Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

Critique du Coran et ses versets - Chronologie - Histoire - Versets abrogés, Critique constructive des hadiths - quel apport dans la vie d'un musulman ? La réalité de la charia et de ses horreurs un peu partout dans le monde. Comment l'islam règle la vie des gens - comment les religieux oppressent le peuple
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Rachid24
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Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Bonjour,

j'aimerais savoir si des gens en connaisse un peu plus sur Ibn Abi-Sahr qui aurait été scribe de Mohamed mais qui aurait apostasié quand il se serait rendu compte que mohamed se laissait influencer par les scribes quand il écrivait le Coran

merci


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lorie
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Bonjour Rachida24

Je crois que le mieux placé pour te répondre est notre ami spin qui a déjà écrit des articles sur cet homme .. je ne pourrais que recopier ses écrits donc attendons plutôt son passage si tu le veux bien ..

Pourrais tu entre temps te présenter dans la section appropriée ?

Bienvenue dans ce forum
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jug
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Bienvenue Rachid 24
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suicidal_misfit
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Salut Rachid24 bienvenu sur le forum
lorie a écrit :Bonjour Rachida24
Fait attention Lorie il s'appelle Rachid et non Rachida, tu voudrais toi qu'on t'appelle Laurent au lieu de Lorie?? :cheesygrin:
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Bonjour Rachid et bienvenu sur ce site
L'histoire est connue le Prophète lui a dicté une formule et son secrétaire l'a remplacé
par une autre il l'a dit au prophète qui a trouvé la formule du secrétaire plus heureuse
Après reflexion il apostasia
Furieux le Prophète voulut l'égorger islamiquement
mais Ibn Abi Sahr réussit à s'enfuir en Egypte
Il ne revint chez lui que quand le prophète a rejoint Allah :lollol
"Qui n'empêche pas le mal le favorise"
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AliadArrakis
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Bienvenu Rachid24 :)
suicidal_misfit a écrit :Fait attention Lorie il s'appelle Rachid et non Rachida, tu voudrais toi qu'on t'appelle Laurent au lieu de Lorie?? :cheesygrin:
L'inverse est souvent moins gênant. :mrgreen:
(Les cas de femmes qui se travestissent en homme sont moins humoristiques que le contraire :lol: )
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lorie
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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oupssssssssss .. je suis confuse et je présente à Rachid toutes mes excuses .. pas réveillée .. fatiguée et au boulot .. désolée .. :oops: :oops: :oops:
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yacoub
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Salut Rachid bonsoir bienvenue sur ce site
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spin
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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maried a écrit :Bonjour Rachid et bienvenu sur ce site
L'histoire est connue le Prophète lui a dicté une formule et son secrétaire l'a remplacé
par une autre il l'a dit au prophète qui a trouvé la formule du secrétaire plus heureuse
Après reflexion il apostasia
Furieux le Prophète voulut l'égorger islamiquement
mais Ibn Abi Sahr réussit à s'enfuir en Egypte
Il ne revint chez lui que quand le prophète a rejoint Allah :lollol
Heu, ce n'est pas la version que j'ai vue ! Il a apostasié effectivement après avoir constaté qu'il pouvait introduire des variantes dans le texte prétendument de Dieu, il est alors allé à La Mecque et a tout raconté. Lors de la prise de la Mecque, Mohammed voulait lui faire la peau. On le lui a amené, mais alors Othman, parce qu'il avait été frère de lait d'Abdallah, a supplié de le grâcier. Mohammed a donc, de très mauvaise grâce si je puis dire, accordé sa grâce. Concrètement, il a commencé par se taire. Il espérait que quelqu'un comprendrait qu'il ne voulait pas personnellement peiner Othman, et que le quelqu'un assumerait et couperait la tête du condamné, mais personne ne l'a fait. Mohammed a donc engueulé les assistants qui n'avaient pas compris (sympa, tout ça, pour un suprême modèle d'humanité).

Par la suite, Abdallah étant redevenu musulman contraint et forcé, Othman, devenu calife et ayant décidément l'esprit de famille, lui a confié un commandement. Abdallah n'était pas un manche et a été le premier chef musulman à remporter une victoire sur mer. Néanmoins tout le monde n'avait pas digéré l'affaire, ça a fait grincer pas mal de dents et a contribué à la révolte contre Othman (quoique je pense que le motif essentiel de cette révolte était la fixation arbitraire du Coran, mais c'est un peu la même chose).

à+
De quel droit refuserions-nous de faire usage du plus grand don de Dieu ? N'est-ce pas un formidable blasphème que de croire contre la raison ? (Vivekananda)
https://daruc.fr/divers/islamp.htm
https://bouquinsblog.blog4ever.com/blog ... ique_.html
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

Message non lu par yacoub »

spin a écrit :Heu, ce n'est pas la version que j'ai vue ! Il a apostasié effectivement après avoir constaté qu'il pouvait introduire des variantes dans le texte prétendument de Dieu, il est alors allé à La Mecque et a tout raconté. Lors de la prise de la Mecque, Mohammed voulait lui faire la peau. On le lui a amené, mais alors Othman, parce qu'il avait été frère de lait d'Abdallah, a supplié de le gracier. Mohammed a donc, de très mauvaise grâce si je puis dire, accordé sa grâce. Concrètement, il a commencé par se taire. Il espérait que quelqu'un comprendrait qu'il ne voulait pas personnellement peiner Othman, et que le quelqu'un assumerait et couperait la tête du condamné, mais personne ne l'a fait. Mohammed a donc engueulé les assistants qui n'avaient pas compris (sympa, tout ça, pour un suprême modèle d'humanité).

Par la suite, Abdallah étant redevenu musulman contraint et forcé, Othman, devenu calife et ayant décidément l'esprit de famille, lui a confié un commandement. Abdallah n'était pas un manche et a été le premier chef musulman à remporter une victoire sur mer. Néanmoins tout le monde n'avait pas digéré l'affaire, ça a fait grincer pas mal de dents et a contribué à la révolte contre Othman (quoique je pense que le motif essentiel de cette révolte était la fixation arbitraire du Coran, mais c'est un peu la même chose).

à+
:super:
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

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Dr Klara Samkova : sur l'islam et les droits humains
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Dr Klara Samkova : sur l'islam et les droits humains


Klara Samkova est une avocate, femme politique et essayiste tchèque.

Née en 1963 dans une famille d’intellectuels et de juristes, elle est titulaire d’un doctorat en histoire et d’un doctorat en droit.

Elle milite pour les droits humains à l’époque communiste et est membre du premier parlement post-communiste. En 2003, le Président Vaclav Havel veut la nommer au Conseil Constitutionnel mais le sénat refusera.

Elle a fondé une association de défense des droits des Roms, “Dzeno”.

Voici son point de vue sur la compatibilité entre islam et droits humains ( original en anglais, suivi de ma traduction rapide en français) ( texte sur le même thème :
http://elisseievna.blogspot.fr/2010/12/ ... i-loi.html )



Islam and the principles of human rights

It is said of European, or more precisely of Euro-American society and civilisation, that it stands on a foundation of Judaism, the Graeco-Roman world and Christianity. This assertion is true, and its reach goes much deeper than we realise in our everyday lives. Culture and civilisation are not just churches on the town square, wayside crosses in a field and involuntary utterances like “jumping dolly” inherited from our forefathers without even knowing what they mean. (In this particular case, just out of interest, this was an appeal to the Virgin Mary in the village of Skoky near Toužim). It is a way of thinking as well as a value hierarchy; we think of keeping to it as right and proper, without actually being aware of why that is.

The Jewish Old Testament impressed on our civilisation the perception of cause and effect as events unwaveringly associated with each other. Nothing “just happens”. In the end, even God, the mighty Yahweh, is not angry with his people just because he feels like it, but his wrath has its reasons and his punishment is a consequence of the behaviour of his chosen people. Apart from this causal relationship the Jewish tradition has also given us a sense of history, of the passing of time. In contrast to civilisations which came before, whose perception of time was cyclical, the Jews were already moving along a timeline.

The Graeco-Roman world gave us ratio (reason) as its principal legacy. Of all the cultures of the world it was the only one to reject all forms of mysticism and to insist on proof. Even the ancient gods were governed by logic. The result of the ancient way of thinking was Platonism and especially neoPlatonism, which later, and not without pain, worked its way into the way in which the Western, as well as the Orthodox Christian, church perceived reality.

Christianity added to the Jewish sense of time and the reasoning of the ancients something unusual for the time, seen only in Buddhism, the idea of compassion. This however was a collective compassion, not the Buddhist essentially individualistic effort to achieve individual perfection. To an unprecedented extent Christianity opened up the problem of the solidarity of human beings and their responsibility for each other.

For 1900 years Christianity resolved the question of the extent of mutual solidarity, the level of responsibility for each other and the degree of cohesion, when it tried to answer the question of WHO actually are those to whom “Love thy neighbour as thyself” applies? For many centuries the answer was clear: it was Christians alone, and what is more, only Christians of the same persuasion as oneself. One should not forget the capture of Constantinople by the Western Crusaders in 1204, when the crusaders ran along the walls of Theodosian’s Constantinople crying “the only good Orthodox Christian is a dead one”, nor can we overlook the horrors of the Thirty Years War, fought mainly between countries professing Roman Catholicism and those with a majority reformist church population, particularly of Calvinists and Lutherans.

The question of “who is my neighbour” was resolved once and for all for Europeans and North Americans only in the 20th century, through the implementation of the greatest evil ever perpetrated by that Euro-American civilisation, the Jewish and Roma Holocaust. The result of this terrible suffering of millions of people in the concentration camps and tens of millions on the battlefronts was an unambiguous answer:

EVERYONE IS MY NEIGHBOUR.

The outcome of three thousand years of intellectual effort from Genesis via Plato’s Academy, abolished by the Emperor Justinian as late as 529, via the medieval Scholastics up until the boom in a plethora of Christian churches and congregations in the 19th and 20th centuries, is a statement which is very non-religious in its wording, a legal statement. This is how it reads:

Article 1
All human beings are born free and equal in dignity and rights. They are endowed with reason and conscience and should act towards one another in a spirit of brotherhood.

Article 2
(1) Everyone is entitled to all the rights and freedoms set forth in this Declaration, without distinction of any kind, such as race, colour, sex, language, religion, political or other opinion, national or social origin, property, birth or other status.
(2) Furthermore, no distinction shall be made on the basis of the political, jurisdictional or international status of the country or territory to which a person belongs, whether it be independent, trust, non-self-governing or under any other limitation of sovereignty.

These are the basic provisions of the Universal Declaration of Human Rights, adopted by the United Nations General Assembly on 10th December 1948. And even if this is a so-called legally non-binding document, its impact is wide-ranging: it is the starting point for all other human rights conventions, which do have a legally binding nature and which appear again and again in a legally sanctionable form.

But this is not just a legal sanction, indeed, strange to say, it is not law at all. What matters is that these human rights conventions resolved that fundamental philosophical and ethical problem that humanity has tried to solve with enormous sacrifice over the last 3000 years: that of who we really are, who are WE – and what the consequences of that are for all of us.

I must repeat that the answer to these questions is that We really does mean All of Us. This is very nicely put in Art. 1 of the Czech Charter of Basic Rights and Freedoms:

“All people are free and equal in their dignity and rights. Their fundamental rights and freedoms are inherent, inalienable, non-prescriptible, and irrepealable. “

The Convention on the Protection of Human Rights and Fundamental Freedoms, adopted at the instigation of Winston Churchill as a reaction against the Holocaust which had just occurred and the Second World War, thus lists those rights and freedoms, the enjoyment of which must be guaranteed to their residents, and to their citizens in particular. Few people are aware that these freedoms, guaranteed by the European Convention, are a counterpart to the obligations contained in the Ten Commandments, that is, to the key first codex of the whole of Euro-American civilisation.

The Treaty of Lisbon is the setting in stone of Christian principles transformed into a catalogue of human rights; in its Article 6 it acknowledges that the EU Charter of Fundamental Rights dated 7th December 2000 has the same legal force as the Treaty of Lisbon itself. And of course this EU Charter of Fundamental Rights is based on the Universal Declaration of Human Rights and Article 1 reads:

“Human dignity is inviolable. It must be respected and protected.”

As can be seen, the European Union is founded on Christian principles, on a solution to the philosophical and key existential questions which our forebears asked. We must therefore be very careful about any revision of these values and be circumspect about any kind of concessions.

So far I have written here about the key principles of human rights, but without a single word about Islam. Let us put the question of whether Christian human rights principles, which form the foundation for Europe and thereby the Czech legal framework - regardless of a number of its imperfections, indeed in many cases, stupidities - are compatible with Islam.

Let us not forget that Islam and Islamic law have not gone through that painful struggle, paid for with millions of lives, to recognise the equality of all human beings. Islam has never clung to the idea that it is freedom, and individual freedom at that, which is a necessary condition for creativity and growth. We who have a Christian past behind us have gone through that growth, that recognition; but Islam has not. For the sake of completeness I would emphasise that when today we speak of Christianity and the Christian view of the world, we do not have in mind the idolatry of old ladies with their candles, or even accepting the Christian faith, it is a way of looking at the world around us. In this sense even atheists are products of Christian culture, even if they have set themselves apart from the Christian god.

If then Islam maintains that people are NOT equal, that is, that people have varying status according to their gender and their religion, then of course from our viewpoint this is a step backwards, and in particular a belittling of all the sacrifices which we have made to achieve recognition of the true equality of people. The Islamic view of the individual and his rights are essentially incompatible with the philosophical and legal gains we have achieved.

Conclusion: To recognise Islam and its principles in the way that Muslims are demanding in our countries and in Europe is to accept the idea that not all people are equal. We would be knocking down the cornerstone of our own legal system and the whole of our cultural heritage. And paradoxically we would be recognising the fact that even Muslims are not equal to us in their rights and obligations, and the implication of their own legal system would permit us to behave in a way which would be illegal in the sense of our very own laws.

So if Muslims then demand special treatment and special privileges as we are seeing throughout Europe, they are demolishing the keystones not only of our legal system, but also of their own protection and their own status, on the maintenance of which our side they are depending. In other, less precise words we can say that in propagating Islamic law in Europe Muslims are in effect almost ensuring winning the Darwin prize for several decades to come.

The question arises of how to proceed, what should we really want.
On the one hand it seems that we have an obligation to defend the right of anyone to be different, for example, to be a Muslim. But do we also have the right, nay, the obligation to defend rights we acknowledge and profess against someone who does not acknowledge those rights? Is not the right we promote for others not to acknowledge our own rights that is a denial of our own obligation to protect our own legal system?

However unbelievable it may seem, this question leads us to the necessity of once more dealing with the same, quite key philosophical and legal issue of our civilisation, that of equality. If we acknowledge that Muslims are equal to us, then this acknowledgement implicitly says that we are equal to Muslims. However, if then in their view and conception we are not equal to them – where is the equality? So we come back again to a denial of the whole philosophical and legal system.
We come to a situation where we find that this question is not our question, is not our problem. The struggle which is now playing out and seems to be a struggle between Islam and European culture, or more precisely between Islam and Christianity, is in essence a struggle within Islam itself for its own identity and its own concept of man. Who will be a man for Muslims in the future? Only a Muslim?

Muslims must fight out this struggle for their own identity for themselves. And they must do it outside of Europe. Because Europe, although it is hard to believe, has nothing to do with their problem.

Klára Samková


Islam et les principes des droits de l'homme

L’Europe, ou plus précisément de la société euro-américaine et de la civilisation, est décrite comme reposant sur la base du judaïsme, du monde gréco-romain et du christianisme. Cette affirmation est vraie, et sa portée est beaucoup plus profonde que nous ne le réalisons dans notre vie quotidienne. Culture et civilisation ne sont pas seulement constituées par les églises sur la place de la ville, les croix sur les chemins ou dans un champ et des expressions involontaires comme " [ ... ] " hérité de nos ancêtres, sans même savoir ce qu'ils signifient. (Dans ce cas particulier, ce fut un appel à la Vierge Marie dans le village de Skoky près de Toužim). Elles sont une façon de penser ainsi que d'une hiérarchie de valeur, que nous pensons juste et bon de garder, sans être réellement conscient du pourquoi.

L'Ancien Testament juif a imprimé sur notre civilisation la perception de la cause et de l'effet comme des événements inébranlablement associés les uns aux autres. Rien n’est "juste arrivé". En fin de compte, même Dieu, le puissant Yahweh, n‘est pas en colère contre son peuple, simplement parce qu'il se sent ainsi, mais sa colère a ses raisons et sa punition est une conséquence du comportement de son peuple élu. En dehors de cette relation de cause à effet la tradition juive nous a aussi donné un sens de l'histoire, du passage du temps. Contrairement aux civilisations qui ont précédé, dont la perception du temps était cyclique, les Juifs étaient déjà en mouvement le long d'une ligne de temps.

Le monde gréco-romain nous a donné la ratio (raison) comme principal héritage. De toutes les cultures du monde, il a été le seul à rejeter toutes les formes de mysticisme et à insister sur la preuve. Même les anciens dieux étaient régis par la logique. Le résultat de l'ancienne façon de penser était le platonisme et surtout le néoplatonisme, qui plus tard, et non sans douleur, a fait son chemin dans la façon dont l'Ouest, ainsi que l’Eglise chrétienne orthodoxe, a perçu la réalité.

Christianisme ajouté au sens juif du temps et au raisonnement de l'antiquité quelque chose d'inhabituel pour l'époque, n’ayant été vu que dans le bouddhisme, l'idée de la compassion. Ce fut cependant une compassion collective, et non pas l'effort essentiellement individualiste bouddhiste pour atteindre la perfection individuelle. Dans une certaine mesure sans précédent, le christianisme a ouvert le problème de la solidarité des êtres humains et de leur responsabilité pour l'autre.

Pour 1900 ans, le christianisme a résolu la question de l'ampleur de la solidarité mutuelle, le niveau de responsabilité pour l'autre et le degré de cohésion, quand il a essayé de répondre à la question de savoir QUI sont en fait ceux à qui s’applique : «Aime ton prochain comme toi-même" ? Pendant plusieurs siècles, la réponse était claire: c‘était les seuls chrétiens, et qui plus est, seuls les chrétiens de la même confession que soi-même. Il ne faut pas oublier la prise de Constantinople par les croisés occidentaux en 1204, lorsque les croisés couraient le long des murs de Constantinople de Théodose en criant: «le seul bon chrétien orthodoxe est un mort", nous ne pouvons oublier les horreurs de la guerre de Trente Ans, combat principalement entre pays professant le catholicisme romain et ceux avec une population de l'église réformiste majoritaire, en particulier calvinistes et luthériens.

La question de savoir «qui est mon voisin» n‘a été résolu une fois pour toutes pour les Européens et les Nord-Américains qu’au 20ème siècle, par le passage par la mise en œuvre du plus grand mal jamais perpétré par cette civilisation euro-américaine, l'Holocauste juif et les Roms. Le résultat de cette terrible souffrance de millions de personnes dans les camps de concentration et des dizaines de millions sur les champs de bataille était une réponse sans équivoque :

TOUT LE MONDE EST MON VOISIN.

Le résultat de trois mille ans d'effort intellectuel, de la Genèse, via l'Académie de Platon, abolie par l'empereur Justinien tardivement en 529, via les scolastiques médiévaux jusqu'à l'explosion dans une pléthore d'églises chrétiennes et congrégations dans les 19e et 20e siècles, est une déclaration qui est très non-religieuse dans sa formulation, une déclaration juridique. Voici ce que l’on peut y lire :

Article 1
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 2
(1) Toute personne a droit à tous les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou autre, l'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou toute autre situation.
(2) En outre, aucune distinction ne doit être faite sur la base du statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou sous toute autre limitation de la souveraineté.

Ce sont les dispositions fondamentales de la Déclaration universelle des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 10 Décembre 1948. Et même si elle est un document dit légalement non contraignant, son impact est large : elle est le point de départ de toutes les autres conventions des droits de l'homme, qui ont un caractère juridiquement contraignant et qui apparaissent encore et encore sous une forme juridiquement sanctionnable.

Mais elle n’est pas seulement une sanction légale, en effet, il est étrange de le dire, elle n'est pas une loi du tout. Ce qui importe est que ces conventions relatives aux droits de l'homme ont résolu ce problème philosophique et éthique fondamentale que l'humanité a essayé de résoudre avec un énorme sacrifice au cours des 3000 dernières années : celui de qui nous sommes vraiment, qui sommes-NOUS - et quelles sont les conséquences de ce sont pour tous de nous.

Je dois répéter que la réponse à ces questions est que NOUS signifie réellement l‘ensemble de nous. Ceci est très bien inscrit dans l‘ article un de la Charte tchèque des droits et libertés fondamentales :

" Les êtres humains sont libres et égaux en dignité et en droits. Leurs droits et les libertés fondamentales sont inhérents, inaliénables, non prescriptible et irrévocables. "

La Convention sur la protection des droits de l'homme et des libertés fondamentales, adoptée à l'instigation de Winston Churchill comme une réaction contre l'Holocauste qui venait de se produire et de la Seconde Guerre mondiale, énumère ainsi les droits et libertés, dont la jouissance doit être garantie à leurs résidents et à leurs citoyens en particulier. Peu de gens sont conscients que ces libertés garanties par la Convention européenne, sont la contrepartie des obligations contenues dans les Dix Commandements, qui est la clé de la première codification de l'ensemble de la civilisation euro-américaine.

Le traité de Lisbonne est l’inscription dans la pierre des principes chrétiens transformés en un catalogue de droits de l'homme ; dans son article 6, il reconnaît que la Charte européenne des droits fondamentaux en date du 7 décembre 2000 possède la même force juridique que le traité de Lisbonne lui-même. Et bien sûr, cette Charte des droits fondamentaux de l'UE est basée sur la Déclaration universelle des droits de l'homme et de l'article 1 est ainsi libellé:

"La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée ».

Comme on le voit, l'Union européenne est fondée sur des principes chrétiens, sur une solution aux questions clés existentielles et philosophiques clés que nos ancêtres ont recherchée. Nous devons donc être très prudents à propos de toute révision de ces valeurs et être circonspects envers tout type de concessions.

Jusqu'à présent, je l'ai écrit ici sur les principes fondamentaux des droits de l'homme, mais sans un seul mot sur l'islam. Posons la question de savoir si les principes chrétiens de droits humains, qui constituent le fondement pour l'Europe et, partant, le cadre juridique tchèque - indépendamment d'un certain nombre de ses imperfections, en effet, dans de nombreux cas, stupidités - sont compatibles avec l'Islam.

Il ne faut pas oublier que l'islam et la loi islamique ne sont pas passés à travers cette lutte douloureuse, payée avec des millions de vies, de reconnaître l'égalité de tous les êtres humains. L'Islam n'a jamais accroché à l'idée que la liberté, et la liberté individuelle, est une condition nécessaire pour la créativité et la croissance. Nous qui avons un passé chrétien nous sommes passés par cette croissance, cette reconnaissance ; mais l'islam non. Par souci d'exhaustivité, je tiens à souligner que, quand nous parlons aujourd'hui du christianisme et de la vision chrétienne du monde, nous n’avons pas à l'esprit l'idolâtrie de vieilles dames avec leurs bougies, ou même l’acceptation de la foi chrétienne, mais une voie pour regarder le monde autour de nous. En ce sens, même les athées sont des produits de la culture chrétienne, même si ils se situent à part du dieu chrétien.

Si donc l'islam soutient que les gens ne sont pas égaux, soit, que les gens ont un statut variant en fonction de leur sexe et de leur religion, alors bien sûr de notre point de vue est que cela est un pas en arrière, et en particulier un rabaissement de tous les sacrifices que nous avons fait pour obtenir la reconnaissance de la véritable égalité des personnes. La vision islamique de l'individu et ses droits sont essentiellement incompatibles avec les acquis philosophiques et juridiques que nous avons obtenus.

Conclusion : Reconnaître l'Islam et ses principes de la façon dont les musulmans le réclament dans nos pays et en Europe est d'accepter l'idée que tous les hommes sont égaux. Nous en serions à abattre la pierre angulaire de notre propre système juridique et l'ensemble de notre patrimoine culturel. Et paradoxalement, nous reconnaitrions le fait que même les musulmans ne sont pas égaux à nous dans leurs droits et obligations, et l'implication de leur propre système juridique nous permettrait de nous comporter d'une manière qui serait illégal au sens de nos propres lois .

Donc, si les musulmans alors exigent un traitement spécial et des privilèges spéciaux comme nous le voyons dans toute l'Europe, ils démolissent les clés de voute non seulement de notre système juridique, mais aussi de leur propre protection et leur propre statut, dont ils dépendent pour leur maintien de notre côté. En d'autres termes, moins précis, on peut dire que dans la propagation de la loi islamique en Europe les musulmans sont en effet presque assurés de gagner le prix Darwin pendant plusieurs décennies à venir.

La question se pose de la façon de savoir comment procéder, que devrions-nous vraiment vouloir.
D'une part, il semble que nous avons l'obligation de défendre le droit de toute personne d'être différent, par exemple, être un musulman. Mais avons-nous le droit, et même l'obligation de défendre les droits que nous reconnaissons et professons contre quelqu'un qui ne reconnaît pas ces droits? Est-ce que le droit que nous promouvons pour les autres de ne pas reconnaître nos propres droits n’est pas un déni de notre propre obligation de protéger notre propre système juridique?

Aussi incroyable que cela puisse paraître, cette question nous amène à la nécessité d'une fois de plus nous gérer la même la question tout à fait clé, philosophique et juridique de notre civilisation, celle de l'égalité. Si nous reconnaissons que les musulmans sont égaux à nous, cette reconnaissance implicitement dit que nous sommes égaux aux musulmans. Toutefois, si ensuite, selon leur vue et leur conception que nous ne sommes pas égaux à eux - où est l'égalité? Donc, nous revenons encore une fois à un déni de l'ensemble du système philosophique et juridique.
Nous arrivons à une situation où nous constatons que cette question n’est pas notre question, n'est pas notre problème. La lutte qui se joue maintenant et semble être une lutte entre l'islam et la culture européenne, ou plus précisément entre l'islam et le christianisme, est essentiellement une lutte au sein de l'Islam lui-même pour sa propre identité et sa propre conception de l'homme. Qui sera un homme pour les musulmans à l'avenir? Seul un musulman?

Les musulmans doivent combattre cette lutte pour leur propre identité pour eux-mêmes. Et ils doivent le faire en dehors de l'Europe. Parce que l'Europe, même s’il est difficile de le croire, n'a rien à voir avec leur problème.

Klára Samková
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Neverime
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

Message non lu par Neverime »

Bienvenue sur le forum.^^
"Il y a cent mille ans, une grande et puissante civilisation existait... et comme d'autres, elle a connu un évènement qui lui a été fatal. C'était quelque chose qu'ils n'attendaient pas, l'arrivée d'une force obscure et destructrice qui n'avait aucune limite dans sa soif insatiable de possessions et de domination. Ils nommèrent cet ennemi: les Destructeurs.

Tous les mondes qu'ils prenaient portaient la vie et ils ne laissaient derrière que des terres stériles hautement toxiques, vidées de toutes leurs ressources...
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yacoub
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

Message non lu par yacoub »

Le premier des êtres créé à la droite du trône

Le Prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) disait dans un hadith authentique : « J’étais un prophète alors qu’Adam était entre l’esprit et le corps ».

ALLAH a voulu la prophétie alors qu’Adam était entre l’esprit et le corps, car la volonté précède la création des corps. L’aspect véridique de l’esprit du Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) que nous appelons (El Haqiqa rouhia) « la réalité spirituelle » existait dans le monde des esprits tout en étant prophète.

Le Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) a dit : « Je suis le premier à être créé parmi les hommes et le dernier à être envoyé ». Abou Hourayra (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) a dit : « Je suis le premier sur qui s’ouvrira la terre, je mettrais un habit du paradis puis je me dirigerais à la droite du Trône, personne n’aura le statut que j’aurais ». Dans le Sahih de Mouslim, il a dit aussi (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) : « Je suis le seigneur des fils d’Adam le jour de la résurrection, le premier pour qui s’ouvrira sa tombe, le premier intercesseur ».

-Avant Adam il fût

Le Prophète a dit : « J’ai reçu la somme de toutes les paroles » et également : « Adam était encore entre l’eau et l’argile que j’étais déjà »

Des gens vinrent un jour demander au Prophète: "Quand as-tu assumé ta charge de prophète?
-Alors qu'Adam était encore entre l'esprit et le corps".répondit-il.D'après Ibn 'Abba: "Je [Mohamed] suis le premier des hommes dans la création et le dernier dans la mission [prophétique]. J'étais le serviteur de Dieu et le sceau des envoyés alors qu'Adam était encore dans son argile.[...]. Lorsque Dieu créa Adam, je fus transféré à sa descendance et je descendis sur terre. Puis j'appartins à la descendance de Noé et je fus placé dans l'Arche. Je ne cessai de passer dans les matrices les plus pures jusqu'à ce ce que je vienne au monde engendré par mes deux parents".
Tirmidhi, la somme autenthique

-Une naissance miraculeuse

Amina accoucha sans douleur aucune. Selon ibn Saad, la mère du Prophète dit : « Lorsque je l’ai mis au monde, il est sorti de moi une lumière qui illumina les palais de la Syrie« .
Ahmad, Ad-Dârimi et d’autres ont rapporté des faits similaires, une lumière qui aurait illuminé jusqu’à Bosra, une ville syrienne frontalière à l’Arabie Saoudite. Cham ( la Syrie de l’époque comprenant la Jordanie, la Palestine… ) est une Terre Sainte en Islam. De plus, comme l’explique Sheikh Yasir Qadhi, le Cham fut la première terre conquise par les musulmans, sous le califat d’Omar Ibn El Khattab, après la mort du Prophète. D’autre part, ‘Issa ( Paix sur lui ) redescendra sur le Cham, et y rencontrera le Mahdi, et Dieu sait mieux. Mais cela explique certainement cette lumière, lors de la naissance du dernier des prophètes ( Paix et Bénédiction de Dieu sur lui ).
Oumzaza

-La bonne nouvelle

Sourate 18. 56. Et Nous n'envoyons les messagers que pour annoncer la bonne nouvelle et avertir. Et ceux qui ont mecru disputent avec de faux arguments, afin d'infirmer la verite et prennent en raillerie Mes versets (le Coran) ainsi que ce (chatiment) dont on les a avertis.

-Le Rédempteur

« Le jour du jugement dernier, le sol se fendra sur moi en premier [Je suis le premier à sortir de terre].»

Les humains seront là, tous réunis depuis Adam, des milliards d'individus, debout, ils auront peur, ils seront fatigués, tous nus! Il fera très chaud! Cela faisait 50 000 ans qu'ils auront attendu que le jugement commence! Sans boire et sans
manger! Noyés dans leur sueur à différents niveaux. Ils désespèreront! Qui intercédera?!!!

Puis l'humanité décidera d'agir, mais qui pourra demander à Dieu de commencer le jugement pour en finir avec cette attente?
Ils décideront tous ensemble d'aller voir Adam, le père des prophète (psll)s pour qu'il intercède auprès d'Allah et lui demande de
commencer le jugement.

Adam répondra: « Naffsi! Naffsi ! [(J'espère) le salut de mon âme!] J'ai mangé de l'arbre interdit et j'ai désobéi! Allez donc voir Nouh!
(Noé)psl » [Dans une autre version il dira aussi: «
Jamais Dieu n'a été autant en colère qu'aujourd'hui je ne peux rien lui demander]. »

L'humanité se dirigera alors vers Nouh (Noé) pour qu'il intercède auprès de Dieu et lui demande de commencer le jugement.

« Ô Nouh! Toi qui as été sauvé par Dieu (lors du déluge) intercède auprès de Dieu pour qu'il commence le jugement! »

Nouh répondra: « Naffsi! Naffsi! J'ai déjà demandé à Dieu ce dont je n'avais pas à l'interroger (pour son fils le mécréant) et Il m'en a blâmé! Et je n'espère qu'une chose: c'est qu'Il me pardonne. Allez voir ! Abraham psl »

L'humanité se dirigera alors vers Abraham psl celui ci répondra: « Naffsi! Naffsi! J'ai menti trois fois! Allez voir Moussa!»

Moussa dira: « Naffsi! Naffsi! J'ai tué un homme! Allez voir Issa! jesus psl » Issa jesus psl répondra: « Naffsi! Naffsi! Allez voir Mohamed! Un
serviteur auquel Allah a pardonné tous les péchés! »
Puis l'humanité se dirigera vers Mohamed qui répondra: « Ana laha! Ana laha! [Elle est pour moi! elle est pour moi (l'intercession) !]

-Il est aussi l'éternel (Dieu) du mont Paran
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Proust
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Re: Ibn Abi-Sahr scribe de Mohamed qui a apostasié

Message non lu par Proust »

Complètement fou, ce Mahomet.
Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n'est pas victime ! Il est complice.
George Orwell.
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