, égalité, tolérance ; et ils révoquent le crédit à quoi ils prétendent en affirmant du même jet qu'ils sont les seuls à les pratiquer
.....
Grande religion qui se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance à nouer des liens au-dehors. En face de la bienveillance universelle du bouddhisme, du désir chrétien de dialogue, l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupables ; car s'ils ne cherchent pas toujours, de façon brutale, à amener autrui à partager leur vérité, ils sont pourtant (et c'est plus grave) incapables de supporter l'existence d'autrui comme autrui. Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une «néantisation» d'autrui, considéré comme témoin d'une autre foi et d'une autre conduite. La fraternité islamique est la converse d'une exclusive contre les infidèles qui ne peut pas s'avouer, puisque, en se reconnaissant comme telle, elle équivaudrait à les reconnaître eux-mêmes comme existants.
Dernière modification par alibey le dim. 4 juil. 2010 09:10, modifié 1 fois.
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Ne t'embarrasse pas de ces gens .. occupe l'espace qu'ils ne pourront pas prendre .. tes sujets sont autant de marques de leur inculture .. ils ne veulent pas répondre parce qu'ils ne peuvent pas .. alors profitez en et donnez nous encore des messages de cette qualité ..abdelbouddha a écrit :Oui, j'en ai d'autres, plein! Mais ni Unavis ni Multiafrique ne se riqueront à répondre, leur incapacité à soutenir une conversation sur Levi Strauss témoigne de leur inculture. Même si les utilisateurs enregistrés savent qu'ils ne connaissent pas l'islam il faut en avertir les visiteurs occasionnels. Je suis bien content que le second soit comme le premier, ils n'ont pas lu Levi Strauss. Au moins on voit que je m'acharne pas sur Multiafrique, c'est général, on ne peut comprendre le sens de l'islam si l'on n'a pas lu Averroès, Avicenne, Al Farabî... et eux-mêmes ont ne peut les comprendre sans un minimum de connaissance sur Platon, Aristote, le stoïcisme...
En fait, je suis persuadé que leur but est d'occuper tout l'espace du forum de manière à ce que les critiques pertinentes de cette religion disparaissent de la page d'accueil afin que les musulmans qui doutent de leur foi n'y aient pas un accès direct, mais assimilent ce forum à une foire d'empoigne.
je vais proposer dans "amélioration du forum" un moyen de remédier à ces pratiques malhonnêtes.
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
ok, je vais en rédiger un autre, en attendant il est remarquable que C. Levi Strauss, humaniste, , qui n'a cessé de dénoncer l'ethnocentrisme, ait cette position sur l'islam. Quant on connaît la perinence de son regard sur les cultures qu'il a étudiées ça mérite d'être pris en considération
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
C'est le désespoir qui conduit les gens à l'islam.alibey a écrit :Au sujet de l'islam Onfray a du être influencé par Levi-strauss
Je vous propose l'une de ses interventions
http://www.youtube.com/v/JgKdC7mr1QI
Ridicule.
Il faut entendre les imams discourir. Ils ne parlent que du sexe.
Comme ici par exemple
http://video.google.com/videoplay?docid ... 3515417166
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Je n'ai pas encore lu des oeuvres de feu C. Levi Strauss, seulement des articles sur lui et ses thèses, mais je pense que je vais m'y mettre pour mieux comprendre le structuralisme en anthropologie. J'avais entendu parler de ses vues sur les sociétés islamiques. Il a beau plaider pour préserver la biodiversité culturelle (bien que toute culture évolue, donc certains aspects culturels risquent quand même de disparaître), il a quand même un regard qui peut sembler sévère vis-à--vis des cultures islamiques (et beaucoup d'intellectuels occidentaux ont à peu près la même attitude en ce domaine, contrairement à ce que des propagandistes de forum musulmans tendent à faire croire).
Tristes Tropismes est un livre surtout destiné au grand public sorti en 1955. Il se pourrait, vu le témoignages d'autres forumeurs, que les moeurs aient évolués, et il semblerait que cela soit le cas dans les zones les plus occidentalisés de l'Arabie et de l'Afrique du Nord. Et que les moeurs de campagnes, et de familles conservatrices ne s'éloigneraient pas beaucoup du constat de cet extrait.
J'ignore pour quelle société musulmane Lévi-Strauss dresse le constat de cette page, mais ce serait intéressant de le savoir.
Souvent les personnes extérieures qui analyse l'islam disent que c'est une religion de division, de séparation, sans nuances entre le blanc et le noir, obsédés par la pureté (un peu comme les Témoins de Jéhovah, mais peut-être pire en ce qui concerne la condition féminine) etc. C'est marrant, parce que pour l'instant je suis en train de lire "Les sept piliers de la sagesse" de T. E. Lawrence (Lawrence d'Arabie de son surnom), et ses analyses sur l'islam et les peuples arabes ne sont pas doux, bien que plus nuancées que les extraits que j'ai lu de C. Lévi-Strauss, peut-être parce qu'il est amené à les connaître pour des buts bien différents de ceux d'un simple ethnologue. J'en créerai peut-être un sujet dès que je serai assez avancée dans le livre.
Tristes Tropismes est un livre surtout destiné au grand public sorti en 1955. Il se pourrait, vu le témoignages d'autres forumeurs, que les moeurs aient évolués, et il semblerait que cela soit le cas dans les zones les plus occidentalisés de l'Arabie et de l'Afrique du Nord. Et que les moeurs de campagnes, et de familles conservatrices ne s'éloigneraient pas beaucoup du constat de cet extrait.
J'ignore pour quelle société musulmane Lévi-Strauss dresse le constat de cette page, mais ce serait intéressant de le savoir.
Souvent les personnes extérieures qui analyse l'islam disent que c'est une religion de division, de séparation, sans nuances entre le blanc et le noir, obsédés par la pureté (un peu comme les Témoins de Jéhovah, mais peut-être pire en ce qui concerne la condition féminine) etc. C'est marrant, parce que pour l'instant je suis en train de lire "Les sept piliers de la sagesse" de T. E. Lawrence (Lawrence d'Arabie de son surnom), et ses analyses sur l'islam et les peuples arabes ne sont pas doux, bien que plus nuancées que les extraits que j'ai lu de C. Lévi-Strauss, peut-être parce qu'il est amené à les connaître pour des buts bien différents de ceux d'un simple ethnologue. J'en créerai peut-être un sujet dès que je serai assez avancée dans le livre.
"L'esprit est comme le bois et la pierre. C'est comme si quelqu'un peignait de sa propre main des dragons et des tigres, et s'effrayait à leur vue."
Traité de Bodhidharma, Mélanges I, L'esprit créateur
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Re: C. Levi Strauss analyse l'islam
Non ça a empiréTristes Tropismes est un livre surtout destiné au grand public sorti en 1955. Il se pourrait, vu le témoignages d'autres forumeurs, que les moeurs aient évolués, et il semblerait que cela soit le cas dans les zones les plus occidentalisés de l'Arabie et de l'Afrique du Nord. Et que les moeurs de campagnes, et de familles conservatrices ne s'éloigneraient pas beaucoup du constat de cet extrait.
Des filles de 9 ans sont vendues par leur père à des vieillards riches.
Ils appliquent le mariage religieux qui n'a pas besoin de la mairie.
Des filles se retrouvent à l'hôpital le soir même de leurs noces.
Ils circoncisent toujours.
certains parlent même de rétablir l'esclavage des non-musulmans.