revue de presse

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yacoub
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Angelotin
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Alain passe par la case tribunal.

Le délire "judéophobe" d'Alain Soral
L'essayiste d'extrême droite était convoqué vendredi 17 octobre devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Récit. Il s'est présenté à l'audience avec un tee-shirt portant l'inscription "goy"
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Alain Soral donne le ton. L'essayiste d'extrême droite n'est pas venu pour se défendre, mais pour provoquer.
Accusé d'incitation à "la haine, la discrimination ou la violence" à l'égard du journaliste Frédéric Haziza et de la communauté juive, Soral ne cherche même pas à nier les faits qui lui sont reprochés. Il préfère se servir de son temps de parole pour se livrer à une tribune politique devant un public acquis à sa cause.
Le doigt menaçant et le ton vindicatif, Alain Soral se lance dans une dernière diatribe haineuse et incompréhensible : "Il s'agit d'un procès politique. C'est bien la preuve de la domination du sionisme sur la France, à travers la communauté organisée. [...] Je suis là en tant que patriote français. La prison ne me fait pas peur. [...] Le sionisme fait baisser le niveau intellectuel des juifs. [...] Je ne me soumettrai pas. [...] Je ne suis pas antisémite. [...] C'est moi la victime de ce procès." Verdict le 21 novembre.
http://www.lepoint.fr/justice/le-delire ... 8_2386.php

Selon lui, c'est lui la victime! quel boulet!
Ni Dieu, Ni Maitre. Athéisme naturaliste et humaniste. l'auto gestion comme forme politique. L'écologie pour nous sauver. La vie comme une romance gothique!.
"Vous n'avez pas besoin de religion pour justifier l'amour, mais c'est le meilleur outil jamais inventé pour justifier la haine."
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Re: revue de presse

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http://www.lepoint.fr/monde/pourquoi-la-birmanie-tue-ses-musulmans-29-03-2013-1647348_24.php

Pourquoi la Birmanie tue ses musulmans

La minorité musulmane birmane est la cible depuis la semaine dernière de véritables pogroms instigués par des moines extrémistes. Décryptage.

La voie vers la démocratie est un long chemin semé d'embûches. Les musulmans de Birmanie en font l'amère expérience depuis deux ans. Quartiers éventrés, mosquées parties en fumée, et corps calcinés gisant à même le sol..., cette minorité, qui représente 4 % des 55 millions de Birmans, est de nouveau victime de véritables pogroms perpétrés par la population bouddhiste. Quarante personnes ont été tuées la semaine dernière et plus de 12 000 déplacées dans la ville de Meiktila dans le centre du pays, forçant l'armée à instaurer l'état d'urgence. Les violences ont depuis gagné d'autres villages et se rapprochent désormais dangereusement de l'ancienne capitale, Rangoun.

À l'origine, une simple querelle entre un vendeur musulman et des clients bouddhistes, qui a dégénéré en affrontements. Pendant trois jours, des groupes d'émeutiers ont détruit tout ce qu'il y avait de musulman sur leur passage, transformant la ville de Meiktila en véritable coupe-gorge. "Ces groupes de civils bouddhistes ont été fanatisés par une minorité de moines extrémistes", explique au Point.fr Maël Raynaud, analyste indépendant spécialiste de la Birmanie. "Ces religieux tirent parti du profond racisme existant au sein de la société birmane."


Autocollants de la honte


Contacté sur place par Le Point.fr, un chercheur, qui a requis l'anonymat, évoque "des autocollants représentant le nombre 969 (1), distribués à des responsables de magasin et à des taxis, afin qu'ils l'apposent sur leur commerce et garantissent ainsi leur caractère bouddhiste". Cette campagne ouvertement raciste et anti-musulmane a tourné à l'invitation au meurtre. Elle est principalement le fait des moines bamars, l'ethnie majoritaire d'un pays qui en compte 135.


Concentrés dans la plaine centrale de l'Irrawaddy, les Bamars, de confession bouddhiste, forment 75 % de la population birmane. Parmi le quart restant figurent les minorités shans (bouddhistes), les Karens (bouddhistes et chrétiens), les Arakanais (bouddhistes) et les Kachins (chrétiens), qui sont, eux, situés dans les zones montagneuses - et riches - entourant le pays. L'Empire britannique des Indes (XIXe et XXe siècles) a également favorisé l'arrivée sur le territoire birman de travailleurs musulmans en provenance du sous-continent indien, même si les premières conversions à l'islam en Birmanie datent du VIIIe siècle. Or, ces minorités ont toujours été victimes du racisme ordinaire de l'ethnie bamar au pouvoir.

Instrumentalisation

"Les Bamars se considèrent comme les seuls vrais Birmans", explique Maël Raynaud. "Tous les autres peuples ne sont vus que comme des invités qui ne sont qu'hébergés dans le pays." L'indépendance de la Birmanie en 1948 devait assurer l'émergence d'un gouvernement démocratique et fédéral. Cette dernière condition ne sera jamais respectée. Dès 1948, les minorités ethniques se soulèvent contre le gouvernement central (bamar), précipitant le coup d'État de l'armée en 1962. Celle-ci dirigera le pays d'une main de fer durant cinquante ans.

"Dès lors, le pouvoir a instrumentalisé le bouddhisme pour consolider son processus d'unité nationale", rappelle Alexandra de Mersan, anthropologue spécialiste de la Birmanie, à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco). Principale cible de cette politique discriminatoire, la communauté des Rohingyas. Ces musulmans d'origine bengalie, dont 800 000 peuplent l'État de l'Arakan, au nord-ouest du pays, ont été déchus de la citoyenneté en 1982. "Ils n'ont pas d'État et sont arbitrairement considérés comme des étrangers, ce qui est faux", assure au Point.fr Phil Robertson, chercheur à Human Rights Watch.

Instrumentalisation de la peur

Extorsion de leurs terres, difficultés à se marier ou interdiction d'étudier, les Rohingyas sont, d'après l'ONU, la "minorité la plus persécutée au monde". Si elle fait tout pour les forcer à quitter la Birmanie, quitte à les placer dans des camps aux conditions de vie misérables, la junte militaire va en parallèle attiser chez les habitants de l'Arakan (les Arakanais) une véritable haine anti-Rohingyas. "Il s'est développé chez eux une réelle peur par méconnaissance de l'islam", raconte Alexandra de Mersan. "Les Arakanais ont notamment été très choqués par la destruction par les talibans des Bouddhas de Bâmiyân, en mars 2001 en Afghanistan, mais aussi par le 11 Septembre, dont les images ont été allègrement diffusées par la télévision birmane."

Le départ de la junte du pouvoir et la démocratisation du pays ne pouvaient donc qu'exacerber ce ressentiment. "Les haines, retenues par des chapes de plomb, se sont alors exprimées au grand jour", résume l'analyste Maël Raynaud. "Pour les Arkanais, la démocratie signifiait dès lors que tout était permis." Le scénario tant redouté intervient en juin et en septembre 2012. Cette fois, c'est le viol d'une femme bouddhiste qui fait office d'étincelle. Les affrontements sont terribles et feront au moins 180 morts. Très vite, les forces de sécurité birmanes sont accusées - au mieux - de passivité, - au pire - de complicité dans les violences.

Le silence d'Aung San Suu Kyi

"Si certains ont effectivement été pris par surprise, nous avons vu des policiers tirer directement sur des Rohyngias qui luttaient pour éteindre des feux", affirme Phil Robertson de Human Rights Watch. À l'époque, de nombreux messages de haine ciblant les membres de cette minorité - "des monstres noirs" - sont diffusés sur Internet et même relayés par une partie de la presse birmane. Le chercheur y voit d'ailleurs un lien avec les violences actuelles. "Ce genre de pamphlets incendiaires anti-musulmans fleurit aujourd'hui dans de nombreux villages et pousse à l'action, d'autant plus que les auteurs bénéficient d'un sentiment d'impunité."

"Il ne s'agit pas tant de laisser-faire que d'un manque de savoir-faire de la part des forces de l'ordre, qui n'ont pas de troupes antiémeute", juge toutefois Maël Raynaud. "D'un côté, il est difficile pour un soldat bouddhiste d'arrêter un moine, de l'autre le gouvernement (présidé par l'ancien général de la junte Thein Sein, NDLR) ne souhaite certainement pas se mettre le peuple à dos, notamment dans l'optique des prochaines élections législatives de 2015." Le président Thein Sein n'est pas le seul à faire ce calcul. Grande figure de la lutte pour les droits de l'homme, le Nobel de la paix Aung San Suu Kyi frappe depuis le début de la crise par son silence.

Celle qui est désormais députée de l'opposition a même assisté mercredi pour la première fois aux cérémonies annuelles de l'armée, qui l'a pourtant maintenue enfermée pendant 15 ans. Une stratégie hautement politique, selon Maël Raynaud. "Aung San Suu Kyi ne peut pas se mettre à dos la population, l'armée et les membres de son propre parti. Or, ils sont tous profondément racistes."

(1) un nombre sacré dans la tradition bouddhiste
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La stratégie états-unienne pour diviser 5 pays arabes en petits États

Les États-Unis d’Amérique auraient établi une nouvelle feuille de route dans la gestion des conflits qui frappent bon nombre de pays arabes. Cette nouvelle stratégique consiste à les démembrer en petits États afin de mettre un terme aux crises actuelles.


Ces pays sont la Syrie, l’Irak, la Libye, le Yémen, l’Arabie Saoudite.


Selon le New York Times, qui a publié cette étude inédite, le premier pays qui risque de voir ses frontières remises en cause est la Syrie.

En proie à une « guerre civile » où des troubles politiques majeurs sont présents depuis plusieurs mois déjà, ce pays pourrait se diviser 14 petits Etats. Les « différences » confessionnelles et religieuses vont probablement s’exacerber.

Ainsi, en Syrie, il y aura un pays alaouite, auquel appartient le clan du Président Bachar El Assad, qui sera établi sur la côte méditerranéenne.

Les Kurdes, pour leur part, auront leur État au Nord, qui fera fusion avec celui des kurdes irakiens. En somme, il y aura un pays kurde, qui s’étendra sur les deux pays, composés de citoyens kurdes syriens et irakiens. Dans la région Centre, les sunnites fonderont leur État. Les Américains ont même trouvé le nom de ce nouvel état. Il s’appellera le Sunnistan. Celui-ci sera composé aussi de sunnites irakiens et syriens et prendra forme suite à une fusion de territoires des deux pays. Le troisième Etat irakien est, quant à lui, chiite, et sera au Sud.

L’autre pays qui pourrait fort bien se diviser est la Libye. Celui-ci, en raison des problèmes tribaux, sera également fractionné en trois petits États. Le premier, au Nord Ouest, aura pour capitale Tripoli, le second à l’Est avec Benghazi comme capitale et le troisième sera l’État de « Fezane ».

Le Yémen, pour sa part, rependra ses deux entités d’antan. Le Yémen Nord et Sud. Pire encore, une partie de ce territoire sera intégrée aux potentiels États saoudiens. Cette étude évoque la possibilité que l’Arabie Saoudite soit divisée aussi en cinq Etats, et ce, pour les mêmes raisons, d’ordre tribale et confessionnelle. Il y aurait, au centre un Etat wahabite, le Wahabistan, un autre à l’Ouest avec la Mecque, Médine et Djeddah, ainsi que trois autres états, au Nord, à l’Est et au Sud.


Les Américains, en mettant sur pied ces scénarios, s’attendent à une aggravation de la situation dans toute la région du Proche-Orient.


Des conflits, indique-t-on, qui seront plus meurtriers que tous ce qu’ont connu ces pays depuis un siècle. Il est à rappeler que la carte actuelle des pays du Proche-Orient d’aujourd’hui a été établie par les colonisateurs Français et Anglais, en 1916, suite à l’ « accord Sykes-Picot ».

Les USA veulent-ils une nouvelle configuration régionale dans cette partie du monde ? Rien n’indique, pour l’instant, que la Maison Blanche travaille dans ce sens.


Néanmoins, avec la divulgation de ces informations, il est clair que certains cercles, à Washington, travaillent d’ores et déjà à remodeler le Monde Arabe suivant leurs intérêts géopolitiques.
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Re: revue de presse

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Le dynamitage du monde musulman

Pierre Hillard
Docteur en science politique et essayiste


Décidément, les projets de remodelage des pays d’Afrique du Nord et du Proche et Moyen-Orient fleurissent avec constance au sein des centres de recherche israélo-anglo-saxons. En effet, nous pouvons recenser une accumulation de travaux et de conciliabules œuvrant dans cette voie depuis un siècle.

Le point de départ de ces remaniements peut être situé à la date du 16 mai 1916 avec les « accords Sykes-Picot » préparant le démantèlement de l’Empire ottoman et la répartition des territoires entre les puissances colonisatrices française et anglaise. Dans cette affaire, la Grande-Bretagne se tailla la part du lion en s’adjugeant les territoires riches en pétrole et en gaz, l’Irak et le Koweït.

Dans la foulée de ces accords, la publication de la « Déclaration Balfour », le 2 novembre 1917, fut une étape supplémentaire. Reconnaissant un foyer juif en Palestine en liaison avec le président de la Fédération sioniste, Chaim Weizmann, futur premier président de l’État d’Israël, le gouvernement britannique ouvrait la voie à des tensions permanentes dans la région. Cette politique s’opposait complètement à celle de l’Église catholique qui estimait – comme l’avait affirmé le pape saint Pie X lors de sa rencontre avec le fondateur du sionisme Theodor Herzl en janvier 1904 – que les juifs n’ayant pas reconnu la messianité du Christ, ils ne pouvaient pas revenir sur une terre sanctifiée par la vie de Jésus (« non possumus », selon la tradition de l’Église). La révolution de Vatican II et la reconnaissance par Jean-Paul II de l’État d’Israël ont radicalement modifié la donne.

Rappelons aussi que l’expression « Déclaration Balfour » devrait, en fait, s’appeler « Déclaration Milner », du nom d’Alfred Milner, bras droit du cosmopolite Cecil Rhodes, comme l’a révélé le livre de Carroll Quigley « The Anglo-American Establishment ».

La mainmise sur la péninsule Arabique par les États-Unis suite aux accords conclus entre le président Roosevelt et Ibn Séoud (« Pacte de Quincy »), en février 1945, suivie de la création de l’État d’Israël en 1948, ouvre un nouveau chapitre dans les relations entre les mondes juif talmudique et musulman. Les guerres opposant l’État d’Israël, soutenu par le monde anglo-saxon, au monde musulman conduisent à l’élaboration de nouveaux concepts comme celui du « choc des civilisations » élaboré par l’islamologue Bernard Lewis dans son ouvrage « Islam » paru en 1957. Travaillant en liaison avec le géopolitologue Zbigniew Brzeziński, il élabore une théorie poussant à la balkanisation du monde musulman (« l’arc de crise »), projet présenté par la revue Time le 15 janvier 1979.

Dans la même veine, nous retrouvons une politique de démantèlement des pays arabes dans le rapport d’Oded Yinon paru en 1982 et traduit de l’hébreu en anglais par le président de la Ligue israélienne des droits de l’homme Israël Shahak. Pour certains défenseurs d’Israël, ce texte serait un faux élaboré par Shahak. Toutefois, ce dernier ne fut jamais inquiété ni poursuivi en justice suite à cette traduction. S’il avait inventé ou falsifié le texte, ses détracteurs se seraient fait une joie de montrer l’original pour condamner l’impétrant. Plus de 30 ans après la parution de cette traduction, ceux qui rejettent le texte d’Israël Shahak comme faux n’ont toujours pas trouvé le temps de publier le document original. Mais qu’attendent donc ces « nuques raides » ?

Ajoutons à la liste des destructions des États arabes le rapport de Richard Perle en 1996 (« A Clean Break ») et les travaux du lieutenant-colonel Ralph Peters parus dans la revue militaire américaine « Armed Forces Journal » en mai 2006, que nous traitons entre autres dans notre livre « La marche irrésistible du nouvel ordre mondial ».

Dans la même logique, nous pouvons relever la dernière mouture parue dans le New York Times, le 29 septembre 2013, sous la plume de Robin Wright [PDF]. Travaillant dans ce qui se fait de mieux (ou de pire) dans l’intelligentsia américaine (Carnegie Endowment, US Institute of Peace, Woodrow Wilson International Center, Yale, Stanford) (son blog), cette égérie de la cause, partie visible d’un travail reposant sur les structures de « l’État profond », reprend les travaux de ses prédécesseurs et balkanise à tout va la Libye et les pays de la péninsule Arabique en fonction des critères religieux (sunnites, chiites, druzes, alaouites…) et ethniques selon des critères politiques fédéralistes. Pareil à la multiplication des pains, Robin Wright explique comment on passerait de cinq à quatorze États en précisant que les frontières étatiques pourraient être facilement modifiées suite aux guerres et aux conflits ethniques. Son auteur évoque même l’idée de créer trois cités-États : Bagdad, Misrata et Djébel el-Druze.

Force est de constater que ces cartes du New York Times présentent des similitudes avec celles élaborées par Ralph Peters. Nous retrouvons en particulier la même entité géographique autour de Médine et de La Mecque. En dernière analyse, l’intérêt de ces documents officiels est de montrer que ces cénacles israélo-anglo-saxons ne sont pas prêts à lâcher prise dans leurs folles ambitions.
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Re: revue de presse

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