News Canada

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jug
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Re: News Canada

Message non lu par jug »

Matinal et en forme Elementaire.


Les pauvres gens deviennent souvent les plus grands salauds.
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yacoub
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Re: Canada : attentats à Ottawa et ailleurs ...

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samay a écrit :C'est ce que je me dis tout le temps . Ces convertis à l'islam trouvent dedans de quoi rassasier leurs penchants sadiques .S'il n'y avait pas eu d'islam ils seraient devenus mercenaires , tueurs à gage ou même sérial-killers .
:super:
Le Canada français a de plus en plus peur de ses musulmans.

Avant, il aimait beaucoup les Nord Africains car ils étaient francophones mais maintenant le Canada français découvre que ces francophones sont adeptes d'une secte étrange qui voile les femmes, qui lerur coupe le clitoris, qui les bat, qui prône la saine lapidation et qui fabrique plus des crétines que des crétins.
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Angelotin
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Re: News Canada

Message non lu par Angelotin »

En ce moment, il y a deux faits divers d'islamistes solitaire au Quebec.
21.10.2014
Martin «Ahmad» Rouleau-Couture a fauché avec sa voiture deux soldats canadiens sur un parking près de Montréal. Percuté de plein fouet par la voiture, l'un des deux engagés n'a pas survécu à ses blessures. Rouleau-Couture devait être abattu par les policiers après une course-poursuite de 40 km sur les autoroutes québécoises.

L'attaque d'Ottawa s'est produite 48 heures à peine après l'affaire de Martin Rouleau Couture.
Michael Zehaf-Bibeau, 32 ans, a tiré mercredi sur l'un des deux gardes postés devant le monument aux morts d'Ottawa. Touché, le caporal Nathan Cirillo, 24 ans, a succombé à ses blessures. L'auteur des coups de feu a pour sa part été abattu non loin de là, au Parlement.
Il se faisait de plus en plus appeler Abdul et avait été exclu d'une mosquée de la banlieue de Vancouver à cause d'un comportement erratique.

Le profil des deux hommes montre de nombreuses similitudes.
- ils sont d'ancien délinquant convertis à l'islam radical et connu par la police.
- Ses derniers voulaient combattre en Syrie.
- ils ont contacté des réseaux.
- Ils leur a été refusé des passeports pour se rendre en Turquie.
- ils ont agit en loup solitaire.
Ni Dieu, Ni Maitre. Athéisme naturaliste et humaniste. l'auto gestion comme forme politique. L'écologie pour nous sauver. La vie comme une romance gothique!.
"Vous n'avez pas besoin de religion pour justifier l'amour, mais c'est le meilleur outil jamais inventé pour justifier la haine."
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Re: News Canada

Message non lu par yacoub »

Ce qui est surprenant et même extraordinaire, ce sont ces Occidentaux de souche qui deviennent plus musulmans que des nés musulmans. Ça va faire mal si on n'arrive pas à stopper ce phénomène

Même un membre du Front National s'est converti à l'islam.
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Re: News Canada

Message non lu par yacoub »

Tout le monde en parle - Charte des valeurs québécoises - 29 septembre 2013

https://www.youtube.com/watch?v=OnSCHl__yzo
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Re: News Canada

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Re: News Canada

Message non lu par yacoub »

Poste de veille avec Collectif Québécois contre l'islamophobie.


Parmi les gens ayant participé hier à la table ronde organisée pour financer le Collectif d'Adil Charkaoui, notons Valérie Amiraux, qui travaille pour un organisme présidé par George Soros, un spéculateur néolibéral qui soutient l'immigration massive en Europe et l'érosion des identités nationales. En plus de travailler pour la *Open Society Foundations* de Soros, Mme Amiraux est aussi professeure au département de sociologie de l'Université de Montréal, où elle dirige la *Chaire de recherche en étude du pluralisme religieux*.

Il y avait aussi Denise Helly, professeure au Centre Urbanisation Culture Société de l'INRS. C'est une intellectuelle de bas calibre, comme l'illustre son incompréhension du projet avorté de Charte de la laïcité du Parti québécois.

Michael Nafi, du CEGEP John Abbott, a aussi participé à cet évènement pour le bénéfice du Collectif de M. Charkaoui, dont la mosquée relayait l'éloge du fondateur d'al-Qaïda. Notons ici que M. Nafi a récemment qualifié de «torchon» rempli «d'arguments fallacieux» la critique de Daniel Baril portant sur le commentaire de Haroun Bouazzi, qui, suite aux attentats de Bruxelles, blâmait des lois en Belgique contre l'interdiction du hijab dans les écoles, malgré que ces loi n'existent pas...

SOURCES:
Valerie Amiraux et George Soros
https://www.opensocietyfoundations.org/ ... ie-amiraux
https://www.opensocietyfoundations.org/ ... 120720.pdf
https://www.opensocietyfoundations.org/ ... 0214_0.pdf
http://valerieamiraux.com/actualite/who ... undations/
http://www.chairs-chaires.gc.ca/chairho ... ileId=2494
http://www.cairn.info/revue-critique-in ... ge-141.htm

George Soros
"Orban Accuses Soros of Stoking Refugee Wave to Weaken Europe"
http://www.bloomberg.com/news/articles/ ... ken-europe
"Inside Open Society Foundations"
http://www.insidephilanthropy.com/home/ ... tions.html

Denise Hélly
http://www.ucs.inrs.ca/denise-helly
"Une extrême droite québécoise en émergence ?"
https://www.youtube.com/watch?v=zzJN5I3SX98

Michael Nafi qualifiant de «torchon» la critique faite par Daniel Baril des propos d'Haroun Bouazzi sur l'interdiction du voile en Belgique et les attentats terroristes de Bruxelles:
http://www.postedeveille.ca/…/daniel-ba ... -bouazzi.h

Mosquée d'Adil Charkaoui:
Éloge du fondateur d'al-Qaïda, Abdullah Azzam:
http://archive.is/sXCMF
Said Qouraimi, co-fondateur de la mosquée présidée par Charkaoui: http://archive.is/QFZkQ
Poste sur Facebook des drapeaux de l'État islamique:
http://archive.is/WbkmX

Nadia Geerts, philosophe, enseignante à la Haute École de Bruxelles
https://www.youtube.com/watch?v=Z-34RtYYRyM
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Re: News Canada

Message non lu par yacoub »

Émeute au centre-ville de Montréal
Émeute au centre-ville de Montréal vendredi soir après le spectacle du rappeur Mohamed Sylla, aka MHD, d'origine africaine, qui provient du 19e arrondissement de Paris, un quartier connu pour être une zone de tensions.

À remarquer : il y a presque uniquement des hommes, et très peu de policiers.
Plus d'infos :
http://ici.radio-canada.ca/regions/Mont ... lies.shtml

Source: https://www.youtube.com/watch?v=dHezy0XUxYs – avec MHD.

https://www.youtube.com/watch?v=dHezy0XUxYs
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Re: News Canada

Message non lu par yacoub »

Trudeau accusé de cautionner la ségrégation des sexes
15 septembre 2016 | Hélène Buzzetti - Correspondante parlementaire à Ottawa | Canada
Justin Trudeau s’est rendu lundi à l’Ottawa Muslim Association pour prononcer quelques mots devant les musulmans réunis pour célébrer la fête du sacrifice.

Image

Photo: Adrian Wyld La Presse canadienne Justin Trudeau s’est rendu lundi à l’Ottawa Muslim Association pour prononcer quelques mots devant les musulmans réunis pour célébrer la fête du sacrifice.

La présence de Justin Trudeau dans une mosquée imposant la séparation entre hommes et femmes suscite des remous. Des groupes de femmes se plaignent que ce passage cautionne une pratique misogyne.


C’est le cas du Conseil canadien des musulmanes. Sa directrice, Alia Hogben, rappelle que, « malheureusement, bien que certains d’entre nous, musulmans, s’opposent à la ségrégation des sexes dans les mosquées et dans les rassemblements sociaux, la plupart sont plus traditionalistes et n’ont pas de problème avec la séparation ». Elle assure néanmoins que certaines mosquées permettent la mixité, signe que « ça peut être fait ». « Ç’aurait été bien qu’il réclame que lui et ses ministres féminines s’adressent à l’assemblée en même temps et non de manière séparée. Au moins, cela aurait fait preuve d’égalité des genres. »


Députées voilées


La députée d’Ottawa-Centre et ministre de l’Environnement, Catherine McKenna, était présente à l’événement, mais elle n’a pas pris la parole. Sur les photos placées sur Twitter par le bureau du premier ministre, on voit Mme McKenna et ses collègues députées Karen McCrimmon et Anita Vandenbeld, en compagnie des représentants de la communauté, toutes trois portant le voile.


Aucune des trois femmes n’a rappelé Le Devoir mercredi. La porte-parole de Mme McKenna, Caitlin Workman, a indiqué que la ministre « respecte les traditions de tous et était ravie d’être là à un moment fort de la communauté ». Les musulmans célébraient lundi la fête du Sacrifice.


Pour Djemila Benhabid, auteure du livre Ma vie à contre-Coran et ancienne candidate péquiste, cette visite est la preuve que « les droits des femmes sont si peu de chose aux yeux [de M. Trudeau].
L’égalité s’arrête à la porte de la mosquée ». Que la mosquée sépare les hommes des femmes n’a « rien de nouveau », admet-elle. « Mais que la puissance publique puisse endosser cette posture ségrégationniste par la présence même de notre premier ministre nous en dit long sur le degré de compromission avec un islam incapable de s’élever à la démocratie et de se renouveler. »


Ségrégation


La Fédération des femmes du Québec (FFQ) n’a pas souhaité se prononcer sur le sujet. Pour le droit des femmes du Québec (PDFQ), un groupe ayant vu le jour pour se dissocier de la FFQ jugée trop conciliante sur les questions du port du voile, déplore la visite. La présidente de PDFQ, Michèle Sirois, note que « la ségrégation raciale, on se bat contre depuis longtemps. Je ne vois pas un politicien qui accepterait d’aller dans un endroit où on dirait les Noirs d’un côté, les Blancs de l’autre. Mais pour les femmes, il semble que ce soit moins grave ».


Mme Sirois estime que les politiciens devraient cesser de fréquenter les lieux où l’égalité des sexes n’est pas de mise. Elle rappelle la mairesse d’arrondissement Anie Samson qui s’était voilée dans une mosquée en 2013 pour inviter les fidèles à aller voter afin de bloquer la charte des valeurs québécoise.


Dans les coulisses libérales, on ne comprend pas pourquoi cette visite fait l’objet d’une couverture médiatique. On souligne que ce n’est pas la première fois que M. Trudeau se rend dans une mosquée. On se demande si la communauté musulmane n’est pas prise injustement à partie, dans la mesure où une telle forme de ségrégation envers les femmes se voit aussi chez les juifs, les orthodoxes grecs ou encore dans les gurdwaras sikhs. On ne manque pas de rappeler que l’Église catholique interdit aux femmes de devenir prêtres.

================

Djemila Benhabib
14 min ·

A l'occasion de la fête de l'Aid, le premier ministre canadien, Justin Trudeau, celui-là même que l'on qualifie ici et là de " super politicien", s'est rendu dans une mosquée à Ottawa, le 12 septembre. Il a fait un discours vantant l'inclusion, la tolérance et la diversité face à une audience exclusivement masculine puisque les femmes étaient reléguées à l'étage supérieur.

Ma réaction dans Le Devoir de ce matin:

"Pour Djemila Benhabib, auteure du livre Ma vie à contre-Coran et ancienne candidate péquiste, cette visite est la preuve que « les droits des femmes sont si peu de chose aux yeux [de M. Trudeau]. L’égalité s’arrête à la porte de la mosquée ». Que la mosquée sépare les hommes des femmes n’a « rien de nouveau », admet-elle. « Mais que la puissance publique puisse endosser cette posture ségrégationniste par la présence même de notre premier ministre nous en dit long sur le degré de compromission avec un islam incapable de s’élever à la démocratie et de se renouveler. »
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Re: News Canada

Message non lu par yacoub »

«Le GIA aurait dû te liquider avant que tu puisses mettre les pieds ici, connasse.»
Procès de Djemila Benhabib: jour 2

Le compte-rendu de la première journée: Voici Ahmed Khebir

Jour2

L'ÉCHANGE LE PLUS CONTROVERSÉ DE LA JOURNÉE


Une ancienne étudiante des Écoles musulmanes de Montréal, âgée de 21 ans et portant un voile sévère, a témoigné aujourd'hui au procès en diffamation intenté contre Djemila Benhabib par les Écoles musulmanes de Montréal.

D'abord interrogée par Me Grey, procureur des Écoles, la jeune femme d'origine algérienne a témoigné de son expérience à l'École musulmane. Le président de l'organisation, Ahmed Khebir, qui a témoigné hier, était assis à la gauche de Me Grey.

Ensuite, Me Nadon, le procureur de Mme Benhabib, a contre-interrogé l'étudiante voilée, qui étudie aujourd'hui à l'Université de Montréal. La partie la plus tendue de leur échange a porté sur des publications Facebook.

L'avocat de Mme Benhabib a déposé l'imprimé d'un commentaire apparaissant sur la page Facebook «Je soutiens Djemila», qu'il a lu ainsi: «Le GIA aurait dû te liquider avant que tu puisses mettre les pieds ici, connasse.»

Screen shot 2016-09-27 at 4.58.16 PM(source)



Ce commentaire était écrit par un compte Facebook au nom de l'étudiante voilée, avec sa photo, et dont la description précisait «étudie au cégep de Saint-Laurent» (soit précisément le cégep que fréquentait l'étudiante voilée à la date du commentaire).

Étudiante voilée: «Oui c'est ma photo. Mais ce n'est pas mon compte [Facebook].»

L'étudiante voilée a allégué avoir été victime de hacking ; que des tiers créaient des pages Facebook portant son nom et sa photo ; que ce n'était pas elle ; qu'elle en avait dénoncé quelques-unes pour usurpation de son identité.

Me Nadon: «Puis ça, le GIA, est-ce que vous savez c'est quoi le GIA?»
Étudiante voilée: «Oui, je sais c'est quoi.»
Me Nadon: «C'est quoi le GIA?»
Étudiante voilée: «C'est un groupe terroriste en Algérie.»
Me Nadon: «Vous êtes algérienne?»
Étudiante voilée: «Oui, d'origine algérienne.»

Avant cet échange, le procureur de Mme Benhabib lui avait demandé: «Est-ce que vous savez si elle [Djemila Benhabib] a habité en Algérie?», et l'étudiante avait répondu: «Oui»

Me Nadon: «Est-ce que vous connaissez l'Algérie?»
Étudiante voilée: «Oui»

L'étudiante voilée a aussi nié avoir participé à un événement organisé par les Écoles musulmanes de Montréal en vue de financer la poursuite contre Mme Benhabib. Or, le procureur de la défenderesse a déposé des imprimés d'une page Facebook intitulée «Our children are not future terrorists» où figuraient le nom et la photo de l'étudiante, parée du voile de la charia. L'étudiante a encore allégué qu'il s'agissait d'un compte Facebook produit par un tiers. Qu'il ne s'agissait pas d'elle. Qu'elle était ici aussi victime de hacking.

***

[img]6a01156fb0b420970c01b8d2214fbc970c-800wi[/img]



Il faut savoir aussi que -selon la Défense de Mme Benhabib- les Écoles musulmanes de Montréal ont «organisé une soirée de levée de fonds afin de financer la présente poursuite judiciaire à l'encontre de [Djemila Benhabib]. Pour ce faire, une page Facebook a été créée par Monsieur Khebir, [intitulée] "Our Children Are Not Future Terrorists".»

Or, «Monsieur Khebir [le président des Écoles musulmanes de Montréal] a nié catégoriquement non seulement avoir créé la Page Facebook mais en avoir même pris connaissance avant l'interrogatoire.»

Screen shot 2016-09-27 at 4.47.17 PM

De même que l'étudiante voilée nie avoir écrit sur Facebook le commentaire souhaitant que Mme Benhabib fut «liquidée» par des islamistes du GIA [Groupe islamique armé] en Algérie - commentaire qui apparaissait en son nom et sa photo sur une page consacrée à la militante laïque-, de même, le président des Écoles musulmanes de Montréal, M. Khebir, a nié, lors de son interrogatoire avant-procès, avoir jamais créé la page Facebook «Our children are not future terrorists».

Mais «après avoir été vivement confronté» avec la preuve qu'il était bien à l'origine de cette page Facebook, M. Khebir a dû admettre avoir non seulement eu connaissance de la page Facebook, mais l'avoir lui-même créée. (paragraphes 92-93 de la Défense de Mme Benhabib).

Le président des Écoles musulmanes avait poussé l'audace jusqu'à nier catégoriquement avoir jamais possédé un compte Facebook personnel... Il a dû se rétracter après avoir été «confronté vigoureusement avec sa propre page Facebook» (paragraphe 94).

Screen shot 2016-09-27 at 4.49.34 PM

Voir aussi:
Les islamistes nient tout, même l’évidence
http://www.journaldemontreal.com/2015/0 ... -levidence


ONT AUSSI TÉMOIGNÉ AUJOURD'HUI:

1. Kathy Malas, vice-présidente du Forum musulman canadien, soit le premier lobby médiatique et politique de la Confrérie islamiste des Frères musulmans au Québec. Elle a fait ses études primaires et secondaires aux Écoles musulmanes de Montréal.

2. Salam El-Mousawi. Ses quatre enfants ont fréquenté les Écoles de Montréal. Ses deux filles ont ensuite continué à porter le voile de la charia.

M. El-Mousawi a notamment participé au lancement d'un groupe musulman, destiné à lutter contre le projet de la Charte de la laïcité, dont Mme Benhabib était l'une des principales championnes. Ce groupe fut initié en outre par le cheikh Fawaz, représentant au Canada de la Ligue islamique mondiale (basée en Arabie saoudite), que l'on voit en turban au centre de la photo. Quant à M. El-Mousawi, il apparaît à la droite de Samer Majzoub, président du Forum musulman canadien.Mousawi

3. Un enseignant non-musulman d'origine roumaine.

4. Ainsi que le directeur du campus secondaire des Écoles musulmanes de Montréal.



VOIR AUSSI:

«Une école qui a pour modèle une autre société» - Djemila Benhabib



Sources et références:

http://www.postedeveille.ca/2016/08/pou ... habib.html



Rédigé le 27/09/2016 dans Liberté d'expression, Québec | Lien permanent



Commentaires


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JR Lam


Avons-nous besoin de ces gens du moyen âge ici? Si les mensonges brulaient les bouches, il y a belle lurette qu'ils seraient défigurés!
Merci!

Rédigé par : JR Lam | 27/09/2016 à 20:04


Peter


Thanks Poste de Veille! This is a very important issue and the outcome is crucial for what's coming up in the country. Please keep us posted.

Rédigé par : Peter | 27/09/2016 à 20:34


le viking


sachez que mentir a un non Musulman pour un islamiste radicale fait partie de ses armes c'est tout a fait normal pour lui

Rédigé par : le viking | 27/09/2016 à 20:47


Leon gaudreault


Bravo madame Benhabib d'essayer d'ouvrir les yeux de nos politiciens qui dorment a gaz.
Félicitations aussi à Julius Grey de nous préparer un terrible avenir en défendant ceux qui veulent détruire notre société.

Rédigé par : Leon gaudreault | 27/09/2016 à 21:37
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Re: News Canada

Message non lu par yacoub »

Djemila Benhabib : le djihad tente d'imposer sa loi aux tribunaux
Vendredi 30 Septembre 2016 à 16:00
Martine Gozlan
La journaliste et essayiste Djemila Benhabib, Prix international de la laïcité, est traînée en justice par les islamistes. Un procès symbole qui s'est ouvert à Montréal lundi et devrait se conclure ce vendredi 30 septembre.
Illustration. Jiho

>> Cet article a initialement été publié le 23 septembre, dans le numéro 1016 de "Marianne".

Les prétoires aussi sont des champs de bataille. Précédant, provoquant et prolongeant le terrorisme, une nuée d'avocaillons s'affaire depuis vingt ans, d'Orient en Occident, à traquer le moindre zeste et geste de liberté. Faut-il rappeler que, longtemps avant d'être massacrée, l'équipe de Charlie Hebdo avait été poursuivie par la Mosquée de Paris et l'Union des organisations islamiques de France ? Djemila Benhabib, qui publia naguère un salutaire Ma vie à contre-Coran et appelle au sursaut laïque dans Après Charlie (H&O éditions), n'a rien oublié. Ni nos amis assassinés, ni son pays natal, l'Algérie, laboratoire du totalitarisme islamique dans les années 90. Elle avait mis un océan entre elle et la terreur, mais la terreur nous rattrape toujours.

"J'ai dénoncé le fait qu'on fait réciter à des petits enfants des versets coraniques appelant à l'extermination des mécréants" Djemila Benhabib
Depuis le 26 septembre et jusqu'à ce vendredi 30 septembre, l'indomptable essayiste passe donc en procès au Canada, poursuivie par l'association Les Ecoles musulmanes de Montréal. Une affaire qui remonte à 2012. Djemila Benhabib avait osé, dans une interview, se dire scandalisée par des méthodes pédagogiques qu'elle a elle-même subies, enfant, en Algérie.

« J'ai dénoncé le fait qu'on fait réciter à des petits enfants des versets coraniques appelant à l'extermination des mécréants. A leur âge, on m'ordonnait de répéter des phrases entières réclamant la destruction des juifs et la lapidation des femmes adultères. Je me suis également insurgée contre le port du voile imposé à des fillettes de moins de 9 ans. L'école qui me poursuit est l'établissement islamique le plus important du Québec... »

Créées en 1985 à l'instigation d'un Pakistanais qui voulait importer le « modèle » du « Pays des purs », Les Ecoles musulmanes accueillent toutes les sessions du Conseil de la charia. Cet organisme, comme son nom l'indique, vise à influencer toutes les institutions afin que le droit musulman soit pris en compte dans le droit québécois. Djemila Benhabib se bat sans relâche contre l'offensive obscurantiste, laquelle s'enfonce pourtant, comme un coin d'acier, dans la mollesse du multiculturalisme nord-américain.

La détermination de la jeune femme en fait une cible de choix pour ceux qui jouent le grand air victimaire sur les violons grinçants de « l'islamophobie », ce mot inventé « pour permettre aux aveugles de rester aveugles », comme l'écrit si bien Salman Rushdie. Djemila Benhabib a défendu la charte de la laïcité qu'aurait fait passer le Parti québécois s'il avait gagné les élections de 2014. La victoire du Parti libéral a éloigné, hélas, cette éventualité. « Mon procès, c'est le symbole du djihad juridique », résume Djemila.
>> Le Canada va abroger sa loi sur la déchéance de nationalité pour les binationaux
La religion contre le droit

Cette chasse à l'homme et à la femme libres n'est pas neuve. Le djihad juridique a commencé dans les pays arabes avant de se répandre en Occident. L'Egypte fut l'un de ses premiers champs de manœuvres. Dans les années 90, au Caire, la lutte contre le terrorisme va de pair avec une réislamisation de la société supposée protéger le peuple de ce même terrorisme. Comme d'habitude - comme aujourd'hui dans les sociétés occidentales -, ce raisonnement, qui allie l'inconscience à la lâcheté, ne tient pas. Nasr Abu Zayd fut l'une de ses victimes.

Ce philosophe et historien brillant était partisan d'une relecture du Coran. En 1994, des avocats islamistes parviennent à obtenir l'annulation de son mariage au motif que l'universitaire est un apostat qui ne peut être l'époux d'une musulmane. La décision a beau contredire, en théorie, les lois égyptiennes, elle est appliquée. Car un flou artistique flotte, en terre musulmane, sur ce qui relève du droit religieux et du droit civil. Le couple se réfugie aux Pays-Bas. Nasr Abu Zayd meurt en exil en 2010. Le djihad juridique lui a interdit de revoir les bords du Nil.
Le djihad juridique a commencé dans les pays arabes avant de se répandre en Occident

A la même époque, le brillant cinéma égyptien voit ses stars pulpeuses prendre le voile les unes après les autres. Un vrai festival de pudibonderie. Seule la belle Yousra, actrice fétiche de Youssef Chahine, résiste aux cris aigres des tartufes qui trouvent anticoranique le déshabillé de satin noir ouvert sur sa gorge blanche.

Elle affronte procès après procès intentés par un tribunal de Damanhour, en Haute-Egypte. Les romans du prix Nobel de littérature Naguib Mahfouz sont eux aussi attaqués en justice, et le vieil écrivain, en 1994, est la cible d'une tentative d'assassinat par deux membres des Gamaa al-Islamiyya, les commandos djihadistes. Les ados au couteau ne connaissaient ses livres que par l'odeur de scandale répandue par les procès. Tout comme les assassins du journaliste copte Farag Foda, en 1992, n'avaient entendu parler de ses écrits que par la condamnation pour blasphème émise par le grand imam de la mosquée Al-Azhar.

Car le djihad juridique se situe bien au cœur touffu de la charia, la loi islamique. Son objectif est d'invalider, au nom de l'islam majoritaire, la loi civile que se sont donnée les pays musulmans, ou de détourner, au nom des droits de l'islam minoritaire, la loi régalienne des pays occidentaux. Dans le premier cas, il a comme alliée une opinion publique musulmane conservatrice et peu éduquée. Dans le second cas, il s'appuie sur les tenants d'une idéologie de compromis, arc-boutés, toujours, sur le concept magique d'« islamophobie ».

Au Canada, le journaliste roumain Mihai Claudiu Cristea, qui avait cru pouvoir tenter sa chance à Montréal, a été condamné après un harcèlement qui l'a épuisé, ruiné, et finalement poussé à quitter son pays d'adoption. En juin 2012, surpris, comme tous les passants, par l'irruption sur un marché d'une femme en niqab, aux côtés d'un compagnon en tenue estivale, il photographie la scène et en tire un article en donnant sobrement la parole aux partisans comme aux adversaires du voile intégral. Cristea, qui a lancé son propre journal, découvre depuis quelque temps le sinistre petit monde salafiste.

Au cours de diverses rencontres islamiques et portes ouvertes à la bienheureuse différence, il entend des prédicateurs recommander « les tapes correctrices » contre les épouses et avertir les croyantes que serrer la main d'un homme équivaut à forniquer. Il se fait expulser d'une salle de l'université Laval par les videurs de l'Association des étudiants musulmans pour de naïves questions sur la polygamie.
Manne financière

Le couple salafiste photographié décide de porter plainte contre le journaliste. Conseillés par les avocats islamistes qui flairent une aubaine idéologique et leur promettent une manne financière, la femme en niqab et son acolyte, des Tunisiens, attaquent. Malgré la clarté de son argumentaire et la confusion de celui des plaignants, Cristea perd. Car, témoigne Djemila Benhabib qui a suivi son procès, « sans avocats et sans grands moyens hormis quelques amis et lecteurs qui ont constitué un comité de soutien pour l'épauler, l'éditeur fait face à cette cabale salafiste presque seul. Les dés sont pipés, la justice n'accepte pas de porter la cause en appel ».

"Qu'on ne s'étonne pas si un enfant imprégné d'une culture de violence passe à l'acte"
Condamné « pour atteinte à l'identité » d'une personne qui se voile pourtant intégralement, le journaliste, effondré, rentre en Roumanie. Autrement dit, deux salafistes tunisiens sont confortablement installés aujourd'hui à Québec alors qu'un Roumain laïque et républicain a dû quitter le pays.

Le djihad juridique est donc une arme efficace de destruction. « On veut nous affaiblir, nous ruiner, nous effacer, nous empêcher d'écrire, de parler, de participer au débat public, de diffuser nos idées », explique Djemila Benhabib qui n'en est pas à son premier procès. Elle a gagné le précédent, intenté par une mosquée, en 2015. Cette fois, si les avocats des Ecoles musulmanes la font taire, d'autres voix résonneront-elles aussi fort ? Et surtout aussi clair ?

« Qu'on ne s'étonne pas si un enfant imprégné d'une culture de violence passe à l'acte. Il y a une continuité entre l'idéologie véhiculée par de pseudo-pédagogues et l'acte terroriste. Peut-on accepter de tels enseignants ? » Ces centres d'intoxication mentale sont subventionnés par le ministère de l'Education : un demi-million de dollars par an. La classe politique dort sur ses deux oreilles en ronronnant : laissez venir à nous les petits djihadistes...
Ma charia au Canada

Lors de l'entretien qu'il nous a accordé (n° 1013), le juge Marc Trévidic est revenu sur un précédent canadien : « En 2004, j'ai suivi de très près ce qu'il s'est passé là-bas. La charia civile a failli passer, de justesse. Il y a eu tout un débat, et des hommes politiques, laïques, avaient des arguments pour justifier son acceptation, notamment dans le domaine des affaires familiales. On entendait des gens dire : "Comme les femmes ne viennent pas dans les tribunaux laïques, pour les procédures de divorce, la garde des enfants, ou en cas de violence conjugale, au moins avec l'instauration de ces tribunaux islamiques ce sera un moindre mal, elles iront, ce sera un minimum de protection." C'était assez surprenant. Du moment que le reste de la population ne devait pas s'y soumettre, cela leur paraissait acceptable. Ils avaient aussi pensé à le faire pour certaines affaires commerciales. Ce n'est ni plus ni moins que la stratégie de certains groupes radicaux, qui estiment qu'ils sont solidaires du djihad mais ne vont pas prendre les armes, en préférant se consacrer à l'établissement de la charia sur certaines parties du territoire : c'était le cas de Charia For Belgium, Shar'ia For Britain et, en France, de Forsane Alizza.»
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En ce qui concerne les procès qui se jouent simultanément en France et au Canada où Sofiane Zitouni, Mohamed Louizi et Djemila Benhebib sont poursuivis en justice par des islamistes.

Il y a un double objectif qui est visé par ces quérulents procéduriers, ils n'ont aucune garantie de gagner ces procès mais cherchent à profiter des failles juridiques qui sont une aubaine pour eux et d'user financièrement ceux qu'ils traînent en justice, le deuxième objectif est d'attirer la lumière sur ceux qu'ils combattent devant les médias afin de déclencher, de dégoupiller les fatwas des plus enragés de la communauté musulmane, ils savent très bien que des fantassins du jihad feront ce qu'il y a à faire au moment où il le faut.

Ceux qui ont poursuivi Charlie Hebdo en justice savaient ce qui se passerait derrière en réveillant la bestialité des défenseurs du prophète.

La tradition islamique regorge d'exemples nombreux:

Tout d'abord, il faut savoir que dans la tradition arabe anté-islamique, la critique et la satire étaient très largement pratiquées.


Cette période d'avant l'islam a été appelée "Jahiliya" (temps de l'ignorance) bien à tort, comparée à la décadence morale qu'a apporté l'islam dans beaucoup de domaines.

Cette coutume de tolérance vis-à-vis de la critique n'a pas survécu à l'avènement de l'islam: tous ceux qui ont cru pouvoir se moquer de Mahomet le payèrent de leur vie.

Donc, avec l'arrivée de l'islam, on va vite comprendre que cette tolérance allait prendre fin.

Car pour les musulmans, quiconque critique leur prophète ou ses épouses commet un blasphème grave et il est considéré comme un criminel, qui ne mérite que la mort.

Ce qui explique en partie les démonstrations bestiales des musulmans ordinaires lors de l'affaire des caricatures et de la sortie du film retraçant sa vie.

L'auteur d'une critique visant Mahomet est alors accusé du crime de sabb et il convient donc de l'éliminer.

Bien souvent, Mahomet n'avait qu'une phrase à dire: " Qui me délivrera de cet homme?" (ou de cette femme?). Il était instantanément obéi, et par zèle mais aussi comme preuve de la mort de cet "ennemi d’Allah et de son prophète", on apportait la tête encore sanguinolente à Mahomet, aux cris d'"allah akbar".

Parmi les hommes et femmes qui tombèrent pour avoir critiqué "l'homme le plus parfait de la création", citons ces malheureux :

- Abu Jahl: avait osé critiquer Mahomet. 2 zélés compagnons se précipitèrent sur lui, le tuèrent et revinrent aviser Mahomet, qui leur demanda de lui montrer leurs saïf (sabres).

Après les avoir examiné, il déclara que la dépouille appartenait au 1er des 2 soldats, car seul son sabre "portait des traces du contenu de l'abdomen". (Muslim, n° 3295)

- Abu Afak: chef d'une tribu juive, un homme d'un grand âge (on disait 120 ans) a été tué parce qu'il avait tourné Muhammad en ridicule dans ses poèmes. L'acte a été commis par Salam ibn Umayr, "sur la demande du prophète, qui avait demandé: -Qui me débarrassera de cette crapule?" (Ali Dasthi, Vingt trois années).

- Asma bint Marwan: le meurtre du vieillard Abu Afak avait choqué cette poétesse qui composa un poème dénigrant Mahomet. Il lui envoya de nuit un de ses fidèles. Elle dormait, ses enfants autour d'elle, le plus jeune tétait encore son sein. Il écarta l'enfant et transperça la poitrine de la mère. "As-tu assassiné la fille de Marwan? demanda l’apôtre d'allah" (ibn Sad, Tabaqat 2 / 30.1).

- Abu Sufyan: "Amir ibn Umayya fut mandaté pour tuer Abu Sufyan, mais Abu Sufyan en eut vent, et lui échappa. A la place, Amir tua un Quraïch sans défense et un autre homme, sur le chemin du retour vers Médine" (Ali Dasthi, Vingt trois années).

- Khalid abu Sufyan al Hudhayli: ce chef de la tribu Hudhayl avait fait preuve d'hostilité envers Mohamed devant son peuple. "Le prophète nomma Abdallah ibn Unays pour aller s'occuper de lui. Lui aussi fut éliminé avec succès" (Ali Dasthi, Vingt trois années).

"Sa tête fut apportée au prophète à la fin du mois de muharram".

- Salam ibn Abu Huqyaq: plus connu sous le nom d’Abu Rafi, son meurtre a fait couler beaucoup d'encre au bout des calam (roseau taillé qui sert de stylo) car il a posé un problème moral lié à une coutume anté-islamique, : faut-il tuer durant la nuit? Juif et ami des Banu Aws, qui sont les rivaux des Banu Khazraj.


Des Khazraj demandèrent à Mahomet la permission de le tuer, il la leur donna et il désigna un commando pour aller accomplir cette basse besogne d'inspiration bien islamique.

- Yusayr ibn Rizam: un autre juif, il incitait la tribu des Banu Ghatafan à combattre Mahomet, celui-ci lui envoya un commando qui le tua.

- Rifaa ibn Qays: "Abu Hardad tua Qays d'une flèche dans le coeur et lui a ensuite coupé la tête, qu'il rapporta au prophète aux cris de "allah akbar, allah akbar!" (ibn-Hisham).

- Abu Azzai: cet autre poète avait été gracié une première fois "à condition qu'il ne dénigre plus l'islam", mais il n'a pas pu ou su tenir sa promesse. Il fut exécuté.

- Kaab ibn Al Ashraf: juif emblématique qui semble drainer la haine de tous les musulmans à travers les siècles, il fait l'objet d'une très longue liste de récits de la part de presque tous les commentateurs et : "Il était l’un des juifs les plus hostiles à l’islam et commença à attiser la haine entre les associateurs et les musulmans en composant des poèmes à la mémoire des associateurs morts à Badr, il alla jusqu’à chanter la beauté des femmes des compagnons de façon indécente." Mahomet donna l’ordre de le tuer en disant cette phrase, un peu comme un parrain de la mafia: "Qui veut me délivrer de Kaab ibn Al Ashraf?".

- "Une juive insultait le prophète et le dénigrait. Un homme l’étrangla jusqu’à ce qu’elle en meure. L’apôtre d'Allah déclara qu’il n’y avait rien à payer pour son sang." (abu-Daoud, 38.4349).

- Une esclave enceinte, tuée par son maitre, un aveugle, parce qu'elle dénigrait l'Homme Parfait. Un enfant en est "sorti d’entre ses jambes, souillé du sang" (abu-Daoud, 38.4348).

Autres méfaits de "la plus noble créature sur terre", mais la liste n'est pas exhaustive:

- après la bataille de Badr, Mahomet fit décapiter 2 poètes anonymes, sans raison,
- il fit exécuter Fartana, une chanteuse qui s'était moquée de lui,
- il fit exécuter une autre chanteuse: Qariba,
- il fit décapiter le poète Abdallah ibn Khatal,
- il fit décapiter un autre poète, Howairith ibn Noqaïd.

Cette liste ne représente que ceux dont le "crime" aura été de critiquer le prophète du carnage, comme il s'est lui-même désigné. Pour la plupart d'entre eux, ces gens qu'il a froidement fait assassiner n'étaient que de simples poètes croyant pouvoir continuer la tradition satirique de "l'Arabie de l'Ignorance" anté-islamique, comme elle est dénommée par les Soumis. De la même manière que l'islam a interdit la musique, il n'aime pas non plus la poésie.

Assurément, Mahomet, "la plus noble créature sur terre" est un modèle parfait.
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Djemila Benhabib qui a du fuir l'Algérie car menacée par les fous de PBSL a des admirateurs dans ce pays

Tolérer la menace qui abîme la paix

Par Malika Boussouf
malikaboussouf@yahoo.fr
Il est des jours comme ça où lorsque l’on s’élève contre le fait que l’ont ait pu interdire à des jeunes filles d’entrer au lycée parce qu’elles ne portaient pas le voile ou que l’on apprend qu’une étudiante a été empêchée de rejoindre une salle d’examen et donc de composer parce qu’elle n’avait pas la tête couverte, on est loin de se douter qu’ailleurs, dans ces pays censés nous démontrer que la laïcité est celle qui préserve le mieux la pratique religieuse de ses fossoyeurs et protège l’équilibre social de tous les prêches tendancieux qui appellent à une pratique rigoriste de la religion et au respect des principes édictés par une idéologie politique plus que par le Coran lui-même, une jeune femme qui a fui la menace terroriste en Algérie et choisi de vivre au Canada et d’y faire entendre sa voix se retrouve aux prises avec une branche salafiste de mieux en mieux armée idéologiquement et financièrement pour semer les terribles graines de sa pensée destructrice.

Cela m’amuserait presque d’ironiser sur le fait que le Québec ait, aujourd’hui plus que jamais, besoin qu’une Djamila Benhabib lui ouvre les yeux sur ce qu’il s’entête à ignorer pour échapper au pire croit-il ! Mais non ! je n’en ai pas du tout envie. C’est toujours comme cela que les choses se passent, en fait ! Quand les uns reculent, les autres s’empressent d’occuper la place. Ce qu’il faut reconnaître aux fanatiques où qu’ils se trouvent et où qu’ils officient, c’est qu’ils sont à l’affût de la moindre faiblesse chez celui qu’ils qualifient de taghout. Comme ce bon sniper qui fait toujours mouche, l’islamiste ne perd jamais le nord, même quand il fait le dos rond. Pour avoir, entre autres, dénoncé le fait que des écoles s’autorisent à interdire leur accès à toute élève qui ne porterait pas le foulard et l’existence de ces structures dont les principes fondateurs rivalisent avec ceux d’un «camp d’entraînement militaire» religieux et sexiste, l’Algéro- Québécoise est poursuivie en justice par les écoles musulmanes de Montréal. C’est triste de voir son rêve de vivre en paix bousculé par des arguments encore plus retors ailleurs !
M. B.
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Accommodements raisonnables : Le projet de loi sur la neutralité religieuse sous le feu des critiques

QUÉBEC – Les parlementaires entameront mardi l’étude du projet de loi sur la neutralité religieuse de l’État et les accommodements raisonnables. D’ores et déjà, la première journée d’audiences s’annonce difficile pour la ministre Vallée, qui verra sa législation durement critiquée.

Le projet de loi 62 prévoit deux choses. Tout d’abord, les employés de l’État et les citoyens devront dorénavant interagir à visage découvert. En clair, le gouvernement vise le niqab et la burqa.

Ensuite, la nouvelle législation impose des balises aux organismes publics qui devront traiter des demandes d’accommodements religieux. Ceux-ci devront respecter le principe d’égalité homme-femme et ne pas compromettre la neutralité religieuse de l’État. Une demande devra aussi être «raisonnable», c’est-à-dire respecter les droits des autres usagers et ne pas imposer un fardeau important à l’organisme.
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De l’avis de plusieurs intervenants, c’est un projet de loi peu ambitieux. Le gouvernement Couillard s’en tient à «ce qui fait consensus», dit elle-même la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, porteuse du dossier. Le constitutionnaliste Louise-Philippe Lampron, lui, présente la chose ainsi : «Ils intègrent dans la loi ce que la jurisprudence en matière de neutralité religieuse de l’État dit déjà».

Le PQ et la CAQ souhaitent d’ailleurs que le gouvernement aille plus loin en interdisant le port de signes religieux aux policiers, juges et gardiens de prison.

Nombreuses critiques

Mardi, la commission entendra d’abord l’organisme Pour les droits des femmes du Québec (PDF-Q), qui l’invite à retirer ce projet de loi «inadéquat» et «flou». Le regroupement féministe estime que la législation ne va pas assez loin en matière de laïcité et invite le gouvernement à refaire ses devoirs. L’organisme a d’ailleurs été créé en 2013 en réaction à la position de la Fédération des femmes du Québec, qui défendait le droit de porter le voile islamique au nom des libertés individuelles.

niqab

PDF-Q déplore notamment l’absence de définition de la neutralité religieuse, une critique souvent faite au défunt projet de loi sur les discours haineux de la ministre Vallée. «La neutralité religieuse comme ça, accrochée à rien, c’est un concept très flou et très ambigu», se désole Diane Guilbault, vice-présidente de l’organisme. Elle souligne que le niqab et la burqa ne sont pas mentionnés nommément.

Pour son organisme, les accommodements religieux prévus ne font pas la promotion de la laïcité de l’État, au contraire. «C’est plutôt une formule pour accommoder toutes les religions, estime Diane Guilbault. C’est plus du multiconfessionnalisme que de la laïcité.» PFD-Q estime que le projet de loi 62 pourrait devenir une porte ouverte «aux intégrismes».

L’organisme affirme également que l'obligation d'accorder des accommodements religieux pourraient décourager les employeurs d’embaucher des personnes issues des communautés culturelles.

À l’autre bout du spectre, l’Association des commissions scolaires anglophones du Québec viendra plutôt argumenter que la nouvelle législation est «inutile». «On n’a jamais eu ce problème dans nos écoles, dit sa présidente, Jennifer Maccarone. Alors, pourquoi changer quelque chose qui fonctionne bien?»

stephanie vallee
La ministre Stéphanie Vallée (Crédit: PC)

Elle craint que le projet de loi «sème la discorde», comme l’a fait le débat sur les accommodements raisonnables dans le passé. «Nous n’en avons pas besoin», dit-elle.

Les commissions scolaires anglophones estiment plutôt que «la diversité raciale et religieuse enrichit le Québec».

L’association ne souhaite pas se faire imposer par Québec des solutions à un problème qu’elle juge inexistant. «Si on avait un problème au sein de nos commissions scolaires, ce serait à nous de prendre une décision», dit Jennifer Maccarone.

«Le projet de loi est fort susceptible de se révéler inconstitutionnel», ajoute-t-elle.

Un véritable problème?

La semaine dernière, la ministre de la Justice admettait qu’aucune employée de l’État ne travaille vêtue d’un niqab ou d’une burqa. «Il n’y a pas de situation au Québec où des gens dans la fonction publique travaillent à visage couvert», reconnaissait-elle.

Québec ne sait pas non plus combien de citoyens demandent à recevoir des services à visage couvert chaque année. «On n’a pas de données» à ce sujet, dit l’attaché de presse de la ministre, Isabelle Marier St-Onge.

Reste à savoir si le projet de loi 62 pourrait être renversé par un tribunal en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés. Lorsqu’il a pris le pouvoir en 2014, le gouvernement Couillard a dévoilé que le gouvernement Marois n’avait pas obtenu d’avis juridiques spécifiques du ministère de la Justice sur son projet de Charte des valeurs.

Québec a-t-il obtenu des avis juridiques, cette fois? La ministre de la Justice s’est montrée évasive, mercredi dernier. «Sachez qu’on a des avis juridiques lorsqu’on rédige des projets de loi et, comme vous le savez, ces avis juridiques là, on ne les partage pas par secret professionnel, a dit Stéphanie Vallée. Mais soyez assurés que, ce que nous faisons, nous le faisons avec des avis juridiques.»
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Le procès politique contre Djemila Benhabib

Procès de Djemila Benhabib
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Mathieu Bock-Coté
Mathieu Bock-Côté
Dimanche, 23 octobre 2016 08:43 MISE à JOUR Dimanche, 23 octobre 2016 08:48

Quelques jours avant le début du procès de Djemila Benhabib, j’ai eu le privilège de participer à une soirée visant à lui témoigner du soutien d’un grand nombre de Québécois. J’y ai prononcé un petit discours portant sur les différentes méthodes de disqualification publique des dissidents en régime multiculturaliste. Je rappelais notamment qu’on les étiquette de manière à les transformer en infréquentables dans le débat public, ou encore, qu’on les psychiatrise en leur prêtant de multiples phobies, ce qui justifierait leur mise à l’écart de la conversation démocratique. Je rappelais enfin que ses ennemis entendaient manifestement faire de Djemila Benhabib un exemple politique pour tous ceux qui voudraient s’aventurer à critiquer le multiculturalisme : il s’agit de faire comprendre à la population dans son ensemble le prix à payer pour entrer en dissidence avec l’idéologie diversitaire.

C’est sur ce dernier point que je voudrais revenir aujourd’hui. Une idéologie dominante ne demeure dominante que si, de temps en temps, elle parvient à envoyer un signal clair à ceux qui d’une manière ou d’une autre, prétendent se mêler de la vie publique : on ne la conteste pas librement. Elle doit, de temps en temps, faire une démonstration de force, rappeler qu’elle a le pouvoir de distinguer entre les gens fréquentables et les infréquentables, entre les modérés et les radicaux, entre les esprits civilisés et les extrémistes. L’idéologie dominante doit rappeler, en d’autres mots, qu’elle seule décidera quels contradicteurs elle tolérera dans la vie publique, et quels contradicteurs elle refoulera dans les marges. Pour donner l’impression qu’elle se prête à une comédie démocratique, elle peut tolérer, pour la forme, des détracteurs modérés. Elle formate à l’avance la dose de critique qu’elle peut accepter sans être vraiment compromise.

Et c’est là que Djemila Benhabib intervient. Dans ses interventions publiques des dernières années, celle qui est devenue une figure majeure de la critique de l’islamisme à la fois au Québec et dans de nombreux pays européens n’a pas joué selon les règles du jeu de la dissidence domestiquée, aseptisée, et politiquement acceptable pour les gardiens de l’idéologie dominante qui par exemple, transforme la critique de l’islamisme en symptôme d’une islamophobie militante ou encore, qui veut faire de la laïcité une forme de néocolonialisme identitaire à l’endroit des immigrés. En d’autres mots, Djemila Benhabib n’a pas accepté le rôle du dissident vaincu d’avance, qui accepte son mauvais sort, mais demande de le pleurer un peu. Elle nomme les choses, elle les critique frontalement, elle ne fait pas de concessions et témoigne d’ailleurs d’un immense courage, qui l'honore en notre temps où il manque un peu.

Ce que ne comprennent pas ceux qui se contentent de la défendre mollement, ou encore, qui multiplient les nuances à son endroit, c’est qu’elle est devenue, bien malgré elle, un symbole de notre liberté d’expression. On mène contre elle un procès politique et idéologique. On veut la faire taire. Ruiner sa réputation. Et la ruiner tout simplement. À terme, on veut la marquer du sceau de l’infamie. La faire passer pour une intolérante. Il s’agit de faire comprendre au grand nombre le sort qui frappera ceux qui disent non au multiculturalisme d’État. Il s’agit aussi de frapper d’interdit civique qui ne font pas preuve de complaisance devant un islamisme conquérant qui entend s’imposer à ses propres conditions dans la cité, sans rien lui concéder, en misant principalement sur une stratégie d’exhibitionnisme identitaire. Si l'idéologie dominante ne s'interdit pas les armes de la censure, à terme, l’idéologie dominante entend pousser à l’autocensure généralisée.

Djemila Benhabib, dans ses livres comme dans ses conférences, n’accepte pas de jouer ce jeu. Elle milite, elle se bat, elle critique. À travers elle, c’est le droit de nommer ce qu’on voit et de le dire publiquement qui est en jeu. À travers elle, c’est aussi le droit de résister à l’idéologie dominante qui est en question. Il faudrait en être conscient.
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