Le sexe et L'islam

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omar
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La danse et la musique sont pas permises en islam


«L'Occident n'oppose aucune idéologie à l'islamisme, sinon celle de l'argent»
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yacoub
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Al-Qaradawi se lâche : «Comment j’ai abordé mon ex-épouse algérienne la première fois»

Al-Qaradawi se lâche : «Comment j’ai abordé mon ex-épouse algérienne la première fois»
29 Jun, 2016 | 18:55 | 76
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Le guide spirituel des Frères musulmans, Youssef Al-Qaradawi, est revenu sur sa mystérieuse histoire avec son ex-épouse algérienne, Asma Benkada, en levant le voile, pour la première fois, sur les circonstances dans lesquelles a eu lieu leur première rencontre. Dans sa dernière confession diffusée sur sa chaîne de prédilection, Al-Jazeera, qui lui consacre depuis quelques semaines une interview rétrospective en plusieurs parties, le mufti du «printemps arabe» dévoile son penchant pour le sexe faible et confirme ce qui se raconte à son propos : derrière son air dévotieux et mystique se cache un jouisseur. Al-Qaradawi affirme avoir vu la jeune étudiante Asma Benkada, la première fois à Alger, lors d’un colloque dont le vieux prédicateur égyptien était la vedette. La jeune fille a pris la parole pour répliquer «avec véhémence» à ceux qui venaient de s’attaquer à la «sahwa» (éveil) islamique pendant les débats. «Elle a été très applaudie, raconte Al-Qaradawi, puis les journalistes sont venus la prendre en photo.» Il a dû flasher, à ce moment-là. «Le soir, poursuit le narrateur, on nous envoyait aux cités universitaires pour jeunes filles pour y donner des conférences.» Le débat tourne à une séance d’épicurisme, puisque toutes les questions-réponses portent sur l’amour, enveloppé de religiosité : «L’homme peut-il aimer une femme pour l’amour de Dieu ?» Réponse immédiate : «Il n’y a aucun mal à ce qu’un homme puisse aimer une femme, si celle-ci se sacrifie pour la cause de Dieu.» C’est au terme de cette rencontre libido-théologique qu’il fait la connaissance de sa future épouse. Après un échange d’amabilités pudiques, il se met à la flatter, à la couvrir de cajoleries du genre : «Ton intervention m'a mis du baume au cœur», puis à lui souhaiter plein succès dans sa vie d’étudiante et de militante. Ensuite, premier glissement, il lui demande dans quelle filière elle poursuivait ses études. Puis les questions deviennent de plus en plus intimes, histoire de la mettre en confiance, tel un prédateur s'abattant sur sa proie : «Tu es comme mes quatre filles ; elles sont toutes comme toi dans la filière scientifique, l’une s’appelle comme toi Asma et vous devez avoir le même âge.» Le Qaïs des temps modernes a attendu cinq ans pour la recontacter et la demander en mariage. La fille a, d’après lui, aussitôt accepté. Il dit que tout se passait bien durant les premières années, et que la «communion» entre les deux tourtereaux était parfaite. Les problèmes commencent à arriver suite à des petits conflits dus, selon ses termes, à «une différence de culture et de visions sur certaines choses» qu’il refuse de préciser. «Je ne lui ai rien dit de mal et je me disais que nous étions faits l’un pour l’autre», regrette-t-il. Il a peut-être oublié d’avouer que, dans cette histoire, sa foi est faible (dha’îfou el-imân) : une différence de culture peut-elle s’avérer plus forte qu’une communion religieuse ou spirituelle ?

R. Mahmoudi
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zen
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non mais vous n'avez pas honte!!!
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Ce sont les mahométans qui doivent avoir honte de suivre PBSL qui était obsédé sexuel.
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On voit à quoi se limite ses "arguments."

Vraiment limité... normal, la Vérité le dérange mais il reste dans la folie de sa croyance absurde et aveugle...

Il croit que le mal c'est le bien, que soumettre la femme et le statut de dhimmi sont des bonnes choses ou alors que "c'est pas ça l'islam" pourtant tout est marqué noir sur blanc dedans... et ce n'est certainement pas fait pour ne pas être suivis!
"Il y a cent mille ans, une grande et puissante civilisation existait... et comme d'autres, elle a connu un évènement qui lui a été fatal. C'était quelque chose qu'ils n'attendaient pas, l'arrivée d'une force obscure et destructrice qui n'avait aucune limite dans sa soif insatiable de possessions et de domination. Ils nommèrent cet ennemi: les Destructeurs.

Tous les mondes qu'ils prenaient portaient la vie et ils ne laissaient derrière que des terres stériles hautement toxiques, vidées de toutes leurs ressources...
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Neverime a écrit :On voit à quoi se limite ses "arguments."

Vraiment limité... normal, la Vérité le dérange mais il reste dans la folie de sa croyance absurde et aveugle...

Il croit que le mal c'est le bien, que soumettre la femme et le statut de dhimmi sont des bonnes choses ou alors que "c'est pas ça l'islam" pourtant tout est marqué noir sur blanc dedans... et ce n'est certainement pas fait pour ne pas être suivis!
Bonsoir, il est limité dans son expression
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En effet.

ll n'a aucun argument et je me doute bien qu'il sortira les mêmes choses que les autres avec les mêmes répétitions, la même absurdité, la même faiblesse... affligeant... et là ce n'est pas de la haine, hein, ni en soit de l'intolérance ou de "l'islamophobie" mais juste de dire ce que je pense, point final.

Après je ne dis pas que c'est un mauvais bougre, peut-être est-il même sympathique...
"Il y a cent mille ans, une grande et puissante civilisation existait... et comme d'autres, elle a connu un évènement qui lui a été fatal. C'était quelque chose qu'ils n'attendaient pas, l'arrivée d'une force obscure et destructrice qui n'avait aucune limite dans sa soif insatiable de possessions et de domination. Ils nommèrent cet ennemi: les Destructeurs.

Tous les mondes qu'ils prenaient portaient la vie et ils ne laissaient derrière que des terres stériles hautement toxiques, vidées de toutes leurs ressources...
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Politique, voile, sexualité et schizophrénie dans la société musulmane
Politique, voile, sexualité et schizophrénie dans la société musulmane
07/05/2015 Salem Ben Ammar Un commentaire


Qui mieux que le tunisien Rached Ghannouchi peut incarner l’archétype de l’homo wahhabitus ? Une nouvelle espèce humaine plus proche de l’homme des cavernes et de ces personnages effrayants des films d’horreur qui prolifère dans les sociétés islamisées nouvellement conquises par le wahhabisme.
Ce phénomène de nature politico-religieuse n’épargne plus aucune aire géographique. De l’Indonésie, en passant par la Malaisie jusqu’aux ghettos musulmans des villes européennes favélas brésiliennes, connaissant son point d’orgue avec les sociétés musulmanes depuis les Révolutions du Printemps arabe qu’on devrait plutôt appeler les Révolutions du Printemps wahhabite. Rarement les sociétés humaines n’ont connu dans leur histoire une telle invasion prosélyte accompagnée par un exhibitionnisme vestimentaire uniforme et sombre chez les femmes et le port de barbe et de jelabas afghans chez les hommes arborant les mêmes couleurs que celles des miliciens fascistes surnommés les Chemises Brunes.
Le wahhabisme s’apparente dans sa conception de l’organisation politique de l’Etat beaucoup plus du modèle théocratique de Mussolini que du nazisme hitlérien qui voulait créer sa propre religion de nature païenne dont il était le messie. Que ce soit le fascisme mussolinien, le nazisme hitlérien et le wahhabisme, les trois idéologies convergentes vers le même but régir tous les aspects de la vie de leurs sujets. Endoctrinant, opprimant, réprimant et conditionnant à outrance leurs disciples, ne leur laissant aucune marge de manœuvre dans le choix de la construction de leur identité propre. Ainsi, toute la culture politique wahhabite, à supposer qu’il y en ait une, s’articule autour des élucubrations et spéculations théologiques érigeant les dogmes en véritable censure politique et morale pour interdire toute forme de débat contradictoire. Rendant la critique comme attentatoire au sacré.

Il est de plus en plus fréquent dans les sociétés wahhabisées ou en voie de le devenir come la Tunisie, la Libye et l’Egypte, que les agents wahhabites locaux usent des méthodes mystificatrices et ésotériques où le message politique a la teneur de témoignage de psychose hallucinatoire comme il en ressort des propos tenus par l’ancien terroriste tunisien Rached Ghannouchi qui pour séduire l’électorat en Tunisie lui a distillé un récit qui est surtout symptomatique d’un état de trouble mental. Ainsi, lui relate-t-il sa conversion au wahhabismecomme s’il avait reçu une illumination divine. Selon son récit délirant, il aurait eu une vision pendant son sommeil lui faisant comprendre que l’islam de ses parents n’était pas le vrai islam. Il a été jusqu’ à pousser ses délires mystiques en proclamant ses affinités messianiques et affectives avec Dieu en se faisant passer pour son chéri, Habib en arabe, s’affublant du titre d’Habib Allah ?
Quand un sujet cherche à donner du non-sens au sens, c’est symptomatique de graves troubles psychotique comme l’enseignent tous les manuels de psychiatrie. Les Tunisiens qui adhérent à son discours hallucinant et ésotérique sont certainement atteints des mêmes troubles que lui ce qui ne fait que confirmer le rapport de l’OMS sur l’état de santé mentale des tunisiens dont 50% souffrent de troubles mentaux. Il est connu qu’il y a une corrélation très forte entre le bigotisme et les troubles psychopathologiques dans les sociétés humaines.

Plus les peuples surconsomment la religion et s’adonnent à l’adoration de leur divinité pour compenser leur misère sociale, psycho-affective et leur état de déficience intellectuelle, moins ils sont enclins d’agir sur le cours de leur vie et d’en assurer le contrôle et incapables de discernement et par conséquent seuls les traitements à base de psychotropes sont fortement recommandés.

C’est pourquoi dans les sociétés gangrenées par l’islamisme wahhabite que l’on peut assimiler à un fléau social néfaste pour la santé mentale des populations, les sujets sont uniformisés et à la volonté annihilée, n’existent pas par eux-mêmes et pour eux-mêmes. Le groupe est le moteur de leur vie qui tourne autour d’un seul axe: l’obéissance aux préceptes de la religion. En dehors de cela, point de salut. Tous les actes de la vie quotidienne sont régis par la seule règle de l’interdit. Seule norme sociale en vigueur. La particularité de cette norme est qu’elle permet au sujet-sectateur en porte-à-faux avec la norme de se soustraire de sa responsabilité en s’en remettant à la seule volonté de Dieu. Le sectarisme wahhabite, présente la particularité comme toute organisation sectaire de créer des mécanismes de déresponsabilisation juridiques et mentaux puisque l’individu est considéré comme immature et infantilisé dont il y a lieu de s’inquiéter quant à son état de délabrement psychique. Elles vivent dans un état d’animalité pathogène, guidées par leurs seules pulsions sexuelles avec un rapport fusionnel avec Dieu. C’est leur alpha et l’oméga. Quand les fidèles l’implorent et l’évoquent ils sont comme saisis d’une sorte de transe orgasmique. Leurs corps est comme traversés par une décharge électrique. Ayant tellement peur que leur attention et leur regard ne soient détournés par un autre objet de désir que pour ne pas céder à la tentation pulsionnelle ils préfèrent voiler leurs femmes. Cette chose qu’ils doivent cacher pour ne les perturber dans leur relation affective exclusive avec dieu.
Dans leur inconscient la femme est perçue comme le suppôt du diable son incarnation et qu’elle est susceptible de polluer leurs relations avec Dieu. Sachant que lui-même interdit à ses adorateurs de n’avoir d’yeux et d’oreilles que pour lui. C’est pourquoi la chanson d’amour et la peinture sont illicites. Tout ce qui a trait à la culture, à l’esthétisme et l’art sont bannis de la société wahhabisée.

Ces fidèles à l’esprit tellement enfumé par l’endoctrinement religieux que leur imaginaire est anéanti. Ils sont comme des objets dépourvus d’âme et d’intelligence. Ils sont tels ces Waffen-SS nazis que leurs aïeux avaient rejoint les rangs dans les années 39-45, qui font don de leurs êtres, corps et esprit à une autorité tutélaire qui devient leur femme, leur père, mère, guide, amant, maître-esclavagiste, tortionnaire, maître à penser, n’ayant plus une existence en propre, rien que lui, par lui, en lui et pour lui. Tout lui est dû, tout lui revient de droit. L’acte sexuel est dénué de tout sentiment amoureux. Il lui est dédié. Les enfants qui naissent sont sa bénédiction et son œuvre comme s’il en était le géniteur. Dès qu’ils commencent à brailler, on commence déjà à les purifier du mal qui est en eux et les élever dans le seul et unique amour de Dieu.

On voile les fillettes dès leur premiers pas dans la vie de peur qu’elles ne tentent le diable en sommeil chez les mâles. Il est fréquent que les tribunaux appliquant la loi canon de la charia n’hésitent pas à exonérer le sujet wahhabisé et pas seulement comme cela s’était produit récemment en Turquie de toute responsabilité pénale dans les affaires de viol y compris sur mineure et de condamner au retour la victime dont le seul crime serait d’avoir excité le diable qui sommeille en son bourreau. Ni responsabilisation, ni culpabilisation, ni conscience de soi, ni libre-choix, ni citoyenneté avec un surmoi rigidifié et anxiogène.

Vivant avec une peur permanente et angoissante de transgression des normes sociales qui sont souvent édictées par l’ordre religieux lui-même. On existe rarement pour soi mais surtout par rapport à son groupe d’appartenance. Rétorsion, auto-censure et censure semblent être les seuls facteurs déterminants de la personnalité psychique trouble et asociale du sujet wahhabisé. Jamais un sujet évoluant dans un milieu qu’il s’imagine purifié de toutes les influences extérieures, c’est-à-dire occidentalisées quand bien même elles sont universelles, ne se remet pas en cause. Pour lui, son modèle de société ne peut qu’être infaillible et parfait parce qu’il est d’inspiration divine.
Ainsi, selon les propos du Dr Noura Al-Suwaiyan directrice du programme de la sécurité familiale de l’hôpital de la garde nationale: « en Arabie saoudite les adultes sont incapables de traiter le problème parce qu’ils veulent croire à l’idée imaginaire selon laquelle nous serions la société la plus pure du monde ».

Un puritanisme pathologique de façade pour dissimuler leur perversion morale aux effets néfastes sur l’intégrité psychique et physique des enfants. Au point qu’il y a beaucoup plus de cas avérés de violence sexuelle faite aux enfants en Arabie Saoudite qu’aux E.U.

Ce fléau frappe aujourd’hui un enfant saoudien sur 4. Un chiffre qui en dit long sur l’état sur la corrélation entre la société wahhabisée et la perversion morale. Mais il n’y pas que cette forme de violence qui peut nous révéler la face immorale et attentatoire à la dignité humaine de cette société que les islamistes tunisiens veulent imposer par tout moyen à leurs compatriotes. Il y a celle aussi de la violence faite aux femmes dont plus de 500 femmes saoudiennes sont acculées chaque année au suicide. Un qui est certainement loi de la réalité. Le puritanisme au lieu de pacifier les caractères des sujets, les rend agressifs et violents dû au certainement à leur état de troubles névrotiques permanents et leurs frustrations anxiolytiques.

A défaut de procurer du bien-être à ses sujets, le modèle sociétal et moral wahhabite génère des comportements schizoïdes et paranoïdes, à savoir : une hypertrophie du moi avec un ego surdimensionné; psychorigidité et incapacité de se remettre en question; méfiance et suspicion et la fausseté du jugement, il veut toujours avoir raison que seule son interprétation des choses souvent fantaisiste et erronée doit avoir une force de vérité. Cherchant bien souvent à l’imposer de manière tyrannique et violente.

Au lieu de libérer les hommes, il les castre et les aliène et crée en eux un état de confusion mentale les rendant incapables de discernement et de faire par eux-mêmes et par eux-mêmes les choix nécessaires quant à leur prise en main de leur propre existence.

Un modèle des plus liberticides et confusionnels où les frontières entre les sphères se confondent où les sens, les ressentis et les sentiments se diluent dans les effluves enivrantes de l’ordre moral habillé de mysticisme sectaire fondé sur l’interdit affublé de caractère divin. Le sujet wahhabisé est pris en tenailles entre le licite et l’illicite qui délimite son champ de pensée et son champ d’action. Aucune autre alternative réfléchie, conçue et entreprise ne peut être tolérée. Chez les culs-bénis wahhabites, la raison fait office de passion.
C’est pourquoi Averroès, Avicennes, Al-Farabi et bien d’autres savants rationalistes musulmans héritiers de la pensée philosophique grecque étaient jugés comme hérétiques par l’orthodoxie musulmane inspirée par l’école de pensée théologique Acharite hostile au libre-arbitre et favorable à la prédestination. Quand ils pensent sexualité, ils se mettent à brider leurs femmes niant leur identité sexuelle et leur humanité malédiction divine. Le voile islamique ne peut qu’être le symbole de leur sexualité refoulée et tourmentée. Leur obsession du voile qui est le reflet du voile de leur sexualité en dit long sur leur profond mal-être les rendant indiifférents à leur environnement humain. Comme si le fait de ne pas voiler leurs femmes apparaît comme castrateur de leur virilité mise au service de Dieu.

Chaque musulman a l’obligation de contribuer à l’accroissement démographique de l’islam d’une part et d’autre part, le fait de voiler leurs femmes du pied jusqu’à la tête leur donne une forme phallique symbole de l’islamisme triomphant et viril. Statistiquement, les sociétés qui assument le mieux leurs conditions humaines sont celles qui sont les plus productives intellectuellement et scientifiquement et réciproquement. Depuis une trentaine d’années et la wahhabisation galopante des esprits, les sociétés islamisées gagnées par le fanatisme castrateur s’avèrent être les premières productrices d’actes de violence religieuse. La relation entre le bigotisme et le terrorisme ne relève pas de l’utopie. Depuis toujours, là où la religion domine la vie des gens, prospère le fanatisme religieux vecteur de violence terroriste. Au point que l’humanisme est assimilé à une apostasie parce qu’il est contraire aux dogmes de la foi islamique.
Ben Laden, nourri de la même sève idéologique que le petit illuminé tunisien et Grand Emir de l’Emirat naissant tunisien, était mystico-bigot, le moine fou Raspoutine l’était aussi. Tous les deux se voulaient dieu, le messie et le vengeur à la fois ils tuaient les hommes pour sauver Dieu qu’ils croyaient éternellement menacés par les hommes.

Atteints comme Behring Breivik l’auteur des attentats en Norvège de schizophrénie paranoïde. Peux-t-on en conclure pour autant que les sociétés islamisées renferment le plus de cas de schizophrènes avec tous les risques de débordement de violence que cela implique ? On ne saurait l’affirmer avec certitude mais la vigilance s’impose.
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Dans l’islam, les djinns forniquent avec les humains



L’islam, qui se montre rigide lorsqu’il s’agit de faire plier à ses pratiques les sociétés occidentales, possède une faculté d’adaptation inouïe quand il s’agit de protéger le dogme et les préceptes de sa charia : il justifie n’importe quel comportement considéré comme déviant par des élucubrations qui défient toute logique, et sont puisées dans des livres élevés à la sainteté et remontant à une dizaine de siècles.

Un sujet qui taraude l’esprit de la musulmane et du musulman et qui est un sujet révélateur de leur état d’esprit est de savoir comment l’islam juge les relations sexuelles des djinns avec des humains. La question suivante a été posée à un éminent et savantissime mufti (sa réponse a été consultée par 13.124 internautes au 11/10/2014) : « Quel est le châtiment d’une femme musulmane qui a subi un coït ou des attouchements, dans son sommeil du fait d’un diable-djinn alors qu’elle l’a perçu tout en dormant et qu’après son réveil elle a ressenti une fatigue. Elle est célibataire et tient à respecter ses obligations religieuses. Il s’est présenté à elle dans son sommeil. Doit-elle se laver, a-t-elle commis une faute blâmable ? Elle est restée pendant des jours envahie par la tristesse comme si elle avait commis un adultère. Que doit-elle faire ? ».

L’honorable conseiller en religion fait précéder d’abord sa réponse juridique (fatwa (n° 70368) d’un préambule obligatoire standardisé : « Rendons grâce à Allah et que la prière et la paix soient sur l’envoyé d’Allah, sur sa famille et ses compagnons ». Puis il prononce le corps de sa fatwa :

« Il est plus que sûr que le chevauchement d’un l’humain par un djinn est possible. Ibn al-Jawzi, qu’Allah lui accorde sa miséricorde !, a dit, d’après Le Très Haut : « Ils y [le paradis] trouveront [les houris] aux regards chastes qu’avant eux aucun homme ou djinn n’aura déflorées (97 : 56) ». Cela est la preuve que le djinn, comme l’homme, peut pénétrer une femme. Il n’y a pas de faute commise par celui [ou celle] qui est sous la contrainte, qu’il soit un homme ou une femme.

Quand la femme subit la fornication d’un djinn, sa perception se traduit de trois manières :

– Elle le sent dans son sommeil. Elle n’a pas l’obligation [légale] de se laver sauf si elle a vu du sperme. Mais peut-être qu’il n’y a pas eu un réel chevauchement mais une simple vision lors du sommeil. Quant à la fatigue ressentie au réveil elle serait due à une tension nerveuse.

– Le djinn peut se présenter à elle, éveillée, sous forme humaine et il la chevauche. Elle doit se laver car le chevauchement a eu lieu.

– Elle se sent chevauchée en état de veille mais elle ne voit pas le chevaucheur sous une forme humaine. Elle doit se laver si elle voit du sperme. Cependant, dans le cas où elle ne constate pas la présence de sperme mais qu’elle a senti qu’elle forniquait comme si c’était avec un humain, il y a désaccord entre les savants :

Pour les hanbalites (1), il faut se laver. Abou al-Ma’ali a dit : « S’il n’y a eu ni pénétration ni éjaculation, il n’y a pas d’obligation à se laver … De même pour les chafi’îtes et les mâlikîtes.

Pour les hanafites, se laver n’est pas une obligation si le djinn n’a pas pris une forme humaine. Car l’obligation ne s’impose qu’en cas de pénétration entre humains ou entre humain et djinn [féminin] avec éjaculation. Mais Allah sait le mieux ».

On peut citer d’autres fatwas sur ce sujet ayant pour titres Le chevauchement entre un djinn et un humain peut-il survenir ? (n° 173.857) et Une grossesse peut-elle survenir après fornication entre un humain et un djinn ? (n° 109.108). Et l’une des plus étranges est celle qui a interdit aux femmes de s’asseoir sur une chaise ou sur un canapé. Elle a été émise par un « missionnaire » salafiste, al-Habib ibn Hafîz. Voici l’argumentaire de ce savant : « Le plus fréquemment, les djinns forniquent avec les femmes alors qu’elles sont assises sur des chaises, qui sont d’ailleurs de conception et de fabrication occidentales. La chaise provoque une excitation sexuelle. C’est, sans doute, un adultère » … (2)

Ainsi, au début de ce 21e siècle, soit 14 siècles après Mohammad, l’islam reproduit ses mêmes arguments et jette un brouillard sur les relations hors mariage et les relations extraconjugales soit en les attribuant aux djinns, lesquels sont des deux sexes, comme par hasard, soit en célébrant des simulacres de mariage, d’une durée de quelques jours, de quelques heures ou même de quelques minutes le temps d’un rapport sexuel à la sauvette mais qui demeure néanmoins religieusement halal, un CDD de mariage en quelque sorte. Par ces tours de passe-passe, on retire tout scrupule et on lève l’interdit quand la situation l’impose. Hypocrisie ? Réalisme ? Ou les deux ? Cela n’empêche pas l’islam de châtier en public, par des coups de fouet, les célibataires qui ont eu des rapports sexuels et, par la lapidation, les couples adultérins …

Bernard DICK

(1) Dans l’islam sunnite, il y a quatre écoles juridiques :

– L’école hanafite fondée par Abou Hanîfa (m. 767) et adoptée par les Turcs, en Asie centrale, en Inde, au Pakistan et en Chine

– L’école mâlikite, de Mâlik ibn Anas (m. 795) s’est imposée en Haute-Égypte, au Soudan, au Maghreb, en Afrique de l’Ouest et sur la côte est de l’Arabie.

– L’école chafi’îte, d’après Mohammad al-Chafi’î (m. 820), est implantée au Proche-Orient, au Yémen, en Afrique orientale, en Indonésie.

– L’école hanbalîte, d’Ahmad ibn Hanbal (m. 855), est l’école la plus fonda-mentaliste. Elle a été relancée par Mohammad ibn ‘Abd el-Wahab, père du wahhabisme. Elle est présente en Arabie Saoudite et dans les pays du Golfe et en Inde. Elle est maintenant la plus développée en Occident grâce aux pétro et gazo-dollars.

(2) A lire : http://ripostelaique.com/risque-adulter ... -ratp.html

Au 12/10/2014

Nombre d’attaques terroristes islamiques mortelles

TERRORISME 23803 ATTAQUES-12-10-2014
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Le Coran moderne est incompréhensible en arabe.

Celles et ceux qui vois font le coup de dire qu'on ne comprend le Coran qu'en arabe, vous arnaquent ! Au moins une traduction oblige les clients à comprendre quelque chose. Y compris dans la traduction moderne du Coran en arabe avec l'ajout hasardeux éhonté des signes diacritiques, des noms inventés des sourates qui n'existent dans aucun des très vieux coran, ni les ponctuations, ni les lettres minuscules, ni les voyelles !

Or dans les anciens corans, rien de tout cela. Il faut se préparer avant d'ouvrir un coran des plus vieux au monde : c'est plus que du déchiffrage, on est perdu, ce sont des notes rapides pour se souvenir dans la journée, au maximum une semaine, mais après les possibilités sont infinies et on ne sait plus quoi en penser.

Mettons en pratique le Coran moderne, c'est à ses fruits qu'on reconnait un arbre, n'est-ce pas ? Oui, bien sûr.

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Et maintenant, réfléchissez devant la mise en pratique verson Coran moderne embrouillé.
Sur le terrain des applications, on ne comprend rien, on s'en indigne même des résultats !


Luxemberg proposait non pas 72 vierges, ce que je lis au passage, mais des "raisins blancs". Il faut beaucoup d'imagination et on tombe dans une impasse pire dont Luxemberg se garde bien de nous en donner la raison.

Comment avoir des enfants en copulant avec des "raisins blancs" ?
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Honorer et louez al-ilah, allah en contracté populaire. Oui, bien sûr, mais en montrant partout des Q, le nez collé dans le fessier de son voisin ?
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Les parfums الروائح reviennent souvent dans les plus vieux corans.
Il est absent dans le Coran moderne. Résultat, une odeur de méthane et la puanteur de l'odeur des pieds : la totale !

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C'est pervers et non hygiénique.
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C’est donc à un effort de relecture des plus anciens corans en suivant le bon sens araméen, copte, syriaque et grec dont les plus anciens corans en sont fournis considérablement, que les musulmans auraient dû s’atteler avec rigueur ! Mais malheur, aujourd’hui, c'est un interdit. C'est contraire au Coran 38-29 qui nécessite d'être compris en pratique.

Pourant personne d’autre à leur place, ne peut cesser la pédophilie, le djihad, les crimes rituels, l'esclavage, la soumission des femmes, et sans ces études, les musulmans ne seront jamais légitimes dans aucune démocratie moderne.
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Re: Le sexe et L'islam

Message non lu par yacoub »

PBSL n'a jamais craché sur les plaisirs de Sodome, ses biographes Ibn Ishak, Ibn Hicham, Tabari racontent qu'il suçait le raisin sec, le zbib, de ses petits-fils Hassan et Husseyn.

PBSL a prétendu utiliser la médecine prophétique, al Tâb Al Nabawi, pour sodomiser Omar qui souffrait d'un bouton à l'anus.

PBSL a utilisé son pénis comme scalpel et son "eau vile" comme pommade.
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Re: Le sexe et L'islam

Message non lu par yacoub »

L’imam Ahmad Abd Al-Bari : « Les films et la télévision donnent aux femmes l’impression qu’elles ont la liberté de refuser les appels de leur mari à les rejoindre au lit » (VIDEO)


L’imam Ahmad Abd Al-Bari : « Les films et la télévision donnent aux femmes l’impression qu’elles ont la liberté de refuser les appels de leur mari à les rejoindre au lit » (VIDEO)


Au cours d’un sermon du vendredi donné à la mosquée Al-Adawi à Mit Asas, en Égypte, le cheikh Ahmad Abd Al-Bari a déclaré que la principale raison pour laquelle les femmes refusent les appels de leur mari à les rejoindre au lit sont les films et les séries télévisées, qui leur ont appris à être désobéissantes. Il a déclaré que ces émissions ont donné aux femmes l’impression d’avoir une vie indépendante et de pouvoir refuser les appels de leur mari à les rejoindre au lit à leur guise. Il a également cité un hadith du prophète Mahomet, disant qu’une femme devait obéir à son mari lorsqu’il la désire, même si elle chevauche un chameau. Le sermon a été téléchargé sur Internet le 21 décembre 2018.

Extraits :

Ahmad Abd Al-Bari : L’une des choses qui gâchent la vie conjugale est lorsqu’une femme refuse la convocation au lit de son mari. Les films et les séries télévisées qui ont appris aux femmes à désobéir constituent l’une des principales causes de ce phénomène. C’est comme si elles avaient désormais une vie indépendante et qu’elles pouvaient s’exécuter quand elles le veulent et refuser de le faire quand elles ne le veulent pas. Mes chères sœurs, le prophète Mohammed a dit : « Si un homme convoque sa femme [au lit], elle doit consentir, même si elle chevauche un chameau. »
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Re: Le sexe et L'islam

Message non lu par marmhonie »

Le sujet se durcit, ça s'allonge, ça s'allonge...
Et surtout, ne relevez pas, ah non.
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