Un espoir en Syrie?

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omar
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Re: Un espoir en Syrie?

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La Russie main dans la main pour frapper Daesh en Syrie

http://www.lepoint.fr/monde/des-avions- ... 554_24.php


«L'Occident n'oppose aucune idéologie à l'islamisme, sinon celle de l'argent»
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Proust
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Re: Un espoir en Syrie?

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Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n'est pas victime ! Il est complice.
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yacoub
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Re: Un espoir en Syrie?

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Syrie : l'adolescent qui a déclenché la guerre a été retrouvé
Son tag anti-Bachar el-Assad puis son arrestation et sa torture avaient déclenché les premières manifestations en 2011. The "Globe and Mail" l'a retrouvé.
Par 6Medias
Modifié le 17/12/2016 à 09:32 - Publié le 16/12/2016 à 21:15 | Le Point.fr
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La guerre en Syrie a fait au moins 300 000 morts. (Illustration) © GEORGE OURFALIAN / AFP/ GEORGE OURFALIAN

C'est la première fois qu'il s'exprime. L'histoire incroyable de cet adolescent, repéré par Courrier international , est rapportée par le quotidien canadien The Globe and Mail. Durant six mois, leur journaliste Mark MacKinnon a enquêté sur celui par qui tout est arrivé, le créateur du « moment Sarajevo », en référence à l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914. En 2011, Naief Abazid a 14 ans. En plein printemps arabe, le 16 février, cet adolescent tague « C'est votre tour, Dr Bashar el-Assad » sur le mur d'une école de sa ville de Deraa dans le sud-ouest de la Syrie. Un tag « pour rire », « j'étais un enfant, je ne savais pas ce que je faisais », explique-t-il au Globe and Mail. « J'ai réalisé que c'était sérieux seulement au moment où je suis arrivé en prison. »

En effet, dès le lendemain de son graffiti, Naief Abazid est arrêté par un membre des redoutés services de sécurité syriens et torturé dès son arrestation. Au total, 22 autres garçons de la même ville seront aussi emprisonnés et torturés. Après plusieurs semaines sans nouvelles de leurs enfants, les habitants de Deraa organisent une marche de protestation pour demander leur libération. La police ouvre le feu sur les manifestants et deux d'entre eux sont tués : « Les premiers martyrs du printemps syrien », écrit le Globe and Mail. Le 20 mars, les 23 adolescents sont libérés, « pardonnés » par Bachar el-Assad. De retour dans leur ville et dans leurs familles, ils sont célébrés en héros. Mais la colère des habitants de Deraa a essaimé et les manifestations se multiplient dans tout le pays. Le 1er avril 2011, les manifestants de Deraa répliquent : c'est le début de la guerre civile.
Périple jusqu'en Europe
Durant la première année de la guerre, Naief Abazid reste à Deraa avec sa famille sans jamais prendre d'autres armes que sa bombe de peinture. Après une blessure par balle au bras, il est transféré dans un hôpital en Jordanie. Il passe deux ans dans des camps de réfugiés jordaniens avec sa famille avant de retourner en Syrie en 2014. La vision de sa ville « entièrement démolie » reste un souvenir « horrible ». Durant sept mois, ils vivent dans la terreur, sous les bombes du régime de Bachar el-Assad. Mi-septembre 2015, ils assistent à la déclaration d'Angela Merkel qui annonce que l'Allemagne accueillera les réfugiés syriens qui arriveront à ses frontières. Naief, en compagnie de son frère et de l'un de ses cousins, entame un long et coûteux périple. « Nous n'avions plus de futur à Deraa », explique Naief, « il n'y avait que deux options : être tué ou devenir sans-abri ». Ils rejoignent d'abord la Turquie, après un passage dans les territoires de l'organisation État islamique, puis empruntent une embarcation de fortune, payée au prix fort aux passeurs, jusqu'à la Grèce d'où ils rejoignent la Macédoine. Ils traversent ensuite la Serbie et la Hongrie avant d'arriver à Vienne en Autriche, où Naief se trouve aujourd'hui depuis plus d'un an, essayant de se faire une place loin de son pays d'origine
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yacoub
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La lettre ridicule d’un collectif pro-terroriste au président Macron
par Bruno Guigue
mardi 4 juillet 2017


Une poignée d’experts auto-proclamés vient d’adresser une lettre à M. Macron dont le titre-oxymore prêterait à rire s’il ne s’agissait d’une affaire sérieuse. “M. le Président, maintenir Assad, c’est soutenir le terrorisme”, déclament ces soi-disant intellectuels dans les colonnes de “Libération”, propriété du milliardaire franco-israélien Patrick Drahi. On croit rêver ! Au moment où l’armée syrienne, soumise aux bombardements américano-sionistes, mène un combat acharné contre Daech, ces charlatans osent dire que l’Etat syrien fait le jeu du terrorisme. Sans scrupule, ils crachent sur la Syrie souveraine, pays courageux qui paie un lourd tribut à la lutte contre les djihadistes made in CIA.

Combien, parmi ces embusqués, serait capable d’aller se battre contre les terroristes qui viennent encore d’ensanglanter les rues de Damas ? Aucun, bien sûr. Car ce terrorisme, le même que celui qui tue des innocents à Paris, à Bagdad ou à Bamako, ils sont les premiers à le cautionner. Ils ressortent le vieil argument selon lequel les Occidentaux, en refusant de bombarder Damas, auraient laissé prospérer le djihadisme. Ce refus, disent-ils, “ ne laisse d’autre alternative à ceux qui s’opposent au régime que l’exil, la mort ou le rapprochement avec les groupes les plus radicaux”. C’est clair, non ? Il n’y aurait pas d’autre alternative que de rejoindre les coupeurs de tête ! D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si parmi les signataires de cette lettre figure François Burgat, qui est l’un des rares, dans la bande, à intervenir régulièrement sur la tragédie syrienne.

François Burgat, ça ne vous dit rien ? C’est ce chercheur au CNRS qui déclarait le 9 août 2016, sur RFI : « Je pense que l’un des grands défis des Occidentaux, c’est d’être capables de mettre le curseur sur des forces politiques que l’on va considérer comme fréquentables, ou dont on va accepter qu’elles font partie de ce lot de forces politiques parmi lesquelles les Syriennes et les Syriens choisiront, le jour venu. Et je pense que oui, l’ex-Front al-Nosra devrait faire partie des forces politiques considérées comme fréquentables ».

Curieux, tout de même, qu’un texte où l’on accuse le président syrien de favoriser le terrorisme soit signé par un “chercheur” qui prône la coopération des puissances occidentales avec la branche syrienne d’Al-Qaida. Il faudrait savoir ! Si vous recommandez l’alliance avec les terroristes, M. Burgat, pourquoi reprochez-vous à M. Assad de favoriser le terrorisme ? En réalité, vous savez pertinemment que l’armée syrienne, avec ses alliés, est la seule à combattre les terroristes. Mais comme vous expliquez depuis 30 ans que le monde arabe doit se convertir à l’islamisme, vous avez vu dans la guerre de Syrie l’accomplissement de votre rêve. Depuis 30 ans, vous vous faites l’apologiste de la charia pour les autres, et maintenant vous jouez à l’attaché de presse pour Al-Qaida. Je crois qu’un enfant de cinq ans vous mettrait le nez dans votre caca.

Mais M. Burgat et ses amis n’en démordent pas. Se gargarisant avec la “démocratie” et les “droits-de-l’homme”, ces grouillots du néo-colonialisme exigent du président français qu’il sanctionne un peuple coupable de soutenir son gouvernement. S’il vous plaît, M. le Président, pour soutenir cette révolution-bidon, bombardez Damas ! Reprenant les poncifs de la propagande occidentale, ces perroquets de la CIA accusent le gouvernement syrien des crimes les plus invraisemblables. N’ayant peur de rien, ils voient en M. Bachar Al-Assad un “ennemi de l’humanité”. Ils lui attribuent sans rire “90%” des violences de cette guerre qui sévit depuis 2011 et ressassent ad nauseam une accusation de “massacre chimique” dont Seymour Hersch vient de montrer à nouveau le caractère grotesque (Lire “La ligne rouge de Trump”, traduit par Viktor Dedaj pour "Le Grand Soir").

Mais ces pantins de l’impérialisme ne lisent pas les articles d’un grand journaliste qui dénonça avec talent les crimes US au Vietnam. Les communiqués de la Maison-Blanche leur tiennent lieu de nourriture intellectuelle. Comme leurs maîtres, ils croient qu’il y a des bons et des méchants, et qu’il faut punir les seconds en jetant des bombes. Ils parlent au nom du peuple syrien, mais ils ne l’ont jamais vu, ils ne le connaissent pas. Petites frappes universitaires qui se prennent pour des lumières, plumitifs à deux balles des “think tanks” d’Outre-Atlantique, soi-disant défenseurs d’une cause palestinienne qui sert surtout à remplir leur compte en banque, opposants syriens “off-shore” rémunérés en dollars pour roupiller dans les hôtels de Doha, ces “charlatans de la révolution syrienne” font désormais partie du paysage. Comme de vieilles momies qu’on alignerait le long des routes, ils vont continuer à jalonner le chemin de la victoire, chèrement acquise, de la nation arabe syrienne.
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Re: Un espoir en Syrie?

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Syrie : L’attaque prévue a bien eu lieu et après !

Posted: 14 Apr 2018 11:14 AM PDT

L’attaque prévue a bien eu lieu ce samedi 14 avril 2018.

Elle confirme ce que nous savons déjà :

– Les armées occidentales ne combattent plus pour les causes classiques occidentales impérialistes de conquête de territoires et de gains commerciaux ou pour l’idéal des droits de l’homme et du triomphe de la liberté et de la démocratie, mais agressent les peuples que les médias désignent pour cible et agissent comme des mercenaires. Il n’échappe à personne que les pays qui ont participé à l’agression contre la Syrie ont été largement arrosés par le prince Mohamed Salman agissant comme un insensé arrogant et gaspilleur.

– L’armée arabe syrienne, le pouvoir politique syrien et les populations syriennes ne baissent pas les bras et affichent leur détermination à résister et à remporter d’autres victoires contre les terroristes que les saoudiens, les qataris, les turcs, les américains, les français et les anglais ont recrutés, mobilisés et équipés.

– Les russes ne sont pas intervenus, nonobstant les cris de victoire des médias occidentaux, car l’évaluation de la situation a été correcte de leur part : l’attaque a valeur symbolique et il appartient aux seuls syriens d’y répondre pour montrer leur compétence intrinsèque de combativité et leur maitrise technologique.

– L’armée syrienne a réalisé un excellent score en abattant 71 Cruise missiles sur les 103 lancés. C’est un taux de réussite de 70%. Résultat prodigieux que les médias vont mépriser, mais que les “alliés” et l’entité sioniste vont analyser avec effroi. La Syrie l’a réalisé seule sans le concours des russes. Cela montre l’intelligence stratégique des Russes. Cela laisse penser que les Russes avaient déjà livré et installé les systèmes de défense et que les Syriens les ont déjà intégré. Personne ne sait comment vont évoluer l’intensité des frappes et la durée de l’agression, mais nous pouvons dire sans risque de nous tromper que si l’agression est symbolique, elle ne change rien à l’équation du terrain : la Syrie a remporté une victoire qui va changer la donne internationale et régionale et réaliser la fin de l’hégémonie américaine devenue une hyperpuissance super impuissante. Si l’agression continue, la Russie et les forces de résistance en Syrie et ailleurs vont entrer dans le conflit et contraindre les américains et leurs vassaux français et anglais à négocier en position d’humiliation et de défaite. L’avenir de Trump est plus incertain que celui de Bachar al Assad.

– Si le conflit venait à s’étendre et à s’intensifier, même si le rapport des forces est en faveur de la coalition des mercenaires, la Syrie est capable de résister. La Serbie, isolée, a résisté vaillamment avant de capituler. La Syrie n’est pas seule et elle n’a pas encore épuisé son potentiel de défense.

– Enfin bombarder de loin et détruire des infrastructures militaires et civiles avec les moyens les plus destructeurs ne suffit pas pour gagner une guerre. Pour gagner la guerre il faut réaliser deux objectifs : occuper le sol, faire taire la voix de son ennemi. Pour l’instant les images montrées révèlent des lieux désaffectés : les images de l’enfer de Bagdad et de Belgrade ne sont pas là. On ne peut faire confiance aux mercenaires, mais tout indique que les frappes ont visé l’opinion publique et ont cherché à sortir de l’impasse diplomatique et de l’escalade militaire sans trop d’humiliation.

– La confusion et le chaos de l’administration américaine vont apparaitre plus évidents et plus dramatiques montrant la défaite psychologique, politique, militaire, économique, social et culturel du modèle atlantiste.

– Les médias de l’entité sioniste sont déçus de l’attaque signifiant la déception du renseignement sioniste sur l’efficacité des frappes contre la Syrie. Ils sont habitués à voir des corps déchiquetés et brulés et là ils ne voient que de vieux bâtiments ébréchés dont certains ont déjà été évacués et d’autres ne sont probablement que des leurres rendant l’efficacité des frappes inférieure à 10%. Ils craignent que les frappes ne soient que symboliques et la panique de gérer un avenir à portée des missiles syriens et iraniens et des infiltrations du Hezbollah frappant leurs arrières. L’avenir est sombre pour l’entité sioniste.

– La France a perdu l’ultime chance de jouer un rôle positif dans le monde arabe. Les peuples n’oublieront jamais.

– Les agresseurs ne pourront jamais apporter de preuve sur l’utilisation d’armes chimiques par le régime syrien à Douma. Une fois les passions apaisées et les fascinations oubliées, la question majeure se posera de nouveau : pourquoi “punir” sans preuve, pourquoi tant de guerres. Les Occidentaux finiront par avoir la nausée devant le cynisme et la nuisance maléfique de leurs dirigeants et de leurs médias. Leur nausée sera plus grande lorsqu’ils comprendront que les grands politiques de ce monde avec leurs grandes armées, leurs grands services de renseignements et leurs grandes ressources scientifiques et technologiques se sont fait leurrés par de petits informateurs et de minables terroristes. Le général Mattis, secrétaire à la Défense, à quelques heures de l’attaque contre Damas déclarait aux législateurs américains jeudi que le Pentagone n’avait aucune preuve que le chlore ou le sarin avait été utilisé à Douma et que la majorité des revendications provenaient des médias et des médias sociaux. Alors que Emmanuel Macron depuis un petit bourg de France, dans une petite école maternelle et face à un petit journaliste affirmait qu’il avait la preuve que des armes chimiques ont été utilisées par le régime de Bachar Al-Assad. Ce sont ces contradictions risibles qui nous permettent d’affirmer que c’est la fin des rigolos qui hélas vont se permettre d’occire des millions de vies humaines par leur folie et leur insouciance.

– La folie et l’insouciance ne vont pas s’arrêter à la Syrie si l’escalade ne venait pas à être stoppée tout de suite mais s’étendre à l’Iran, la Russie puis la Chine. L’équation à ce niveau est simple ou c’est le triomphe des forces maléfiques et de Satan ou l’effondrement de l’Empire atlantiste et émergence d’un nouvel ordre mondial sur les décombres de l’ancien. Il ne s’agit pas de vœux, mais de lois dialectiques objectives qui gouvernent l’Histoire et l’alternance des civilisations humaines. Jamais Dieu ne permettra le triomphe de Satan sur l’Homme, il ne reste donc que l’effondrement de l’Empire qui va de plus en plus vite et de plus en plus chaotique vers sa fin. Ils sont amenés graduellement et progressivement vers leur perte sans s’apercevoir et sans le ressentir de telle façon qu’ils n’ont aucune possibilité de trouver parade ou de trouver amendement : c’est la Sunna d’al Istidraj

وَالَّذِينَ كَذَّبُوا بِآيَاتِنَا سَنَسْتَدْرِجُهُمْ مِنْ حَيْثُ لَا يَعْلَمُونَ * وَأُمْلِي لَهُمْ إِنَّ كَيْدِي مَتِينٌ

– Quel est l’après-frappe ? Si le quatuor USA, France, Angleterre et entité sioniste n’a effectivement réalisé aucun de ses objectifs, le quatuor Syrie, Russie, Iran et Hezbollah vont achever leur maîtrise totale sur la Syrie en ouvrant trois nouveaux fronts et liquider les trois bastions de subversion : Idlib près de la frontière turque, Derâa près de la frontière jordanienne et les bases de déploiement américain en Syrie. En dehors de la Syrie nous verrons des opérations militaires qualitatives au Yémen et en Afghanistan. Nous verrons également une collaboration économique et financière sino-russe fragilisant l’ancien ordre mondial atlantiste. Pour l’instant le président Bachar al Assad sort renforcé dans sa légitimité et sa crédibilité par un soutien populaire arabe et syrien et sans doute une grande considération auprès des couches populaires mondiales. Après le tapage triomphaliste et dés-informateur des médias occidentaux et des bédouins nous verrons le retrait total des soldats américains de la Syrie et de l’Irak et l’isolement du Qatar et de l’Arabie saoudite.

Omar MAZRI – auteur, écrivain
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