Jésus n'est pas dieu

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yacoub
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Jésus n'est pas dieu

Message non lu par yacoub »

Les 10 preuves dans la bible que jésus n'est pas dieu sur cette vidéo.
Tous les mensonges des évangélisateurs démontés sur le site suivant
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Les preuves détaillées dans la bible que jésus n'est pas dieu dans cet article :
http://www.islamreligion.com/fr/artic...
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Les érudits chrétiens reconnaissent les contradictions dans la Bible
: http://www.islamreligion.com/fr/artic...
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Lien vers l'article,texte en pdf, d'un kabyle Converti au christianisme qui s'est ré-converti à l'islam.Il explique en détail les méthodes utilisés par les évangélisateurs, leurs erreurs et leurs mensonges!!!
http://www.aimer-jesus.com/kabyle.pdf
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Alors encore une fois, quel sens doit-on donner à l'expression « fils de Dieu »? Et d'abord, si Jésus avait un droit exclusif au titre, pourquoi trouve-t-on dans la Bible des versets tels que : « Car Je suis un père pour Israël, et Éphraïm est Mon premier-né. » (Jérémie 31:9) et « Ainsi parle l'Éternel : « Israël est Mon fils, Mon premier-né. » (Exode 4:22) Dans le contexte de Romains 8:14, qui dit : «... car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu », plusieurs érudits concluent que « fils de Dieu » est une expression métaphorique et que, comme christos, elle ne sous-entend pas une exclusivité. Après tout, le Oxford Dictionary of the Jewish Religion confirme qu'en langue juive, l'expression « fils de Dieu » est clairement utilisée de façon métaphorique. Quant à lui, le Hasting's Bible Dictionary, au sujet de la citation suivante : « L'expression « fils de Dieu », que l'on retrouve de façon occasionnelle dans la littérature juive, biblique et post-biblique, ne signifie en aucun cas la descente physique, [sur terre], de Dieu.
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https://youtu.be/BPdGtr_7Qjg

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Re: Jésus n'est pas dieu

Message non lu par Neverime »

Sachant que les dix commandements c'est une vaste supercherie, un mensonge religieux.

Ils n'ont jamais existé, pas plus qu'ils n'ont été gravé et encore moins par un dieu.

Tout est faux. Où sont les traces de tout ce qui est prétendu? Où sont les preuves?

On se plaint de l'islamisme mais le christianisme ne vaut guère mieux et a déjà fait bien avant ce qui se passe avec l'islamisme.


Pour rappel que ça vient du judaisme et que c'est tout sauf un modèle à suivre.

Et ce site d'ailleurs, il y a de la matière ici.


http://spoirier.lautre.net/philo/logique-chretienne.htm
"Il y a cent mille ans, une grande et puissante civilisation existait... et comme d'autres, elle a connu un évènement qui lui a été fatal. C'était quelque chose qu'ils n'attendaient pas, l'arrivée d'une force obscure et destructrice qui n'avait aucune limite dans sa soif insatiable de possessions et de domination. Ils nommèrent cet ennemi: les Destructeurs.

Tous les mondes qu'ils prenaient portaient la vie et ils ne laissaient derrière que des terres stériles hautement toxiques, vidées de toutes leurs ressources...
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Re: Jésus n'est pas dieu

Message non lu par yacoub »

:super:

Je mets le texte tout entier par précaution au cas où un jour le lien disparait.

Logique rationnelle contre logique chrétienne
Laquelle des deux plane infiniment au-dessus de l'autre ?
Arguments ou pas arguments
Une certaine stratégie de défense des chrétiens évangéliques contre les critiques consiste à dire quelque chose du genre

"La foi n'est pas une affaire d'arguments"

Arrêtons de jouer les idiots, je comprends très bien ce concept de la possiblité d'un au-delà des arguments qui serait supérieur et venant de Dieu. Le problème n'est pas là. Je n'ai absolument aucun a priori contre une telle position, je me suis contenté d'examiner effectivement sur quoi repose le christianisme tel que j'ai pu le vivre en toute sincérité et en observer le comportement chez les autres chrétiens authentiques qui témoignent d'avoir rencontré ce Dieu ou Christ qu'ils disent au-delà des arguments, et j'ai constaté que la réalité de la foi et de la vie chrétienne n'a rien à voir avec ces bons principes.

Monsieur Jourdain avait au moins l'honnêteté d'avouer ne pas savoir qu'il faisait de la prose. Les chrétiens, eux, s'obstinent à refuser de voir qu'ils font des arguments. En réalité, toutes leurs prédications, leurs enseignements d'évangélisation, leurs lignes de défenses sont de type argumentatif, et leur manière de pensée ne relève réellement pas de l'inspiration divine mais est bien de type doctrinale contrairement à ce qu'ils prétendent. Il y a seulement deux différences.
La première, c'est que l'enseignement biblique qu'ils ont reçu leur a désappris le sens des mots "argument" et "doctrine", en sorte de leur inculquer un étiquetage des idées par ces mots totalement arbitraire et sans rapport avec la réalité, afin d'immuniser les positions chrétiennes face aux contre-arguments qu'on peut leur opposer, qu'ainsi ils rejeteront sans examen comme n'étant "que des arguments" pour la seule raison qu'ils n'abondent pas dans leur sens préféré.
La deuxième, c'est que, les arguments chrétiens ont beau avoir la couleur d'arguments, l'odeur d'arguments, la forme d'arguments, la nature d'arguments, une force de conviction qui n'a au fond rien de plus que celle que peuvent avoir de vrais arguments, ce ne sont certes pas des arguments. Ce ne sont que des foutaises qui se font passer pour avoir valeur d'arguments auprès de gens qui ont bien appris la leçon évangélique de ramollir leur cerveau (être "simple d'esprit") pour accepter mollement la doctrine et les arguments qu'on leur servira sans s'occuper de vérifier si ça tient la route ou pas. Un vrai argument serait un argument qui résiste à l'analyse critique, mais ils refusent une telle analyse comme étant "humaine et pas de Dieu". Suffirait-il d'être con pour être de Dieu, parce que la connerie a ceci de commun avec la pensée de Dieu qu'elle échappe à la raison humaine ? C'est tout comme, vue l'attitude de certains. Bien sûr les conneries se contredisent entre elles, mais en étant suffisamment con on peut arriver à ne pas s'en apercevoir et y voir un miracle de la cohérence divine.
Malgré cela, nombre de prédicateurs continuent à se croire plus raisonnables que les raisonneurs de ce siècle, prétendant que le christianisme serait en quelque sorte la seule position sensée et raisonnable face au monde actuel "post-moderniste" qui serait auto-contradictoire et grossièrement ignorant de la logique élémentaire et du fait que la vérité est unique.
Arguments ou faits ?
Enfin, c'est ce que j'en dis. Mais qu'est-ce que les chrétiens disent de cela ? Ayant eu un jour l'occasion de faire part à un étudiant en théologie évangélique qui revenait d'un stage dans une organisation évangélique aux Etats-Unis, du fait que j'avais des arguments réfutant le christianisme: sa défense se réduisit finalement à deux notions. L'une est que c'est son choix de croire que la Bible est la Parole de Dieu. L'autre, est que sa foi ne se base pas sur des arguments mais sur des faits. Quels faits ? Les miracles de Jésus, comme ce qu'on chante au culte du dimanche, adressé à Jésus: "Quand j'ai vu tes mains" (faire des miracles, etc) ? Il faut vraiment manquer de culture générale pour croire que les faits bruts puissent exister d'une manière à ce qu'on puisse se baser dessus. Ils doivent être au moins choisis, vérifiés, évalués, placés dans leur contexte et interprétés. Un fait brut n'a pas de sens. C'est toute la stratégie politique de la désinformation que d'arriver à induire la population sur des voies d'égarement à force de l'informer de faits authentiques bien choisis.

Pour donner un sens à un fait il faut le comprendre, développer des idées autour de lui. Réfuser un tel effort de compréhension et d'interprétation, c'est par excellence la négation de toute connaissance authentique. Ce que font en réalité les chrétiens lorsqu'ils prétendent se baser sur des faits, c'est qu'ils prennent prétexte de certains faits bien choisis et étroitement interprétés pour nier d'autres faits, refusant même de se mettre au courant de leur existence. Par exemple, lorsque face à mes propos, des chrétiens soi-disant authentiques m'assènent que je n'ai pas lu la Bible ou que je ne l'ai pas comprise, ou que je n'y ai pas fait confiance, que je n'ai pas vraiment été des leurs ou que je n'ai jamais été un chrétien authentique ayant donné sa vie à Dieu, ils nient les faits.

Certes il peut être intéressant d'apporter un témoignage sans chercher automatiquement à argumenter, mais alors il faut être conscient de ce que signifie cette démarche. En fait, le travail de discussion en général, dont le travail rationnel lui-même, consiste autant à définir et préciser les détails de ce qu'on veut dire, qu'à justifier les affirmations: avant de chercher à démontrer ou réfuter quelque chose, il est bien nécessaire de préciser ce qu'il y aurait à démontrer ! De fait, je m'intéresse à comprendre et considérer pleinement des témoignages quels qu'ils soient. Le problème est qu'un témoignage chrétien est souvent rempli d'affirmations et d'interprétations ajoutés par la foi, notamment que le Fils de Dieu dirige sa vie, ainsi que la véracité du message évangelique. Mais, en toute sincérité et avec tout mon respect envers leur sincérité, dois-je pour autant accepter les interprétations données comme véridiques ? Dois-je en effet rappeler que, par définition, tout propos ayant vocation à convaincre de quelque chose tout esprit honnête, a vocation à constituer un argument en faveur de cette chose. Si donc quelqu'un estime qu'au vu de son témoignage je devrais par motif d'honnêteté être convaincu et tenir ses interprétations et affirmations annexes pour véridiques, alors cela suppose que ce témoignage constituerait un argument en faveur de ces affirmations, de sorte qu'on est bien ici pour argumenter. Dans le cas contraire, il se peut aussi que les interprétations de ce témoignage nécessitent d'autres arguments par ailleurs pour pouvoir être dignement tenues pour valides. Dans ce cas, j'attends ces arguments. Sinon, je n'ai donc honnêtement aucun motif de tenir les affirmations de ce témoignage pour valide. Non bien sur que je nie la vie de quelqu'un votre vie, mais sans mettre en doute sa sincérité, je l'interprète autrement. Or, j'ai bien des raisons de le faire, que je m'applique à expliquer dans les différents textes ici.
La simplicité évangélique
L'Evangile semble simple et se prétend simple mais c'est un piège. L'accepter est facile (relativement), comme de croire des sornettes pour la seule raison qu'on les entend raconter et qu'il serait "compliqué" de penser autre chose que ce qu'on entend tel quel. Mais il suffirait d'inventer une autre sornette pour en faire autant avec une autre religion qui soit aussi d'une "simplicité évangélique". Il est difficile d'y voir clair dans des réflexions intellectuelles, mais c'est lié au fait que la plupart des hommes ont naturellement des difficultés à réfléchir, et encore plus à réfléchir correctement et à distinguer ce qui est correct de ce qui ne l'est pas. Mais quand on a la chance d'être une exception, pouvant résoudre des vrais problèmes complexes comme il y en a dans la réalité avec une facilité... évangélique, et distinguer (dans certains domaines) ce qui est réellement simple ou compliqué en soi, et non pas qui en ait seulement l'air suivant les illusions engendrées par les préjugés, formes du cerveau, modes de pensée et éducations des uns et des autres, alors cette distinction que les autres font entre le simple et le compliqué paraît complètement ridicule. Chacun voit sa propre pensée plus facile ou simple que celle des autres, et peut ainsi facilement disqualifier la pensée de l'autre comme étant "compliquée" ou n'étant "qu'une théorie".
Unicité de la vérité en logique chrétienne.
Mais dressons la comparaison en détails.

Comment est la vérité en mathématique ? Je développerai un peu cette question en m'appuyant entre autres sur quelques connaissances de logique mathématique de haut niveau que j'ai eu la chance d'acquérir (même s'il n'est pas nécessaire d'aller bien loin en ce sens pour les question ici).

D'abord pour faire simple: y a-t-il une seule vérité au sujet de la question: est-ce que x<y ?
Bien sûr que non, ça dépend de x et de y, ou si on veut en faire une question absolue, il faut préciser si on demande l'existence d'un x et d'un y qui conviennent, ou si la question est de savoir si c'est toujours vrai quelles que soient les valeurs de x et/ou y.
Ceci s'écarte clairement de la logique chrétienne, dans laquelle un énoncé observé comme vrai sur un cas particulier peut alors être automatiquement tenu pour universellement vrai en général.

Par exemple, en logique chrétienne il suffit de trouver une parole bonne et respectable dans la Bible, comme par exemple les 10 commandements ou autre chose (chacun peut mettre ici son verset favori), pour en conclure que tout ce qui est écrit dans la Bible est nécessairement également bon. C'est même bien plus que ça : la constatation qu'un certain passage est bon (par exemple que les 10 commandements sont honorables et doivent être respectés) se justifie hautement par la simple évidence humaine indiscutable et indéniable pour des raisons très humainement accessibles à tous, sans chercher d'ailleurs à questionner les éventuels détails ou exceptions; pour en déduire la nécessité d'y voir une origine d'inspiration divine et transcendante de ce passage, en niant que quiconque ne se baserait pas sur l'autorité biblique puisse jamais accéder à l'acceptation d'un propos à la hauteur spirituelle du contenu de ce passage (voir le culte de Marcel).

Par exemple encore, le chrétien évangélique a souvent l'art de centrer toute sa conception de la vie et de l'oeuvre de Dieu sur son témoignage personnel, semblant indiquer que Dieu a agi en lui l'a béni ou soutenu de telle manière. Ainsi considère-t-il cette circonstance de l'aide de Dieu envers soi comme étant une vérité absolue et universelle prouvant la véracité et l'inspiration divine de toute la Bible, sans avoir pour cela à prendre la peine de vérifier davantage son application à d'autres situations ni à d'autres personnes. Par conséquent, au nom de cette interprétation, il est en droit de proclamer ce témoignage personnel comme absolument supérieur en autenticité, en intérêt et en poids de vérités universelles, à tout autre témoignage non-chrétien ou du moins ne comportant pas les mêmes "marques de la grâce divine", autres témoignages ainsi considérés comme universellement faux et invalides, marques de la folie et de l'égarement des personnes qui osent en parler. Le "chrétien authentique" est donc autorisé au nom de son témoignage personnel, à juger (sans que la question mérite quelque autre examen) comme rebelles à Dieu, rétrogrades et malhonnêtes ou sinon du moins certainement fourvoyés par leur propre faute dans leurs pensées humaines et pécheresses, quiconque aurait l'audace de mettre en avant sa vie d'une manière semblant contredire ces vérités universelles de l'Evangile, du devoir de croire et de la fidélité de Dieu que ce "chrétien authentique" a eu ainsi la chance d'adopter et de ressentir.

Ensuite, en logique rationnelle, on peut certes considérer que la vérité au sujet d'une question donnée serait clairement définie sans dépendre de variables extérieures,. Une telle question appelle à une "vraie" réponse en oui on non, qui peut bien être tenue pour unique en principe. Cependant, il existera toujours une infinité de telles questions clairement définies qu'on peut se poser. Or, le théorème d'incomplétude de Gödel a établi que même une révélation divine de la vérité sur un ensemble fini de questions quel qu'il soit, ne suffira jamais à déterminer la vérité sur toutes les autres questions clairement définies qu'on peut se poser. Donc celui qui a un ensemble donné fixé d'avance de révélations (par exemple la Bible), risquera toujours d'être confronté à des situations sur lesquelles les révélations passées ne pourront pas trancher. Notamment, il y a des questions dont on ne peut pas savoir en temps limité si elles sont décidables ou pas, et le temps nécessaire pour le découvrir peut être gigantesque même pour une question apparemment simple (exemple: le théorème de Fermat), à moins qu'on n'y soit pas arrivé parce que la question est indécidable. Il y aura toujours de telles questions indécidables, ce qui signifie pour chacune qu'il existe des univers mathématiques dans lesquels elles sont vraies et d'autres où elles sont fausses (comme s'il s'agissait d'une variable cachée: la vérité dépend de l'univers dans lequel on se place), et par nos moyens limités il peut être impossible de savoir dans quelle catégorie devrait se trouver le "vrai" univers, celui qui serait "plus vrai que les autres".

En logique chrétienne par contre, la vérité est unique. Cela signifie qu'il existe une unique question qui soit la seule vraie question authentique à l'exclusion de toutes les autres, et qui est celle de la validité de l'énoncé: "La Bible est la Parole de Dieu " (que nous écrirons BD en abrégé), et une seule authentique réponse, affirmative comme vous l'aurez deviné.

De plus, certains chrétiens considèrent que le fait de détenir l'unique vraie question et son unique vraie réponse est aussi l'unique condition nécessaire et suffisante à la vie éternelle avec Dieu, ce qui est pour eux tellement évident qu'il n'y a aucune raison d'essayer de le justifier. Ils réduisent ainsi le salut à une question doctrinale en fait, tout en prétendant le contraire.
Tout est acte de foi; l'incertitude est impensable
Revenons à la logique élémentaire. Comment les chrétiens la voient-ils ? Pour eux, tout énoncé écrit est un acte de foi envers cet énoncé. D'un point de vue chrétien, si quelqu'un écrit "A implique B", comme cela commence par l'énoncé de A, cela signfie que d'abord il a commis un acte de foi envers l'énoncé A, et qu'ensuite il en déduit B sur la base de cet énoncé.

Pour un chrétien, le seul énoncé digne d'un acte de foi est l'énoncé BD ("la Bible est la parole de Dieu"). Par conséquent, les seules implications admises par leur foi sont celles où A=BD, autrement dit les énoncés BD=> B: "Puisque la Bible est la parole de Dieu, alors...", auxquelles on peut éventuellement ajouter celles où B=BD autrement dit A =>BD quel que soit A (ben oui, du moment que BD est vrai alors même la logique rationnelle est d'accord que A=>BD quel que soit A; de nombreuses illustrations de cette propriété se trouvent dans leur argumentaire analysé ici), qui leur servent occasionnellement à justifier leur foi auprès des non-croyants. Telles sont donc les saintes implications du point de vue chrétien: tout énoncé d'implication contenant l'énoncé BD témoigne d'un acte de foi de son auteur envers BD, et par conséquent du salut de son âme. La panacée de toutes les implications étant d'ailleurs l'énoncé (BD => BD) qui en dépit de son absence totale d'intérêt en logique rationnelle du fait de son caractère tautologique, est vénérée par nombre de chrétiens comme étant un des plus grands de tous les énoncés.
Toute autre implication A=>B, témoignant d'un acte de foi uniquement envers quelque chose d'hérétique, est bannie de la logique chrétienne comme étant une implication invalide, batie sur le sable de la pensée humaine, et témoignant que son auteur a vendu son âme au diable pour l'écrire.

Par conséquent, alors qu'en logique rationnelle toute implication A=> B peut de manière équivalente s'écrire sous sa forme contraposée (non B => non A), cela n'est généralement pas possible en logique chrétienne sans vendre son âme au diable, sauf dans quelques rares et dangereuses figures de style qu'a pu employer l'apôtre Paul ("Si Christ n'est pas ressuscité alors notre foi est vaine, et nous mourrons dans nos péchés"), car cela nécessiterait un acte de foi envers (non B) qui n'est pas un énoncé biblique.

Déjà, si on se fie aux critères ci-dessus, il en reste que les deux seules implications éventuellement valides et contraposables en logique chrétienne sont, d'une part (non BD => BD) qui n'est guère qu'une figure de style pouvant au plus faire sourire un chrétien deux secondes dans sa vie, d'autre part l'implication (BD => non BD) qui par contre le mettra très en colère et, faisant ainsi exception aux règles ci-dessus, témoignera à ses yeux du fait qu'on a dû pour l'écrire vendre son âme au diable au moins deux ou trois fois (et donc, comme je viens d'écrire cet énoncé, c'est bien que j'ai vendu mon âme au diable au moins 2 ou 3 fois).
Pas de théorème en logique chrétienne
Si jamais quelqu'un parvient à démonter un théorème par une argumentation parfaitement rigoureuse en logique rationnelle, sans aucune faille ni hypothèse hasardeuse à la base, le chrétien voyant l'énoncé du théorème et sa démonstration les regarde comme un acte de foi arbitraire envers le pouvoir démonstratif de la raison humaine. En effet, il considère cette raison humaine comme inférieure et faillible, en tout cas misérable devant la sagesse divine qu'il croit détenir, et ce quelle que soit la solidité et la rigueur éventuellement absolue de la démonstration. Ainsi, le chrétien n'accorde aucune attention aux théorèmes et les rejette comme faux et pure expression de l'orgueil de l'homme se croyant à la mesure de la vérité, à l'image de cet acte de foi envers la raison humaine sur lequel repose l'oeuvre de raisonnement accomplie. Ce n'est en effet qu'à condition de compromettre son esprit en choisissant arbitrairement de donner foi à la raison humaine (à l'encontre de l'enseignement spirituel enseigné par la Bible) qu'on peut accorder une validité à un énoncé rigoureusement démontré, dont la validité repose sur un raisonnement humain. Toute prétention à établir des théorèmes est donc une hérésie et une compromission loin de la sagesse divine, que la logique chrétienne réprouve et rejette de son univers.

Résultat: puisque rien de digne ne peut s'ajouter à la révélation divine, la pensée chrétienne stagne depuis 2000 ans.
Invoquer les limites de la raison
Les uns invoquent le théorème d'incomplétude de Gödel, les autres s'en remettent à Kant et à sa critique de la raison pure, au nom de quoi il serait établi que la raison a des limites. Problème : ai-je jamais dit le contraire ? Faut-il le rappeler : je sais parfaitement que la raison ne peut pas tout faire ou tout élucider, et en tout cas pas tout d'un coup. Or, la question fondamentale n'est pas là, mais elle est de discuter de l'éventuelle existence effective d'un autre moyen de connaissance que la raison, qui permette d'aller significativement plus loin que celle-ci dans le sens de ce qui intéresse notre mission à accomplir sur cette terre. Et le fait qu'une méthode donnée ait ses limites, ne suffit nullement à garantir que telle autre méthode candidate sera nécessairement meilleure. Ce sont en effet des thèses qui n'ont a priori rien à voir.
Et tout ce que je prétends, c'est de disposer des preuves expérimentales du fait qu'il ne s'est trouvé jusqu'ici sur cette terre personne qui ait pu acquérir de telles connaissances (i.e. des informations utiles et/ou exprimables sur la réalité qui nous concerne), par exemple issues de la volonté de Dieu, dépassant notablement ce dont la raison est capable, alors même que de telles informations étaient possibles (précisément au sens de: il existe pourtant réellement un texte, dans l'ensemble bien défini mathématiquement des quelques 10 puissance 10 000 textes possibles de moins de x pages, tel que s'il nous avait été légué par Dieu, ça aurait positivement changé la face du monde, et donc, un Dieu omniscient capable de nous révéler un texte aurait dû nous en révéler un ayant au moins aussi efficace, ce qu'il n'a pas fait).

Et puis, ce n'est pas non plus une question d'accessibilité ou d'inaccessibilité absolue, mais aussi de rythme de découverte: y a-t-il un moyen autre que rationnel d'arriver à certaines découvertes essentielles bien plus rapidement que la durée nécessaire pour les atteindre par la raison ?

Et encore: avant de se plaindre d'hypothétiques limites de la raison, peut-on déjà raisonnablement prétendre avoir une idée de ce dont elle est capable ? Plus loin c'est gentil, mais plus loin que quelles limites, et pour quoi faire ? Qu'est-ce qui dit que ce qui nous intéresse en l'occurence serait forcément au-delà des limites de la raison, plutôt qu'à sa portée ? Qui peut prétendre savoir l'exhaustivité de ce qui est à la portée de la raison ? Celui qui dédaigne son usage, ou bien celui qui travaille avec ?

Mais surtout, qu'est-ce que les gens qui invoquent les limites de la raison (qui certes existent) prétendent justifier par là, et en quoi cela aurait-il un rapport ? Bon allez, je me lance dans une tentative d'exégèse de leur doctrine sous-jacente, qu'ils espèrent trivialement justifier par leur invocation de l'existence de limites de la raison.

1) L'intelligence est une connerie
2) La conclusion d'une preuve absolument rigoureuse ne vaut rien dès qu'elle contredit les révélations de la foi, et surtout il est vain de chercher à comprendre où pourrait se trouver l'erreur.
3) La divine connerie de la foi rend infiniment plus savant que les plus grands savants

Si jamais quelqu'un peut expliquer précisément en quoi l'énoncé "il existe des limites à la raison" impliquerait logiquement les énoncés ci-dessus, qu'il m'envoie sa démonstration. Et si quelqu'un prétend faire quelque chose d'autre plus raisonnable qui puisse avoir un quelconque intérêt pratique, qui puisse être conséquence de l'énoncé "il existe des limites à la raison", qu'il me le signale, mais s'il vous plaît, de manière PRÉCISE.

Jusqu'ici, tout ce que j'en ai vu, est seulement comparable au cas de gens qui dédaigneraient l'usage des moyens de transport au seul nom du fait que ceux-ci ne pourront jamais dépasser la vitesse de la lumière. Sans doute ont-ils la foi de pouvoir dépasser la vitesse de la lumière en allant à pieds, ne pouvant être contredits en cela par un quelconque compteur de vitesse à leurs jambes.
Telle est en effet la tournure de la pseudo-discussion par ici, où les chrétiens se contenent d'invoquer les limites de la raison en théorie pour refuser son usage en pratique. Mais il y a encore un problème: ils invoquent par ailleurs l'histoire de Jésus avec tous ses miracles comme la résurrection, comme un fait historique, au nom de l'idée que, si c'est écrit dans les évangiles, ça doit être vrai. Problème: comment peuvent-ils à la fois s'appuyer sur l'autorité et poursuivre la démarche des rédacteurs des évangiles (dont on ignore complètement l'identité et même le siècle, les modifications des textes ayant pu se poursuivre plusieurs siècles) pour justifier leur dédain de la raison et le caractère incurablement faillible de celle-ci, et supposer que ces mêmes rédacteurs auraient absolument pris soin de mener à bien l'oeuvre de rationalité infaillible nécessaire pour garantir la véracité factuelle des histoires ainsi rapportées ?
Voir autres remarques sur les limites de la raison
La vérité se choisit
Il y a aussi un grand nombre de fois où quand je demande à un chrétien pourquoi il croit que la Bible est la Parole de Dieu, il répond que c'est une affaire de choix, il a simplement choisi de croire cela. Oui mais il en va de même pour les musulmans avec le Coran; quelle différence donc ? Le fait que l'adhésion à une doctrine se fasse par un choix arbitraire a priori est-il donc une meilleure garantie de vérité que dans le cas où on y vient par une constatation ayant l'humilité d'attendre de voir quelle voie s'impose a posteriori comme vraie, comme ce qui devrait caractériser toute procédure d'arbitrage qui se respecte ? En résumé, "J'ai raison contre toi parce que j'ai choisi de croire ainsi" est-il un argument valable ?
Puisque tout est acte de foi c'est-à-dire choix de croire, et que, comme on a vu le chrétien croit en la Bible par choix et non à cause de preuve, en général tout l'édifice de la doctrine chrétienne repose sur ce fondement d'acte de foi, par lequel la vérité ne s'impose pas mais se choisit librement sans s'appuyer sur la moindre preuve. Ainsi le chrétien a choisi de croire que Dieu le guide, qu'Il répond aux prières ou n'y répond pas. Il choisit de croire que Jésus a changé sa vie pour le mieux, en choisissant de croire qu'on ne peut pas aussi bien changer sa vie par un autre moyen, et en choisissant de croire qu'il se comporte désormais mieux en luttant efficacement contre le "péche" dont il choisit de croire qu'il ne se trompe pas trop sur la question de ce dont il s'agit (or, si certes pour certains aspects il peut y avoir amélioration, il choisit de croire que les non-chrétiens n'ont pas de motif valable à remarquer le sectarisme, l'aveuglement et la malhonneteté intellectuelle qu'ils ont acquis en échange de quelques défauts passes). Il a choisi de croire que le sens de la vie et l'Evangile sont des choses simples en se moquant pas mal de savoir ce que simplicité peut signifier, ceci afin de considérer les gens manquant d'intelligence comme très compétents en matière de compréhension et de vérifications des vérités évangéliques. Il a choisi de croire que les questions religieuses ou autres questions essentielles de la vie ne peuvent pas être correctement appréhendées par la raison, en se moquant pas mal de savoir ce que la raison peut appréhender. Il considère toute affirmation biblique comme non prouvable (en se moquant pas mal de savoir si elle est réfutable et réfutée) mais sa validité repose sur le choix de croire la Bible. Par exemple le chrétien choisit de croire l'affirmation biblique suivant laquelle la Parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants;. Il choisit de croire que toute personne étudiant la Bible suffisamment sérieusement, honnetement et en profondeur, en vient nécessairement à etre convaincu que c'est la Parole de Dieu. Il se permet meme d'en colporter la proclamation sans prendre la peine de la vérifier parce que d'après sa conception du monde il devrait nécessairement en etre ainsi, alors meme que les faits montrent exactement le contraire. Il choisit de se croire miséricordieux parce qu'il aime donner son obole aux pauvres et aux handicapés (et la faire donner par les contribuables par son bulletin de vote) et se réciter l'histoire que Jésus aurait raconté sur l'homme riche et le pauvre Lazare après leur mort, mais n'aura aucune pensée ni sentiment vrai, honnête et responsable face à l'atroce souffrance morale des pauvres célibataires qui, trop malchanceux, sérieux, timides ou influencés par la pseudo-morale ambiante (pleine de tabous qui à force de qualifier l'amour comme immoral aboutit à réserver l'amour aux immoraux) pour se saisir de l'amour dont ils ont besoin avant que celui-ci soit capturé par d'autres plus fonceurs, en sont réduits à traverser la vie comme un enfer sentimental, voire à se suicider sous les moqueries de ce monde cruel qui non seulement est son véritable meurtrier hypocrite qui le massacre à petit feu, mais de plus vient se moquer de la souffrance de ceux qu'il fait souffrir au prétexte qu'en théorie la vie doit forcément valoir la peine d'être vécue et que donc ceux qui pensent le contraire ne peuvent être que des imbéciles. Il choisit de croire que tous les arguments sceptiques ont été réfutés à plate couture par les théologiens, et n'a nul besoin pour cela de se rapporter à la moindre référence. Il choisit de croire qu'il juge les arbres à leurs fruits, en l'occurence il choisit de croire qu'il juge la religion chrétienne à ses fruits, sinon il ne s'en serait pas aperçu lui-même. Les autres refusant de croire la Bible refusent donc de juger les choses à leur fruit, donc ils ne le font pas. De plus, c'est par la foi que le chrétien juge bonne la doctrine chrétienne, et par rien d'autre, donc en particulier pas par une preuve comme la présence de bons fruits. Or, la question de la validité du christianisme ne saurait se déterminer par deux méthodes indépendantes sans risque de contradiction, il faut donc en choisir une. Le chrétien choisit donc l'acte de foi. Mais comme il a aussi choisi de croire qu'il juge le christianisme à ses oeuvres, autrement dit qu'il tient les affirmations "le christianisme est bon'" et "je constate qu'il porte de bons fruits" comme équivalentes par définition, et qu'on a vu que la première est déjà déterminée par la foi, c'est donc que la deuxième est déterminée par la première. C'est évident: de toute manière il n'y a pas d'autre manière chrétienne de déterminer si le christianisme (ou une religion en général ou n'importe quoi d'autre) porte de bons fruits, car si l'homme avait le devoir devant Dieu d'employer une autre méthode de détermination de cette question, Dieu n'aurait pas manqué de nous l'enseigner dans sa Parole, ce qui n'est manifestement pas le cas.
Sans oublier bien sur que le chrétien doit aussi choisir de croire suivant la Bible qu'il est face au monde non chrétien une lumière qui luit dans les ténèbres, et que donc en particulier sa méthode d'évaluation d'une religion et de ses fruits est supérieure à toutes les autres.
Par exemple le chrétien choisit de croire avec l'apôtre Paul que " L'Esprit Lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu": quand Paul affirme cela aux chrétiens, il semble les inviter à croire que l'Esprit rend aussi témoignage à leur esprit, quelle que soit leur expérience. Mais si cela peut être ou non le cas, et que ce message peut parvenir à des gens dont ce n'est pas le cas, pourquoi n'a-t-il pas prévu ce cas, en présentant cette idée sous une forme interrogative et non affirmative ? Et d'après quoi peut-on alors faire la différence ?
Quand je discute avec un chrétien, il ne repond pas à ce que je dis, mais à ce qu'il choisit de croire que je dis. Il ne s'adresse pas à moi, mais à qui il choisit de croire que je suis. Il croit justifier ses tares en les projetant sur autrui, choisissant de croire l'humain incapable de fonder ses opinions sur de meilleures raisons que le choix arbitraire. Le catholique choisit de croire la foi compatible avec la raison, sans faire le travail nécessaire pour se rendre compte des absurdités de sa doctrine que la raison peut mettre en évidence.

Et bien entendu, les chrétiens ont choisi de croire qu'ils sont collectivement les seuls au monde à ne pas avoir commis cette stupidité de choisir leurs croyances à leur guise, mais qu'ils se sont en cela scrupuleusement contentés d'obéir à la volonté de Dieu, qui leur aurait personnellement dicté ces croyances à adopter. C'est ainsi que les chrétiens ont l'unique privilège de n'être nullement responsables de leur croyances, puisque c'est Dieu lui-même qui en est l'auteur et qui les a choisis pour eux. C'est ainsi qu'il leur a été nécessaire d'adopter ces croyances pour l'amour de Dieu, que ces croyances sont la pure expression de leur sainteté, et qu'ils n'ont nullement à défendre leurs croyances ou à être tenus responsables des absurdité qui en résultent, car leur justification relève de la sagesse de Dieu qui dépasse tout intelligence: qui sommes-nous pour critiquer la pensée de Dieu ?
Dieu ne se prouve pas, il se rencontre
Preuve classique d'une rencontre avec Dieu:

1) Je proclame que 2+2=5, ou encore que @#$%^&
2) Il n'y a pas d'explication rationnelle à 1)
3) Or ce qui n'a pas d'explication rationnelle est un miracle, un mystère insondable de Dieu
4) Donc 1) montre que Dieu s'est révélé à moi.
5) Quiconque conteste cette révélation signifie par là que Dieu ne s'est pas révélé à lui comme il s'est révélé à moi
6) Donc il ne connaît pas Dieu
7) Donc il n'a aucune qualification pour juger la valeur d'une révélation de Dieu telle que 1).
8) Donc son avis sur 1) n'est pas valable. Donc j'ai raison: c'était bien une révélation de Dieu.

Mais si, mais si, c'est bien en substance un argument chrétien: du genre "Tu dis que tu n'es plus chrétien, mais l'as-tu jamais vraiment été: avais-tu vraiment reçu Jésus dans ton coeur ?". Cette question rhétorique sert au chrétien à avoir raison dans tous les cas: qui conclut que Jésus n'existe pas ne peut pas prétendre avoir reçu dans son coeur ce Jésus qui n'existe pas, et est donc discrédité par rapport à qui prétend l'avoir reçu.

Dire que Jésus ne se prouve pas, il se rencontre, et appeler à le rencontrer au lieu de discuter de son existence, c'est bien gentil, mais à part que je dispose de larges preuves de son inexistence, je remarque que c'est les chrétiens eux-mêmes qui auraient à prendre de la graine d'une telle leçon, sur le point suivant: quand je tente d'amener la discussion sur les preuves que je connais de la fausseté du christianisme, ils répondent à côté, comme s'il s'agissait d'une discussion sur la croyance aveugle en l'existence abstraite de preuves inconnues dont il ne saurait être question de regarder le contenu.

A ce sujet, leur ultime argument est celui-ci:
"S'il y avait des preuves de la faussete du christianisme, ça se saurait"
Mais puisque justement leur réflexe quand on veut leur présenter des preuves, c'est de refuser de croire à leur existence au prétexte que d'autres chrétiens n'y croient pas non plus (tout en accusant leurs interlocuteurs de croire arbitrairement et aveuglément en une fausse existence de preuves inconnues ou de s'autopersuader), afin de ne pas se donner la peine d'examiner celles qu'on veut leur présenter ? Ainsi par exemple dans le forum "Dieu existe-t-il", les chrétiens ne cherchent pas à comprendre les positions d'autrui, mais leur foi en l'inexistence de toute logique autre que chrétienne d'une part, ou bassement matérialiste athée d'autre part, est si forte, que même quand ils en rencontrent une ils n'y croient pas mais l'insultent aveuglément comme assimilée à des positions matérialistes athées, sans tenir aucun compte de ce que la position de l'autre est réellement.
Ainsi quand on essaie de les inciter à l'usage de la raison et de la logique, et discuter des contradictions de la pensée chrétienne, ils se contentent d'invoquer l'existence de philosophes et scientifiques chrétiens (souvent sans même en citer nommément), sous-entendant que la seule (supposée) existence de personnes rationnelles chrétiennes suffirait à prouver la cohérence rationnelle du christianisme, et qu'une discussion sur les incohérences de la pensée chrétienne signifierait une négation de l'existence de ces derniers. L'intéressant au contraire, n'est pas de discuter des hypothèses abstraites d'existence ou de non-existence de réfutations ou absurdités du christianisme, ni l'existence ou la non-existence de penseurs chrétiens, mais d'inviter les penseurs chrétiens à rencontrer effectivement les réfutations logiques du christianisme pour voir ce qu'ils ont à y répondre. Cela, les chrétiens ne semblent pas vouloir le comprendre. Ainsi refusent-ils de prendre la peine de faire rencontrer effectivement les penseurs chrétiens avec les contradictions du christianisme, au prétexte que la pensée chrétienne doit bien avoir réponse à tout sinon ça se saurait. D'ailleurs, je ne vois aucun intérêt à discuter abstraitement de l'existence ou de l'inexistence de scientifiques chrétiens : je n'ai de fait aucun problème à croire à leur existence puisque j'en ai été un moi-même !! Ainsi je verrais intéressant de les rencontrer pour savoir ce qu'ils auraient effectivement à répondre à telles et telles critiques (dont je n'avais aucune idée quand j'étais chrétien), ce dont je n'ai encore jamais eu la chance. En effet, le risque est naturel de se tromper en pensant ne pas voir de contradiction et pouvoir répondre à tout, tant qu'on n'a pas eu l'occasion ou qu'on n'a pas pris la peine d'examiner effectivement un argument qu'on n'a jamais rencontré.
L'ouverture au dialogue
Plusieurs chrétiens m'ont reproché de n'être "pas ouvert au dialogue", ce qui donc de leur point de vue empêcherait la discussion. Exemple de formulation: "Comme tu es convaincu d'avoir raison, faut-il discuter ?" Ainsi, la seule manière d'être ouvert au dialogue de leur point de vue, c'est d'être disposé à venir gober leur prose évangélique sans discuter. Surtout il ne faut pas leur demander la réciproque.
Sont-ils donc les seuls à avoir le droit d'être convaincus d'avoir raison sans être accusables d'être fermés d'esprit ? Dans l'argument précédent, ils prétendaient que si des preuves suffisantes de la fausseté du christianisme existaient, les chrétiens le sauraient. Après avoir été chrétien, j'ai finalement découvert des preuves suffisantes de la fausseté du christianisme de sorte que je ne suis plus chrétien. Résultat, les autres chrétiens s'en foutent, ils m'envoient au diable pour avoir abandonné Dieu et m'estiment indigne d'être écouté. Ainsi font-ils à chaque fois dans une telle situation, lorsque quelqu'un découvre des preuves que le christianisme est faux. En effet, quelqu'un qui connait une preuve décisive de la fausseté du christianisme n'est-il pas du coup nécessairement convaincu d'avoir raison (sans que ce soit "de sa faute") ? Ce n'est nullement moi qui suis fermé en réalité, c'est uniquement l'expérience et l'évidence qui s'impose à moi, qui est trop claire pour que les affirmations contraires soient envisageables.
Mais si des gens disposent d'évidences contraires à celles dont je dispose, ou qui apportent précisément réponse et explication de pourquoi mes évidences sont trompeuses, alors bienvenu à lui ! j'en serais très curieux. Ainsi les chrétiens voient refus de dialogue là où il y a preuve qu'ils ont tort. C'est le contraire: le vrai dialogue consiste à donner de vrais arguments. Je donne de vrais arguments, donc je dialogue. Ceux qui n'ont à proposer que de vagues impressions en faveur de leurs vagues positions, n'ont de ce fait rien à dire, alors pourquoi prennent-il la parole, condamnant la discussion à tourner en rond dans un non-dialogue qui se borne à de petites remarques stériles, incapables de mener à la moindre conclusion ? Il ne tient qu'à ceux qui ont des convictions précises de dialoguer en donnant de vraies contre-preuves. Or j'ai l'habitude que ce n'est pas le cas: les chrétiens ne savent servir que pipo et refus de voir les arguments. Mais si vous avez de vrais arguments allez-y j'en serais ravi. Enfin le dialogue serait possible !
C'est ça que je reproche aux chrétiens: leur refus de dialoguer sous la forme du vrai dialogue digne de ce nom, à savoir de vraies preuves qu'ils ont raison et de vrais contre-arguments à mes preuves. En général ils ne comprennent même pas ça, ils n'ont donc aucun sens du dialogue. Puis dans les rares cas où ils tentent de le faire, cela n'a jamais vraiment répondu à mes arguments de façon satisfaisante. Est-ce moi ou eux qui suis fou à ne pas savoir ce qu'est un argument ? Dans les rarissimes cas où des chrétiens ont prétendu me répondre, je n'ai rien vu de concret et d'effectif comme argument, seulement du pipo, un réflexe à interpréter systématiquement de travers tout ce que je dis d'une manière formatée à leur schéma de pensée et qui n'a rien à voir avec ce que je voulais dire, et une impossibilité d'aligner le moindre argument.
Ainsi cela me condamne à m'en tenir à ce que je sais. Et en plus ils me le reprochent, et en font un alibi pour ne pas me révéler leurs évidences ! Ainsi, face aux gens qui ont des preuves de la fausseté du christianisme, les chrétiens ne sont pas du tout intéressés d'en savoir plus, ils rejettent au contraire ce genre d'interlocuteur comme étant mauvais et fermé au dialogue. Comment dans ces conditions peuvent-ils prétendre que s'il y avait une preuve de la fausseté du christianisme ça se saurait ? Qui le saurait, s'ils comptent tous sur leurs autres frères chrétiens pour le faire pour eux, tout en étant décidés à envoyer au diable ceux d'entre eux qui l'oseraient ?

Il faudrait en effet ne pas se méprendre sur le véritable sens du dialogue et des objectifs qu'il y aurait à poursuivre :
Rappelons-nous qu'une discussion entre 2 individus, n'est qu'une discussion entre un nombre d'individus insignifiants en comparaison des milliards d'humains qui s'intéressent à ces questions religieuses, et tous ceux qui ne sont pas encore nés. Ainsi, la question des chances de convaincre l'autre, n'est qu'une question futile, car l'autre n'est qu'un parmi beaucoup d'autres.
L'erreur, qui détruit toute possibilité de véritable dialogue, consiste à concevoir le dialogue comme une relation entre 2 individus. Comme si la vérité sur des questions de thème religieux, dont par nature le contenu prétend à être universellement valide, était une question de subjectivité individuelle. Comme si le destin intellectuel de l'interlocuteur était plus important que l'établissement de la vérité d'une part, le sort des millions de gens pouvant ultérieurement profiter du texte du dialogue pour enrichir leurs propres réflexions d'autre part.
Non, le vrai sens du dialogue, c'est celui de s'adresser non à une personne, mais à des arguments et à la vérité abstraite. L'objet du dialogue, c'est de préciser et d'éclairer les arguments. De chercher à découvrir comment, précisément, l'autre pense, en rapport avec l'objectif de vérité. Ceci afin de localiser précisément la racine de ses erreurs. Après cela, il peut y avoir éventuellement des chances qu'une fois mises au jour les racines de ses erreurs, l'autre les reconnaisse comme telles ou se remette en question. Ou pas. Dans ce dernier cas, le fait que les racines de ses erreurs aient été mises à jour et qu'il ne les ait malgré cela pas reconnues, devient un fait qu'il est possible d'établir et de publier noir sur blanc, afin d'éclairer la réflexion d'autres personnes. Dans tous les cas, quelque chose aura été découvert, et c'est cela qui est intéressant.
Extrait de logique catholique
Un jour (lors d'une rencontre de Taizé), j'ai discuté avec un étudiant séminariste. L'une des discussions eut la teneur suivante (après un moment religieux où il eut fait la lecture de 1 Jean 5 11-13):

moi : Crois-tu qu'il est nécessaire d'avoir le Fils de Dieu pour avoir la vie étérnelle ?

lui : Oui

moi : Plus précisément, quelqu'un qui rejette l'Evangile peut-il avoir la vie éternelle ?

lui : Non, il ne peut pas l'avoir.

moi : Et moi qui en l'occurence rejette l'Evangile, puis-je avoir malgré cela la vie éternelle ?

lui : Ce n'est pas à moi de le dire, mais à toi. Je ne peux pas savoir où tu te situes par rapport à cela. Toi donc, qu'en dis-tu ? As-tu la vie éternelle ?

moi : Oui, je crois que j'ai la vie éternelle

lui : A cela je réponds: c'est bien.

moi: (je discute de la nécessité générale de veiller à ne pas se contredire... j'essaie de lui expliquer la contradiction que je vois dans ses positions ci-dessus) Reconnais-tu qu'il y a comme une contradiction dans tes propos ci-dessus ? Peux-tu les préciser, pour montrer en quoi cela ne se contredirait pas ?

lui : Je suis d'accord qu'on ne doit pas se contredire. Il n'y a pas de contradiction dans ce que j'ai expliqué.

(Ainsi la discussion a un peu continué, j'ai essayé de lui faire préciser sa pensée, mais il n'y eut rien à faire: il n'en vint jamais à dire autre chose ou entrer dans quelque précision supplémentaire, que la confirmation à l'identique de tous ses propos ci-dessus.)

Pour conclure sur la santé mentale des chrétiens
On peut encore se référer à la proclamation de Paul dans la première épître aux Corinthiens, suivant laquelle la prédication de la croix est une folie pour ceux que les chrétiens ne seraient nullement gênés de voir périr éternellement en enfer pour le seul motif qu'ils ont une opinion différente de la leur (car s'ils en étaient gênés, l'Evangile ne serait pas pour eux une bonne nouvelle bien sûr). Quand j'étais chrétien, je m'appliquais à faire confiance à cette proclamation, sans être d'accord bien sûr puisque le christianisme me paraissait une chose tout-à-fait raisonnable. Maintenant que je ne le suis plus, je ne lui fais bien sûr plus confiance mais je suis enfin d'accord. Le christianisme c'est manifestement de la foutaise quand on fait attention à ne pas se jeter dedans aveuglément. Mais ces prédicateurs qui défendent si bien le christianisme contre l'esprit du monde au nom de la raison et du principe de non-contradiction, se prétendent plus raisonnables et mondains que le monde et donc contredisent directement la bonne expérience de l'apôtre Paul.
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Neverime
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Re: Jésus n'est pas dieu

Message non lu par Neverime »

Meric, j'y avais pas pensé...

Faudrait voir avec l'auteur du site pour faire une "copie" de manière à ce que s'il a un pépin un jour...^^
"Il y a cent mille ans, une grande et puissante civilisation existait... et comme d'autres, elle a connu un évènement qui lui a été fatal. C'était quelque chose qu'ils n'attendaient pas, l'arrivée d'une force obscure et destructrice qui n'avait aucune limite dans sa soif insatiable de possessions et de domination. Ils nommèrent cet ennemi: les Destructeurs.

Tous les mondes qu'ils prenaient portaient la vie et ils ne laissaient derrière que des terres stériles hautement toxiques, vidées de toutes leurs ressources...
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Re: Jésus n'est pas dieu

Message non lu par yacoub »

Pour les arabes chrétiens, Jésus se nomme Yassou, pour les mahométans, il est Aïssa ou Issa. Ils reconnaissent qu'il est né de Marie la juive vierge, ils reconnaissent que Jésus est un prophète et qu'il a reçu l'évangile de la part d'Allah qui est Puissant et Sage. PBSL a rencontré Jésus au ciel qui à sa vue s'est mis à pleurer comme une Madeleine. PBSL lui a demandé "Comment tu n'es pas heureux de contempler ma Sainte Face ?" Jésus a répondu" Ce n'est pas ça mais je crains Youm Al Dîn car ma oumma a fait de moi un Dieu ainsi que ma maman Marie et Allah déteste le chirk il va m'envoyer rôtir en enfer". PBSL a ri et l'a rassuré et a répondu "Tu seras au Paradis et tu assisteras à mon mariage avec ta mère Marie organisé par Allah lui même. Il sacrifiera 1000 chameaux pour le repas des noces.
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Re: Jésus n'est pas dieu

Message non lu par yacoub »

DÉFI LANCÉ AUX MUSULMANS : MÉDITEZ ET INTERROGEZ LE CORAN SUR LE NOM « AÏSSA ».

Sur la problématique de l'arabisation du nom de « YESHÛA3 » en « 3ÏSSA » :

.

- Pourquoi le Coran n'a-t-il pas pris le nom de « YASÛ3 » (JÉSUS) prononcé par les arabes chrétiens avant l'arrivé de l'Islam ?

- Pourquoi le Coran a-t-il préféré faire une autre transcription en arabe du nom de « YESHÛA3 », au lieu de prendre le nom existant de « YASÛ3 » qui était prononcé par les arabes chrétiens avant l'arrivé de l'islam ?

- Pourquoi le Coran a-t-il pris 3ISÛ » (ESAÜ) chez les arabes chrétiens (sans chercher à faire une autre transcription), pendant ce temps, il n'a pas pris « YASÛ3 » (JÉSUS) chez les arabes chrétiens ?

- Pourquoi le Coran ne modifie pas le nom de « YEROSHÛA3 » (JOSUÉ) en laissant le [AIN] a la fin du mot, alors que sa forme contractée de « YESHÛA3 » (JÉSUS) est modifiée en enlevant le [AIN] à la fin du mot, en le mettant en début du mot ?

- Pourquoi les noms de « YEROSHÛA3 » (JOSUÉ) et « YESHÛA3 » (JÉSUS) qui sont des variantes linguistiques du même nom (Pour rappel « YESHÛA3 » est la forme contractée de YEROSHÛA3 »), mais bizarrement le Coran traduit « JÉSUS » par « 3ÏSSA » en le commençant par [Ï] alors que « JOSUÉ » qui est exactement le même nom que « JÉSUS », a été traduit par « YOUCHA » (prononcé Youhachaw), en le commençant par [Y].

.

Méditez et interrogez le Coran sur ces 5 questions ?

Je défie devant Dieu, un musulman intelligent de me répondre à ces questions ...
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Re: Jésus n'est pas dieu

Message non lu par marmhonie »

Parenté talmudique de l’islam : Jésus et Îsa



Démonstration linguistique
Nous allons montrer que le Coran reprend la haine du judaïsme talmudique[1] pour Jésus.

Seul le Talmud fait du nom de Jésus (Yashoua') une INSULTE
Jésus se dit en hébreu Yashoua’ et signifie « Le Seigneur sauve ».

Le Judaïsme ne veut pas de Jésus Messie et sauveur, le Coran le hait !
Le Talmud enlève la dernière lettre de ce Nom béni au-dessus de tout nom pour en faire un nom nouveau : Yeshou, dont la référence au salut est ainsi effacée, et qui devient une insulte assimilant Jésus à Ésaü !
Ésaü qui se dit en hébreu ‘Ishaou, lequel est la figure par excellence de l’imbécile capable de vendre son droit d’aînesse pour un plat de lentilles (Gn 25.29-34), et méritant de ce fait la colère divine : « J’ai aimé Jacob et haï Ésaü » (Ml 1.2-3). C’est pourquoi les chrétiens sont désignés dans le Talmud comme « fils d’Ésaü » (Zohar III, 282).

De l'INSULTE talmudique hébraïque à l'insulte du Coran arabe
Dans le Coran le nom arabe de Jésus, Yasou’, soit lui-aussi transformé en Îsa, un nom inconnu de la littérature arabe des huit premiers siècles[2], semblable à celui d’Ésaü, qui en arabe se dit ‘Îso. Îso/Îsa.

Une DOUBLE INSULTE dans le Coran arabe
Au mépris connoté par ce nom vient s’ajouter le fait qu’en arabe une bête de somme se dit al’aïs. Mais surtout, Îsa est constitué des trois lettres : Y SH U, qui constituent en hébreu les initiales des trois mots de la formule de malédiction : « Yimmah shmo weezikhro », signifiant : « Que son nom et sa mémoire soient effacés ! ».

Le Coran arabe est du talmud hébreux encore plus haineux
Si le Coran a donc suivi le Talmud dans sa haine du nom de Jésus, il n’a cependant pas retiré à « Issa » le titre de Messie.[3] Pourquoi ? Parce que d’une part Jésus était trop universellement reconnu comme étant le Messie, jusque dans l’expression si courante « Jésus-Christ », qui signifie précisément : « Jésus est le Messie ! », et que d’autre part pour détruire la foi en Jésus-Christ, rien n’a été pensé de plus efficace que de la vider de son sens en supprimant dans le Coran les conditions mêmes de la messianité de Jésus. C’est ainsi que le Coran ne rappelle pas l’ascendance davidique de Jésus (Mt 1.20-23) si souvent exprimée dans l’Évangile par l’expression « Fils de David » (Mt 1.1 ; 9.27 ; 12.23 ; 15.22 ; 20.30 ; 21.9 ; Ap 22.16), ni ne mentionne Saint Joseph, qui a non seulement couvert de son autorité la conception virginale de Jésus, mais L’a encore fait entrer légalement dans la lignée de David, de laquelle devait justement naître le Messie (Is 11.1). Le Coran ne mentionne pas non plus le lieu de naissance du roi David et du Messie (Mi 5.1 ; Mt 2.1-6), Bethléem, qu’il transforme en un palmier isolé du désert (Coran 19.23)… histoire de repousser hors de Terre Sainte l’impureté des chrétiens en la donnant en pâture aux Bédouins, eux-mêmes sommés de ne plus venir en pèlerinage à Jérusalem (Coran 2.142,143) mais d’aller à La Mecque (2.144), au désert, lieu de refuge par excellence des démons (Lv 16.10,22 ; Mt 12.43)…

Choisir Îsa comme Messie est condamné à mort en Islam
Le Coran détruit une autre condition de la messianité de « Îsa » en nommant Sa Mère, « sœur d’Aaron » (Coran 19.28), lequel Aaron vécut plus de 1200 ans avant la naissance de Jésus… Ainsi, non seulement le Coran remplace-t-il l’histoire par le mythe, mais encore, si la Mère de « Îsa » est sœur d’Aaron, alors elle appartient, comme son père Imran[4] (Amiram, Cf. Coran 3), à la tribu de Lévi, et donc « Îsa » n’appartient pas de la tribu de Juda, de laquelle devait naître le Messie (Gn 49.8-10 ; Dt 33.7 ; Jg 1.2 ; 20.18 ; 1 Sm 17.12 ; 2 Sm 7.12-16 ; 1 Ch 5.2 ; Ps 89.3-5 ; Os 5.14)… Grâce à cette fiction littéraire, à cet anachronisme ahurissant, l’originalité et la centralité de la mission de Jésus de Nazareth sont complètement effacées de l’Histoire.

Pour le Coran, le Jésus-Christ historique n’existe pas.
Entre l’Ancien Testament et l’Islam, il n’y a pas de Nouveau Testament, il n’y a que de l’Ancien Testament, ou plutôt du Judaïsme talmudique. Et de même que le Coran rompt la relation de « Îsa » avec le roi David, descendant de la tribu de Judas (2 Sm 7.12-16), de même fait-il avec toutes les grandes figures de l’Ancien Testament de peur qu’elles ne révèlent Jésus-Christ. Ainsi, dans le Coran, Îsa n’est pas le nouvel Adam, père d’une humanité nouvelle ; Son sacrifice nié (4.157) n’est pas annoncé par celui d’Abel, ni préfiguré par celui d’Isaac (Gn 22.1-19), en qui Abraham a entrevu le Fils de Dieu mort et ressuscité (Jn 8.56) ; Îsa n’est pas le nouveau Législateur annoncé par Moïse (Dt 18.15 et 18) devant faire sortir le nouveau peuple de Dieu de l’esclavage du péché figuré par celui de l’Égypte (Jr 31.31-34) ; Îsa n’est pas le Serviteur souffrant annoncé par Isaïe (Is 50.6-7 ; 52.13-15 ; 53.1-12 ; Dn 9.26) ni le Crucifié entrevu par Zacharie et le psalmiste (Za 12.10 ; 13.1 ; Ps 22) ; Îsa n’est pas le vrai Jonas venu prêcher la conversion aux païens et resté trois jours et trois nuits dans les affres de la mort avant de resurgir bien vivant ; Îsa n’est pas l’Époux (Mt.9.15 ; 25.1+ ; Jn 3.29) chanté par Isaïe et Salomon (Is 54.5 ; 61.10 ; 62.5 ; Ct 5.16) ; saint Jean-Baptiste n’est pas le Précurseur du Messie (Jn 1.19-34)… Aucun Écrit des Prophètes n’est dans le Coran, de peur que n’apparaisse l’annonce de la nouvelle et éternelle Alliance scellée dans le Sang du Christ (Jr 31.31 ; Is 53.3 ; Ez 36.27 ; Za 8.1). Par contre est largement rappelé l’Alliance mosaïque avec les fils d’Israël (Coran 2.44,83,93,122 ; 4.154 ; 7.134,137 ; 17.104 ; 26.59 ;45.16)…

Rendre Jésus méconnaissable dans le Coran arabe méchant
Mais pour rendre Jésus méconnaissable, ce n’est pas seulement le lien de Issa avec les personnages de l’Ancien Testament qui est gommé, c’est aussi le lien avec ses contemporains.[5] Ainsi le Joseph du Coran n’est pas le père adoptif de Jésus, mais le fils du Patriarche Jacob, qui devient lui-même Jacques, le cousin de Jésus (Coran 19.6)… Pour nier leur existence, les contemporains de Jésus sont noyés dans l’Ancien Testament de sorte que sept siècles après Jésus-Christ, il n’y a toujours que Moïse. Pour le Coran, Jésus, Sa Mère, ses Apôtres, Son Église, Ses sacrements, n’ont pratiquement jamais existé…

Le Coran renie le Nouveau Testament et la vie historique de Jésus-Christ
La messianité de Jésus est encore niée en ce que Îsa est confessé n’être qu’un prophète (Coran 2.136 ; 3.39,84 ; 5.75 ; 19.30), envoyé exclusivement aux Juifs (Coran 43.59 ; 61.6), et qui plus est, censé avoir annoncé la venue de Mahomet (Coran 7.157 ; 61.6), faisant de celui-ci, quoique sans le titre, le vrai Messie attendu, et donc le parfait anti-christ. Bien que la douceur et l’intégrité de Jésus n’aient pu être totalement occultées, parce que trop connues, Îsa n’est cependant pas présenté comme modèle.

Le Coran est anti biblique et pour Lucifer
Et il ne s’oppose pas non plus à Mahomet, alors que le comportement et la doctrine du Jésus de l’Évangile excluent absolument tout complément, renouveau ou accomplissement futurs de la Révélation qu’Il accomplie « une fois pour toutes » (Jude 3 ; Ga 1.8), et condamnent donc sans équivoque Mahomet comme faux-prophète (Mt 24.4,11,24 ; Ga 1.8 ; 1 Jn 2.22-27 ; 4.2-4), ainsi que la pédo-criminalité, la polygamie, la fourberie, le parjure, l’homicide, la haine, l’esclavage, etc. crimes commis par Mahomet et enseignés par Allah.

Sans les faux Jésus et Marie du Coran, l’islam n’est que du Talmud (Mt 15.1-9 ; 16.5-12 ; 23.1-39).

Bref, à la suite du Grand Prêtre Caïphe qui a condamné Jésus à mort pour blasphème pour S’être reconnu Fils de Dieu (Mt 26.65 ; Ac 4.1-18 ;5.21-42 ; 7.51+), de sorte que le Talmud place Jésus en Enfer (Gittin 57a), le but du Coran est d’éradiquer Jésus et le christianisme de l’histoire. C’est ainsi qu’Allah envisage d’anéantir le Messie et sa Mère et même, si nécessaire, pour y arriver, tous les hommes avec eux (Coran 5.17 ; cf. Mt 2.16) ! Certes, ce verset est justifié comme illustration de l’absolue liberté et puissance d’Allah, mais cette explication ne peut cacher que la haine possible pour l’humanité et a fortiori pour le Messie et Sa Mère est directement contraire à la nature du vrai Dieu, qui est bon et créateur, miséricordieux et juste. Cette haine d’Allah contre le Messie, expression de celle du Talmud pour Jésus se retrouve dans la haine contre les chrétiens (Coran 9.30 ; Mt.10.17-36 ; Jn 15.18-16 .2). Jésus dit : « Ce que vous faites au plus petit des miens, c’est à Moi que vous le faites. » (Mt 10.40 ; 18.5 ; 25.40,45 ; Ac 9.5).

Si quelqu’un est choqué ou se sent offensé par mes propos, qu’il veuille bien considérer qu’ils sont conformes à la foi chrétienne et que je ne fais que mettre en pratique ce que le Coran demande lorsqu’il invite « les gens de l’Évangile à juger d’après ce que Dieu y a révélé » (Coran 5.47)…

Source : © Abbé Guy Pagès, pour islam-et-verite.com.

——————————–
Notes

[1] Voici quelques citations du Talmud au sujet de Jésus : « Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère. » (Kallah, 1b. 18b) ; « Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses. Judas a pissé sur Jésus. » (Toldoth Jeschu) ; « Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain. » (Abhodah Zarah II) ; « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. » (Schabbath, 104b) ; « Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël. » (Sanhedrin, 107b, 43 a) ; « Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente. » (Zohar III, 282) ; « Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus. » (Orach Chaiim, 113) ; « Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus. » (Iore des, 150, 2) ; Talmud babylonien ; Sanhédrin 43 A… Cf. Mc 10.32-34 ; 14.43-65 ; Lc 11.53-54 ; Jn 8.37,59 ; 12.10 ; 15.18-26.

[2]  Cf. P. Louis Sheikho, « Le Christianisme et la littérature chrétienne en Arabie avant l’Islam, (3 vol.), Beyrouth, 1913, 1919, 1923.

[3] Alors même qu’il ose en faire par ailleurs un prophète comme un autre (Coran 5.75) et qu’il n’y a pourtant qu’un seul Messie…

[4] Assimiler Joachim à Amiram ou vice versa, comme certains osent le faire, relève de la fantaisie ! En effet, « Imran » en arabe est la contraction de Ammi-ram, qui signifie « mon peuple est haut placé »; tandis que « Yehoyaqim » » signifie « Yahweh suscite ».

[5] Dans les Évangiles Apocryphes, le futur mari de la Vierge Marie devait être reconnu à ce que parmi tous les prétendants, seul son rameau fleurirait miraculeusement. Dans le Coran, les prétendants jettent non des rameaux, mais leur crayon, et ce n’est pas Joseph qui est désigné, mais Zacharie, le père Jean-Baptiste, et non pour épouser Marie, mais pour devenir son tuteur au Temple. Une autre preuve de l’emprunt du Coran aux Évangiles Apocryphes, est le fait qu’Issa parle dès sa naissance (Évangile de l’Enfance 1 / Coran 19.24), ou fabrique, encore enfant, des oiseaux de terre qu’il fait vivre (Évangile de l’Enfance, 38 / Coran 3.49).
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Re: Jésus n'est pas dieu

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Re: Jésus n'est pas dieu

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Censures de Ren' sur le forum Eliaqim


Serviteur du Juste a écrit:
Galates 1.8 "Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème!"
:Bye:
Salut Serviteur du Juste, bienvenue sur ce forum
[EDIT]
Modifié en dernier par Ren' le Jeu Aoû 03, 2017 6:22 am, modifié 1 fois.

Raison: Insultes

Voici le texte censuré par cette ordure
omar13 a écrit :je pense que du moment que le libre arbitre existe pour les musulmans, et pour les autres religions, chacun est libre de faire ce qu'il croit et sera Allah swt a nous juger.
Allah, nous a crée et il nous a indiqué le bon et le mauvais chemin, sera, a chacun de nous faire son choix, le jugement, la justice et le châtiment sont bien expliqués dans le saint coran, et n'existent pas dans la bible, motif pour lequel, les amis "chrétiens", pensent de faire part tous du paradis, malgré tous les maux qui provoquent sur cette terre.
:shock:
Le libre arbitre n'existe pas en islam, il y a la prédestination, tout est écrit. Mektoub.

Le Saint Coran est un plagiat de la Sainte Bible et la lapidation et le tranchage des mains figurent dans la Sainte Torah.

PBSL n'a rien inventé.

PBSL s'est contenté, comme les Shaddock, de pomper, pomper, pomper...

=======================================================
prisca a écrit :Par conséquent, il faut que vous élucidiez les intentions de Dieu en comprenant notamment le déluge de Noé, la malédiction de cham, l'Alliance avec Abraham, le sacrifice d'Isaac, et toutes ces symboliques qui doivent vous aiguiller.

En toute logique, il y a un parallèle à faire entre Isaac peuple Juif et Ismaël peuple Musulman car tous deux déjà au premier chef démontrent qu'ils sont victimes d'oppression.

Ce que vous trouvez à la base comme Ren ' le dit justement, doit servir de fondation à vos conclusions sachant qu'aujourd'hui encore nous pourrions dire que même si l'histoire nous est racontée elle n'est pas pour autant clôturée.

N'oubliez pas que le principe des livres saints sont la prophétie et la prophétie étant l'anticipation sur le futur, il y a 2000 ans ainsi que 1400 ans des messages sont tout autant à prendre pour aujourd'hui.

C'est évidemment plusieurs coups pour une pierre parce que de cette manière vous démontrez que votre foi est vivante autant que vous concevez que Dieu est vivant.

Ainsi si vous concevez Dieu vivant vous n'avez pas l'ombre d'un souci à vous faire aujourd'hui devant les évènements sauf à dire que l'Apocalypse n'est pas un vain mot et que si un homme décide de presser le bouton "nucléaire" rien ne l'empêchera ni personne.
Salut Prisca, tu es une scientifique.

Comment peux tu croire à des mythes hébraïques comme Adam, Noé, Abraham ?

Isaac n'est pas le père des juifs comme Ismaël n'est pas le père des musulmans
puisque ce sont des mythes auxquelles 40% des juifs seulement y croient.
100 % de vrais musulmans y croient pour notre malheur car ils croient aussi que seul l'islam est la religion vraie et que de force, tout le monde doit y entrer.
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Re: Jésus n'est pas dieu

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De notre ami Marmhonie.

Ren' n'est pas un catholique à proprement parler. Outre son blog sur Jean de Damas qui reprend les falsifications musulmanes, il fait partie de ce forum québécois déjanté typique sur les sectes et non sur les religions.
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Sa spécialité est de modifier vos propres messages pour vous accuser ensuite d'être raciste des arabes. Ah, le brave homme que ce Ren'

Le blog pro islamiste de Ren'


Prudence donc avec en général un forum religieux québecois, le paradis sur terre des sectes, qui est pro islamiste. Haine, falsification de l'histoire des religions, islamisation protégée à outrance, censure fasciste typique de tout ce qui critique objectivement l'Islam.

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Eliaqim, kaboo, Ren', bref une pseudo modération qui n'hésite pas à balancer en ligne la vie privée et des données personnelles d'internautes qui déplaisent. On appelle ça du harcèlement moral et la permissivité est totale avec la protection de l'Administrateur Eliaqim et Ren'

Boycottez ces forums sectaires québécois de la honte.
Ou pour votre malheur tombez dans la haine francophone typique des québécois islamisés.
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Re: Jésus n'est pas dieu

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prisca a écrit :Je reprends :

1/ En disant des versets du Coran que tu les comprends littéralement, c'est à dire si tu lis : "30. Les Juifs disent : "Uzayr est fils d'Allah" et les Chrétiens disent : "Le Christ est fils d'Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les
anéantisse! Comment s'écartent-ils (de la vérité)?"
tu vas t'arrêter à cette seule interprétation : les juifs et les chrétiens sont des mécréants.

Or je t'ai expliqué qu'il ne s'agit pas de cela, et j'ai argumenté.

Or tu n'as jamais parlé de mon argumentation, tu t'arrêtes à : juifs et chrétiens sont des mécréants c'est écrit et je lis que ce qui est écrit je dois pouvoir lire comme lisent les musulmans, donc eux ont compris comme moi je comprend, par conséquent nous comprenons juste.

Non.

Non car peut être qu'il faut faire un effort d'intellectualisation pour comprendre parce que mon interprétation n'est pas facile je te le concède, mais il appartenait aux IMAMS de donner la bonne interprétation laquelle aurait été divulguée à l'ensemble des croyants musulmans qui auraient cru sur parole ces "savants musulmans" mais à l'origine déjà il y a usurpation d'un rôle celui de ceux qui se sont fait maitres de l'interprétation, ils ont usurpé le rôle de vrais interprètes surtout dotés de la foi, car ces interprètes là en sont totalement dépourvus et justement le CORAN LE DIT LES IMAMS SONT DES MENTEURS.

Donc tu dois pouvoir te dire que tu laisses le bénéfice au doute et même si tu n'es pas capable toi d'interpréter, tu dois pouvoir OU TE TAIRE ou TE DIRE JE LAISSE LE TEMPS TRAVAILLER POUR NOUS POUR LA PAIX ou ME DONNER RIPOSTE DANS LES ARGUMENTS mais ne pas dire comme les Musulmans "juifs et chrétiens effectivement sont des mécréants"
Prophétesse Prisca, Prières, Bénédictions, Saluts d'Allah sur Toi.

Il faut que tu saches que j'ai en dépôt une Noble Sourate te concernant et concernant l'ensemble des musulmans,
il faut que tu m'ouvres ton forum pour que je puisse la déposer
et que les Nobles Musulmans puissent en profiter.

La Sourate est la 115 éme et Allah Puissant et Sage l'a intitulé sobrement Prisca.

Tu es avec Marie la deuxième femme honorée par Allah, le très Haut.

Tu sais que les prénoms féminins de Khadija, de Aïcha sont inconnus dans le Saint Coran.
Il n y a que celui de Marie et maintenant le tien.
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Re: Jésus n'est pas dieu

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claudem a écrit : Jésus de Nazareth a dit qu'après lui viendrait un faux prophète.

Mohammed a dit qu'après lui il n'y aurait pas de nouvelles religions qui naitraient.

Il y a le sikhisme et la foi baha'i qui sont nés.
:mrgreen:
PBSL savait bien que ce qu'il avait fait fonder une nouvelle religion était possible à un autre,
aussi a t-il décidé de fermer le bec à Allah en disant qu'il était khatem al anbiya, sceau des prophètes,
mais Allah, Puissant et Sage, s'est révolté de cette tutelle de PBSL
et en aout 2017, il a décidé de faire de Prisca la rassoula d'une nouvelle religion
qui réconciliera juifs, chrétiens et musulmans.

Pour plus d'informations, lire la sourate Prisca sur ce forum
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Re: Jésus n'est pas dieu

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omar13 a écrit : Allah, nous dit que chacun a sa religion, c'est a dire les musulmans ont leur religion, et les mécréants aussi ont leur credo païen??
....
tu n'as plus a chercher ce que pensent les musulmans, parce que la vérité, tu l'as chez toi, c'est a dire dans la thora, l'AT, les 4 évangiles et dans le NT.
si tu ne veux pas devenir musulman, tu feras bien a ne pas comprendre exactement ce qui est écrit dans la bible, et continuer dans ton aveuglement ( pardon, pour l'aveugle).
Allah Puissant et Sage a dit:
Koul ya ayouha al kafiroun ana la aboudou ma taboudoun wa antoum la taboudou ma abed lakoum dinoukoum wa liya Dîni
ce qui signifie dans la langue des vils mécréants
Dis :
Ô vous les mécréants, moi, je n'adore pas ce que vous adorez, vous n'adorez pas ce que j'adore
Vous avez votre religion, j'ai la mienne.


Mais ça c'était la période Mecquoise, à partir de 622, de Médine, c'est ou tu embrasses l'islam ou je t'égorge de façon halal
Aslam taslam
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Re: Jésus n'est pas dieu

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Teo a écrit : Sert à rien !

Puisque ces 3 t'attaqueront car tu n'es pas avec eux.

Ils sont clairs : YAhvé est juif _ christianisme est européen_ islam est arabe, si tu es autre que ce s 3, tu n'as pas ta place
Il faut amener le maximum de musulmans vers l'apostasie de l'islam sinon il y aura encore, encore et encore des morts.

Pourquoi Sami Aldeeb, Karim Labidi, Salem Ben Ammar font ils tout pour que l'islam soit considéré comme le nazisme ou le stalinisme ?

Tu me diras qu'il y a des lèche-bouches catholiques qui contrecarrent par la censure ces hommes libres ?
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Re: Jésus n'est pas dieu

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Nzr a écrit : Vraiment, vous ne vous en rendez pas compte cher chrétien, mais vous rabaisser Dieu en disant qu'il s'est fait homme, il est au dessus de cela.

Dans le christianisme, Dieu s'est fait homme, c'est l'incarnation, en islam, Allah s'est fait coran, c'est l'inverbation.(Rémi Brague)
prisca a écrit : "Miséricordieux" est cité 412 fois dans le Coran.
Si Dieu est tant Miséricordieux il faut pouvoir se dire que Dieu a créé un homme dans lequel il a mis son Esprit Saint pour se sacrifier afin de sauver l'humanité.
Ö Noble Prophétesse, PBST,
les mots, en islam, signifie le contraire de ce qu'ils signifient ainsi islam religion d'amour de tolérance et de paix
signifie religion de haine, d'intolérance et de guerre.

Il faut savoir décoder le discours islamique si tu ne veux pas être roulée dans la farine.

==============================================================
yacoub a écrit : Le musulman, le vrai, aura toujours une sainte horreur des chrétiens qui ont fait de Jésus un Dieu ainsi que sa mère Marie, qui mangent le cochon,
qui adorent la Croix, dont les moines pratiquent le célibat alors que le mariage est la moitié de la religion.
Jésus, le musulman, reviendra à la fin des temps pour briser la croix, tuer le cochon, s'associer au mahdi pour tuer le dajjal et proclamer urbi et orbi que l'islam est la seule et vraie religion
prisca a écrit :
Déjà, tu veux dire "le faux musulman" aura une sainte horreur des chrétiens etc etc ............ parce que le vrai musulman non.

Pour le reste, rien à dire sur tes élucubrations.

Je voudrais simplement te dire que ne va pas faire le surpris lorsque tu verras Jésus entre les Nuées, et ne grincent pas des dents parce que j'espère que d'ici que cela n'arrive tu changeras ta façon de parler.

Il faut que tu m'ouvres ton forum pour que je te communique en arabe et en français la Sourate qui te concerne au premier chef.

Car même si tous nous serons pardonnés par Jésus qui a racheté tous nos péchés, il y a bien un péché qui ne le sera jamais, c'est l'injure.


J'espère sincèrement pour toi que tu vas te raviser.
:shock:
Ô Noble Prophétesse Prisca, Prières, Bénédictions, Saluts d'Allah sur Toi,
Tu n'es pas sans savoir ça:
Les Chrétiens ont dit : Le Messie est fils de Allah. Qu’ Allah les anéantisse ! Ils sont tellement stupides.
Allah IX.30

Je sais qu'avec la Noble Sourate dite Prisca, Allah, Puissant et Sage, abroge les versets anti chrétiens et anti juifs

De plus, Allah t'a chargé en tant que rassoula de réconcilier juifs, chrétiens et musulmans en prônant des prières communes et des mariages mixtes.

Il faut m'ouvrir ton forum pour que je puisse la déposer en arabe et en français cette Sourate
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