Ad blocker detected : Our website is made possible by displaying online advertisements to our visitors. Please consider supporting us by disabling your ad blocker on our website.
Toutes les cultures - les dialectes et les langues du monde - se rencontrer et découvrir les autres - proposer ses services. Annuaires et liens - blogs et forums à découvrir ou à dénoncer.
lorie a écrit :J'ai oublié .. les Tontons Flingueurs ... Avec la célèbre réplique ..
"Non mais t'as déjà vu ça ? En pleine paix ? Il chante et puis crac, un bourre-pif ! Il est complètement fou ce mec. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance et une sévère… Je vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon Puzzle. Moi, quand on m'en fait trop je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile !" !!!!
Films
Mes préférés dans l'ordre limités à 5
-Le seigneur des anneaux .
-Toute la filmographie Star Wars.
-Toute la filmographie Star Trek.
- 2001 l’Odyssée de l'espace.
-La guerre des boutons.
L'islam n'est pas la révélation de dieu a l'homme mais celle de l'homme sur dieu.
La religion en tant que source de consolation est un obstacle à la véritable foi, et en ce sens l'athéisme est une purification
L'athéisme est une négation de Dieu, et par cette négation, il pose l'existence de l'homme.
Wadjda, premier film saoudien de l’histoire, éblouissant
Wadjda, premier film saoudien de l’histoire, éblouissant
Wadjda n’est pas n’importe quel film : il est le premier long-métrage jamais réalisé en Arabie Saoudite. Qui plus est par une femme, Haifaa Al-Mansour, figure emblématique dans son pays. Il fut une révélation au très prisé Festival de Venise qui lui a remis le Prix du Meilleur film Art et essai. Une récompense largement méritée pour un film magnifique et engagé, parlant avec subtilité et force de la condition des femmes dans le royaume. Une merveille.
En 2011, nous avions découvert avec la même émotion l’histoire d’une femme iranienne grâce à Une Séparation, long-métrage sublime et ultra-primé ayant obtenu, entre autre, l’Oscar du Meilleur film étranger, à raison. Un an et demi plus tard, une autre « claque » vient nous bousculer, nous émouvoir : Wadjda, sortie dans les salles françaises ce mercredi 6 février. Nous découvrons cette fois l’Arabie Saoudite, et ses femmes dont on ne voit, dans la rue, que les yeux. Nous suivons une enfant qui refuse la fatalité. Celle de se cacher du regard des hommes, celle de se taire, celle de ne pas avoir le droit de faire de vélo, car au royaume, les bicyclettes sont réservées aux hommes. Nous découvrons tout cela pour la toute première fois, Wadjda étant le premier film réalisé en Arabie Saoudite. Un évènement pour l’histoire du pays et celle du cinéma. D’autant plus que dernière la caméra, c’est une femme qui porte ce regard, la courageuse Haifaa Al-Mansour. Première femme réalisatrice de son pays, elle est une personnalité chez elle, admirée par les uns, controversée par d’autres. Car l’artiste n’en est pas à son premier coup d’essai, ayant déjà réalisé trois courts-métrages et surtout un documentaire, Des Femmes sans Ombres, récompensé à de multiples reprises et ayant permis de déclencher un débat dans son pays : celui de l’ouverture de salles de cinéma. S’attaquant à des sujets tabous, brisant le silence, la réalisatrice livre cette fois un premier long-métrage à son image : parler avec subtilité des femmes du royaume et de leurs droits bafoués. Sans jamais verser dans la facilité ou la caricature.
Wadjda raconte l’histoire d’une adolescente de 12 ans, habitant avec sa mère à Riyad, la capitale. Malgré le conservatisme ambiant, qu’il soit dans la rue, ou dans son école de filles, la jeune Wadjda ne compte pas passer à côté de ses rêves d’enfant. Celui notamment d’avoir un vélo, et de faire la course avec son ami Abdallah. Sauf qu’au royaume Wahhabite, le vélo n’est pas fait pour les jeunes filles, elles n’ont pas le droit car il représente une menace pour leur vertu. Mais Wadjda n’en a que faire. Elle l’achètera si elle parvient à récolter la somme nécessaire, se débrouillera seule s’il le faut. Une occasion va alors se présenter : un concours dans son école de récitation coranique, avec à la clé, assez d’argent pour pouvoir se payer la bicyclette tant désirée…
Wadjda, pour donner, enfin, la parole aux femmes d'Arabie Saoudite
Une histoire en apparence toute simple mais s’attaquant avec force à une thématique difficile. Un très beau scénario, servi par une réalisation tout en subtilité et un casting entièrement saoudien, qui fait de Wadjda un immense film, une œuvre d’un engagement total nous rappelant qu’il ne faut jamais renoncer. L’espoir, le courage et la persévérance de cette jeune fille nous émeut tout au long du long-métrage, comme nombre de personnages que nous croisons, sa mère en premier lieu. Wadjda évoque cette condition féminine terrible mais également cette envie, ce besoin d’émancipation qu’éprouvent les femmes du pays, il nous parle aussi des relations au sein de la famille, de l’amitié… En somme de toute la société wahhabite, sans jamais verser dans la caricature, notamment d’hommes fermés ou violents. La jeune femme campant le rôle de Wadjda est aussi en soi une révélation. Pour sa première apparition cinématographique, la jeune Waad Mohammed est sidérante, emplie comme son personnage de cette fougue et de cette ténacité qui caractérisent l’héroïne du film ainsi que sa réalisatrice. Le tournage fut effectivement difficile, Haifaa Al-Mansour avouant elle-même avoir été obligée « parfois de courir et se cacher dans le van de production quand nous tournions à proximité de lieux plus conservateurs, où les gens auraient désapprouvé la présence d’une femme réalisatrice ». La persévérance et le refus de la fatalité, comme toujours.
Wadjda est une œuvre salvatrice, une ode à la liberté et au courage, un regard qui nous apprend beaucoup. Un long métrage à voir absolument.
Ni Dieu, Ni Maitre. Athéisme naturaliste et humaniste. l'auto gestion comme forme politique. L'écologie pour nous sauver. La vie comme une romance gothique!.
"Vous n'avez pas besoin de religion pour justifier l'amour, mais c'est le meilleur outil jamais inventé pour justifier la haine."
d'accord avec angelotin... il pourrait tout aussi s'agir de l'avidité, vouloir gagner plein d'argent, etc... et comme les juifs ont la réputation de détenir le fric dans le monde, on pourrait penser qu'ils se soient rendus compte de leur erreur, etc.
on pourrait aussi parler d'un dérèglement dû à la pollution. les gens sont contaminés à tour de bras, sauf ceux qui ont un impact plus faible sur la terre, les pauvres, représentés par des individus malades. et le fait que ça se passe partout sur terre, mais que le labo se situe en occident, montre que la "maladie" a bien été initiée par les pays dits développés qui ont été les premiers à ne pas tenir compte de la fragilité de la Terre...
Depuis quelques jours, le film "Voyage sans retour" est traité d'islamophobe sur internet.
Le film s'appelle "Voyage sans retour : la France a aussi ses jihadistes". Le pitch : pour échapper à la police, Kad, un petit trafiquant d'un quartier toulousain (le film a en partie été tourné au Mirail) est envoyé en voyage "humanitaire" via l'Inde et le Pakistan. Il s'agit en fait de camps d'entraînement jihadistes pour le former au terrorisme.
