Salem Ben Ammar

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Salem Ben Ammar

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Je salue le talent et le courage de Salem Ben Ammar
Salem Ben Ammar
Je tiens à remercier l’auteur de cet article pour son éclairage sur la tragédie du peuple berbère décimé par les arabes.

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Cher ami, bonjour ; permettez-moi de vous appeler ainsi parce que j’ai l’impression d’avoir moi-même écrit vos articles tant ils sont en parfaite symbiose avec mes propres pensées. Je salue aussi votre courage pour oser défier ouvertement l’hydre islamiste. Votre article « Je n’ai jamais rien eu à voir avec l’Islam » fera date. En effet, comme vous l’affirmez, on ne naît pas musulman même si on est né dans un pays dominé par cette religion mortifère. Sans la terreur, l’Islam aurait depuis longtemps disparu de la surface de la terre. En tout état de cause, il ne lui reste pas beaucoup à vivre. Récuser les commandements de cette secte inhumaine à laquelle on n’a pas volontairement adhéré, ne fait pas de nous des apostats. Pour ma part, étant un berbère, je n’ai jamais reconnu cette religion. Mon athéisme inné a été conforté par la découverte de la philosophie grecque au lycée puis à l’université.

La barbarie de l’Islam étant posée, la question qui m’a toujours taraudé l’esprit est celle de savoir pourquoi mes ancêtres ont fait leur cette « religion ». En Afrique du Nord, le christianisme rayonna pendant plusieurs siècles mais s’effondra quelques années à peine après l’arrivée des envahisseurs arabo-musulmans. Dix ans après la décapitation sauvage de la Kahina par les hordes musulmanes, son lointain cousin, l’indigne Tarik Ibn Ziad, partait à l’assaut de l’Espagne. Ce zèle ne lui épargnera pas pour autant une mort aussi atroce que celle de la reine des Aurès. Puisque les Berbères semblent volontaires pour tendre leur cou à leurs égorgeurs, pourquoi les épargner.

L’étude du passé de mes ancêtres montre que ceux-ci réservaient le meilleur accueil aux envahisseurs venus de l’Est. Les Phéniciens, devenus Carthaginois, furent les premiers à venir s’installer en Berbèrie. Les Arabes puis les corsaires Ottomans n’eurent eux aussi aucune difficulté à s’y établir. Par contre, les conquérants issus du Nord, Romains, Vandales, Byzantins, puis Français furent systématiquement combattus. Et pourtant l’apport civilisationnel des seconds l’emporte largement sur celui des premiers nommés. Massinissa fut le premier à inaugurer cette politique schizophrénique. Bien qu’allié des Romains, il refusa de promouvoir une civilisation berbéro-romaine à l’instar de la civilisation gallo-romaine. Il préféra s’enticher de culture grecque délaissant sa propre culture. Cette ambivalence est patente à ce jour. C’est ainsi que les Berbères préfèrent aujourd’hui se vautrer dans les ténèbres orientales que de s’abreuver aux lumières occidentales. En Algérie, le FIS remporta haut la main les premières élections libres du pays. En Tunisie post Ben Ali, Ennahda domine la scène politique. Au Maroc, qui a connu plusieurs attentats islamistes, le Roi est encore assez puissant pour maintenir la mouvance islamiste dans certaines limites, mais jusqu’à quand ? En France notamment, les terroristes musulmans sont presque tous d’origine maghrébine, donc berbère.

En Algérie, les Kabyles furent les plus acharnés à combattre la France. Etouffés aujourd’hui par le joug islamiste, ils pleurent l’ancienne puissance coloniale. Cette dernière aurait d’ailleurs tort de remettre les pieds dans l’ex-régence car aussi paradoxal que cela puisse paraitre, elle susciterait le même rejet. Pourtant en 1830, la France n’était pas venue agresser une nation industrieuse et paisible mais elle s’était donnée pour mission d’éradiquer le cancer des pirates ottomans qui rongeait la Méditerranée. Ce grand « lac » ne connut la paix et la prospérité qu’après la disparition de ces barbares qui laissèrent derrière eux une contrée vide de toute industrie et de toute culture. Il me semble que les Français se seraient retirés du guêpier algérien s’ils avaient trouvé des élites indigènes aptes à gouverner le pays. La preuve, après cinquante d’indépendance, ce pays est menacé d’effondrement.

Les Français de souche comme les Français d’adoption doivent tirer les leçons de l’histoire pour éviter de tomber dans le même piège que nous. Riposte Laïque est l’un des fers de lance de ce combat contre l’ennemi mahométan. Surtout ne vous laissez pas intimider ou berner par les champions de la Taqya dont le seul but est de faire tomber la France et les autres pays d’Europe dans le giron musulman. A Dieu ne plaise que cela puisse arriver un jour. Combattez sans merci les frères Ramadan, les Guemriche, Bencheikh, Oubrou et consorts. TOUS les Imams, TOUS les hommes de mosquées et TOUS les musulmans vivant en Europe poursuivent le même objectif. Faites valoir l’éminente personnalité de Charles Martel dont la victoire à Poitiers sauva l’Occident d’une mort certaine.

Si les Berbères étaient restés païens ou chrétiens, leur histoire aurait été tout autre. Nous aurions fait partie de l’aire occidentale et nous aurions évité toute cette haine et toutes ces guerres avec la rive Nord de la Méditerranée. Nous aurions nous aussi produit outre d’autres Saint-Augustin, des Galilée, des Copernic, des Newton, des Voltaire, des Rousseau et autres savants et philosophes. Au lieu de quoi, la présence musulmane nous a évacués de l’histoire. De nos jours, les mahométans essaient d’y retourner en semant la mort, donnée souvent de manière atroce. Les adeptes de cette secte n’ont d’existence que par la faucheuse. Cette sauvagerie leur sera fatale. Et le plus tôt sera le mieux.


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Re: Salem Ben Ammar

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La femme est une perle dans l’islam, la pire insulte qui lui soit faite
23/10/2016 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire

Les musulmans comparent la femme à une perle sans préciser s’il s’agit d’une perle de culture ou naturelle. Quoi qu’il en soit une telle comparaison est méprisante, discriminatoire et misogyne. Ils font passer tout simplement la femme à un objet que l’on s’approprie pour son usage personnel et qui au fond est inutile d’où l’expression enfiler des perles

Et plus grave encore ils ne la considèrent pas comme un humain à part entière. Une perle reste une perle quelque chose d’inerte sans âme ni volonté à laquelle on a pas à lui demander son avis et étrangère à son sort. Jetable, manipulable et cessible. Il fallait dire que la femme a tout notre respect et maîtresse de son destin au même titre que les hommes. Pourquoi la femme musulmane ne dit jamais que le mâle musulman est son minaret ?
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Re: Salem Ben Ammar

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L’arabisme, ce virus mortel pour les nord-africains
Salem Ben Ammar 8 commentaires

Les sud-américains ne sont pas des espagnols malgré eux et leur constitutions ne font pas non plus mention de leur identité hispanique, les brésiliens ne se revendiquent jamais portugais, les américains ne sont pas non plus des anglais contre leur plein gré, ni les turcs ni les perses ne se veulent arabes, ils sont fiers de leur propre identité construite en dehors des pays qui ont façonné leur histoire, alors pourquoi les nord-africains qui sont un peuple dont l’histoire se perd dans la nuit des temps contrairement à celle des arabes et qui avaient brillé de tous leurs éclats pendant des millénaires jusqu’à l’invasion génocidaire des sauterelles arabisées se fondent dans l’identité de leurs bourreaux et éprouvent une immense fierté à se proclamer arabes comme s’ils avaient honte de leurs racines plurielles pré-islamiques.

Mais malgré cela, leurs hommes politiques à la solde de la puissance dominante arabo-musulmane considèrent que leurs populations ne le sont pas assez et ne cessent de multiplier les programmes de ré-arabisation encore et encore allant jusqu’à en faire un axe politique prioritaire, plus important que la lutte contre la pauvreté, l’illettrisme, le chômage, la violence faite aux femmes, les inégalités, la corruption et toutes les innombrables plaies qui gangrènent les sociétés nord-africaines ?

Depuis la décolonisation, il est de bon ton d’inscrire dans le menu de ces peuples abêtis par la misère et la religion le plat indigeste de l’arabisation. Peu importe ses effets secondaires sur leur population, les politicards locaux persistent et signent dans leur obsession à leur mijoter un plat incomestible et mortel pour l’organisme humain. Et comme les nord-africains eux-mêmes semblent s’y accommoder parfaitement, pourquoi vont-ils se priver de cette aubaine qui est leur seul moyen de les maintenir sous l’emprise de cette drogue mortelle et de leur permettre de se prémunir contre le réveil des consciences identitaires fatal pour leur politique scélérate et félonne ?

L’arabisation chronique est un virus inoculé dans le corps nord-africain. Il tétanise l’individu et annihile toutes ses pulsions velléitaires, le rendant amorphe et indifférent pour son propre sort. A cause d’elle, le nord-africain devient un étranger à soi, sans repères ni attaches par rapport à son propre milieu de vie, ignorant de ce qu’il est, incapable de tracer sa voie, ne sachant pas d’où il vient il ne peut pas savoir où il va. Il est comme une feuille morte balayée par le vent, un pantin entre les mains des apprentis prestidigitateurs, ou plutôt des devins de l’arabisation qui fait leur fortune et son malheur.

L’arabisation est un fonds commerce juteux et il n’est pas prêt de se tarir tant que les nord-africains n’ont pas revisité leur histoire et s’être affranchis définitivement de la tutelle de l’arabo-islamisme.

Qui peut dénoncer et s’en soucier du fiasco flagrant de cette politique d’arabisation qui est la tombe de ces peuples car elle constitue un bain d’acide pour l’identité plurielle originelle ? Rarement on a entendu des voix s’élever contre l’arabisation à marche forcée des populations nord-africaines et tout particulièrement en Tunisie. Un quasi-silence d’adhésion sévit dans tous les pays du Maghreb, dispensant ainsi les politicards d’expliquer en quoi cette politique est salutaire et un horizon radieux dans le ciel sombre des pays nord-africains ?

Si l’arabisation était porteuse de valeurs humanistes l’Arabie Saoudite, sa terre d’élection, ne serait pas un bagne à ciel ouvert!

En quoi en réinjectant le sérum arabe dans ses veines va lui procurer une énergie vitale pour sa survie et le sortir de 14 siècles de domination arabo-musulmane, d’obscurantisme, d’ignorance, de nihilisme, de despotisme et de la négation de soi ?

En quoi la consolidation de l’arabisation des programmes scolaires va changer la face de son histoire ? S’il ne l’adopte en quoi va-t-elle lui nuire et s’il ne l’adopte en quoi va-t-elle une source de développement humain et d’épanouissement personnel ? Est-ce 1400 d’arabisation outrancière et à marche forcée ne sont pas assez édifiants et ne parlent pas d’eux-mêmes quant à la vacuité de l’arabisation ?

A chaque fois, on efface tout et on recommence pour des résultats des plus catastrophiques et ça perdurera tant qu’on a pas pris le soin d’analyser l’incompatibilité profonde entre deux cultures diamétralement opposées.

Une culture occultée, violée, méprisée par ses propres enfants au profit de la culture arabe morne, sans relief ni couleur, mortifère, sanguinaire, immobiliste, raciste, pédophile, mais ô combien ouverte et qui a irrigué ces peuples des couleurs de la vie jusqu’au jour où les arabes ont détruit son âme amazigh.

Des foyers de résistance voient de plus en plus le jour comme en Kabylie, au M’Zab victime d’une vague de répressions sanglantes sans précédent et au Rif marocain malgré l’ostracisme politique , voire en Tunisie où des mouvements identitaires amazigh comment à voir le jour.

Les nord-africains doivent enfin prendre conscience que leur véritable indépendance est loin d’être acquise. Ils ne seront jamais des peuples de progrès s’ils continuent à faire des arabes leur modèle suprême.

Quand on est amnésique à son propre passé on ne peut pas être conscient de son présent et encore moins de son avenir.

Dans le contexte nord-africain, l’arabisme ne rime pas avec acculturation et déculturation, il s’agit d’une assimilation violente et contraignante obtenue par l’effacement du modèle culturel amazigh au profit du modèle dominant arabe.
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Re: Salem Ben Ammar

Message non lu par Innana »

Ces textes sont de Salem Ben Amman ?

Intéressants, même si je ne suis pas d'accord sur tout.

Pour Carthage, les phéniciens restaient orientés vers la mer, les romains aussi, sans doute.
Les Arabes, peu nombreux au demeurant, ont envahit tout l'espace. Causant des destruction irréversibles aux citées berbères. La population retournant à un mode de vie nomade.
Quand à la population des montagnes, des terres, il me semble que son mode de vie nomade, sa structure tribale était plus proche du mode de vie des arabes que des romains.
Pour finir, génétiquement, la population est la même de l'Atlantique à l'oasis de Siwa.
Dernière remarque, les coptes égyptiens, les habitants de la Palestine antique restèrent très longtemps chrétiens.
"La liberté, c'est la liberté de dire que 2 et 2 font 4. Lorsque cela est accordé, le reste suit." George Orwell, 1984

DOM JUAN: Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit.
TARTUFFE :Couvrez ce sein que je ne saurais voir:
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées.
DORINE:Vous êtes donc bien tendre à la tentation,
Et la chair sur vos sens fait grande impression!
Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte:
Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte,
Et je vous verrais nu du haut jusques en bas
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Re: Salem Ben Ammar

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Innana
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Re: Salem Ben Ammar

Message non lu par Innana »

Je sais. Mais ils représentaient 40 ou 50% de la,population encore il y a peu.

Je ne comprendrais jamais la protection, la tolérance apportée aux saoudiens par les USA.
Car sans l'appui occidental, en particulier américain, ils ne seraient rien ou si peu.
Même La Mecque pourrais leur être retiré, même leur pays, où ils ne sont que des princes théocrates acides d'or.
Ils,ne valent pas plus que Khadafi ou Sadam Hussein.
Ce sont des dictatures, sur leur propre peuple, suer les milliers d'émigrés qui leur servent d'esclaves.

Les USA ont tellement eu peur des russes, ou autre, qu'ils ont favorisé l'éclosion des racailles religieuses.
Et avant eux les anglais et les français, pour lutter contre l'empire ottoman moribond.
"La liberté, c'est la liberté de dire que 2 et 2 font 4. Lorsque cela est accordé, le reste suit." George Orwell, 1984

DOM JUAN: Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit.
TARTUFFE :Couvrez ce sein que je ne saurais voir:
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées.
DORINE:Vous êtes donc bien tendre à la tentation,
Et la chair sur vos sens fait grande impression!
Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte:
Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte,
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Re: Salem Ben Ammar

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A mon avis, les chrétiens vont disparaitre du monde musulman avec l'aide des USA et d'Israël


La police ne doit plus être l’otage d’un gouvernement socialo-collabo

Publié le 22 octobre 2016 - par Salem Benammar - 2 commentaires - 536 vues
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tchopistoletaeauDis-moi quel est l’état de santé de ta police et je te dirai quel peuple tu es ? Un peuple en pleine déliquescence politique, morale, civilisationnelle, économique et culturelle et en perte de confiance ne peut avoir qu’une police à son image. Or, la police française ne fléchit pas dans sa mission républicaine en dépit d’un manque flagrant de moyens et les obstacles politiques, judiciaires et institutionnels parsemés sur son chemin.

Sans elle il n’y a pas de liberté et de sécurité publique. Elle se meurt et c’est le début de la fin de toute la nation. Les politiques s’en vont mais elle est toujours là tant que le peuple est vivant. C’est pourquoi il est de l’intérêt de tous les Français de lui apporter tout le soutien nécessaire dans cette phase cruciale pour la survie de la France en tant que nation libre, démocratique et souveraine. Elle est confrontée au pire péril de son histoire,elle n’en sortira qu’avec une police forte et respectée et pas une police désarmée et qui n’a pas le droit de se défendre face aux chiens enragés des cités.

Ce n’est pas l’attitude pitoyable et irresponsable du gouvernement socialiste qui va redonner le moral aux policiers. En effet, il préfère plaider aux Nations-Unies la cause des djihadistes sous les feux nourris des Russes à Alep plutôt que d’appeler les Français à descendre dans les rues pour exprimer leur solidarité citoyenne et leur indignation face aux agressions criminelles et récurrentes dont ils sont la cible prioritaire. En multipliant les agressions de plus en plus violentes contre les symboles du pouvoir régalien de l’état, l’éducation, la santé et l’armée, les brigades fascistes islamiques cherchent pour l’instant moins à en découdre directement avec elle (la France ndlr) que de la déstabiliser et la miner psychologiquement afin de faire comprendre à la population qu’aucun rempart ne peut leur résister et le jour viendra où ils obtiendront sa reddition sans coup férir car la police ne sera plus là pour la protéger. Une police qui elle-même n’a pas les moyens d’assurer sa propre sécurité ne peut remplir avec efficacité sa mission de gardienne de l’ordre républicain.

Du pain bénit pour les ennemis de la République qui prolifèrent comme des champignons vénéneux de la famille de l’amanite phalloïde dans les cités interdites, des micro-États au sein de l’état français et qui constituent de surcroît une réserve électorale courtisée par tous les partis politiques dont le FN comme ce fut le cas aux dernières régionales où son candidat avait fait étalage d’un talent de courtisan inédit.

La police est la première otage de cette politique collaborationniste et scélérate. Moins elle est visible et active dans lesdites cités plus on ménage la susceptibilité des fidèles musulmans tout acquis au combat des leurs contre la France mécréante condamnée un jour ou l’autre à tomber comme un fruit mur dans l’escarcelle de l’islam.
Gagner la confiance des électeurs issus des cités pour ne pas se priver de leurs voix plutôt que de redonner confiance à la seule force avec l’armée pour enrayer la montée du péril djihado-islamiste.
Le jour où leurs frères rentreront de Syrie, d’Irak, de Libye et d’autres foyers de la peste islamique de par le monde la police démoralisée sera noyée sous la déferlante des armées d’Allah venues des cités françaises si l’on continue dans cette voie suicidaire pour la France.

Salem Ben Ammar
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Re: Salem Ben Ammar

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Si Daech n’est pas l’islam c’est que Mahomet lui-même n’était pas musulman
Salem Ben Ammar 12 commentaires

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Ce qu’on appelle musulmans modérés sont en réalité les mauvais élèves de l’islam et les musulmans radicaux que l’on veut faire passer pour des transgresseurs et des « dévoyeurs » de l’islam , alors qu’ils sont des musulmans tout court, sont les bons élèves de la classe auxquels le Grand Proviseur Mahomet promet les plus belles des gratifications libidinales et buccales.

Le Coran promet le paradis à ceux qui font de leur vie un don pour Allah qui ne se posent ni des questions ni doivent exprimer le moindre doute sur la sincérité de la promesse (S. 4, V. 74) : “ Qu’ils combattent donc dans le chemin de Dieu, ceux qui vendent la vie présente contre l’ultime. Et quiconque combat dans le chemin de Dieu, tué ou vainqueur, nous lui donnerons bientôt un énorme salaire ”.

C’est grâce à ces bons élèves de la classe de la tradition musulmane du sacrifice de sa vie pour la gloire de l’islam perdure depuis 1435 ans. Le bon musulman est celui qui ne recule devant rien téméraire et jusqu’au-boutiste, cruel et dévoré par ses fantasmes du plaisir charnel et des ruisseaux de vin ( S. 47, V. 38) dont il s’enivrera pour l’éternité, exalté et fanatique, insensible et incompatissant, mu par sa seule haine de soi et de l’autre dont il doit purifier la terre de sa présence. Une machine de guerre à lui tout seul, justicier, inquisiteur et bourreau. Adepte de la justice expéditive et de l’exécution sommaire, il se veut au-dessus des lois humaines,engoncé dans son armure en acier il marche sur la ville tel un Panzer écrasant tout sur un passage sans mesurer l’étendue des dégâts et des horreurs infligés à ceux que le Coran désigne comme les ennemis de l’islam (S. 5, V. 51; S. 9, V. 29)

Couvert par son impunité théologique et dogmatique et totalement disculpés de ses crimes car c’est Allah lui-même qui a tué les mécréants par sa main (S.8, V. 17, il n’a aucune conscience de ses actes, perdant toute notion d’humanité, hypnotisé par le miroir aux alouettes que lui fait miroiter ses deux seigneurs et maîtres, auquel il doit obéir aveuglement au doigt et à l’oeil telle une âme damnée, il n’y a pas pour lui de crime de guerre ou de crime contre l’humanité qui tienne.

Déresponsabilisé, déculpabilisé, sans volonté propre, un cannibale-vampire jamais repu et insatiable, Allah et Mahomet l’assurent de leur protection et l’encouragent dans la voie du combat à mort contre leurs opposants.le cheikh ismaélien de Syrie, Sinan (1167-1193), disait à ses fédayins ( celui qui se sacrifie pour quelque chose ou quelqu’un) :
« Les véritables musulmans sont ceux qui tuent d’autres hommes et se font ensuite tuer eux-mêmes. » .
Le bon élève musulman ne contrevient aucunement aux lois de l’islam, il en est la matière vivante, c’est celui qui les transpose les mieux dans la réalité. Son combat contre les « mécréants » est sans relâche et permanent. Il doit les harceler quel qu’en soit le prix. Il n’agit pas de sa propre initiative tous ses faits, forfaits et méfaits sont frappés du sceau du sacré et encadrés par un corpus de règles définies par le Coran et la tradition mahométane (S. 4, V. 66-69 entre autres ).
Il est dans la voie d’Allah, fi sabil allah, et n’a pas par conséquent à s’embarrasser de scrupules superflus.

Le triomphe de la parole d’Allah et sa propagation aux quatre coins de la terre n’a de prix que dans l’anéantissement de la vie des incrédules, les infidèles, les juifs, les associateurs, les blasphémateurs, les hypocrites, les chrétiens, et tous ceux qui osent défier volonté. « Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants…

Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes. » (S. 2. V.191-193)
« Certes, ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment. Allah est certes Puissant et Sage! » (S. 2.V.191)

« Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur »(S. 4. V.89)

Al Bukhari (810-870)
“ Lorsque vous rencontrez l’ennemi, soyez endurants et sachez que le paradis est à l’ombre des sabres ”…

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En toute évidence les mauvais élèves sont très en deçà des normes définies par l’islam pour prétendre à cette rétribution divine qui nourrissent les fantasmes des musulmans.En effet, ils ne connaissent strictement rien aux principes théologiques et idéologiques de leur soi-disant religion et qui suivent benoîtement le mouvement sans savoir de quoi il se retourne qui font leur cuisine musulmane avec des ingrédients édulcorés dont certains sont empreints de paganisme, de judaïsme et de christianisme, qu’on peut qualifier d’idiots utiles et il y a ceux qui oeuvrent pour la gloire de l’islam qui ont appris parfaitement la leçon et qui mettent en application fidèlement les principes fondamentaux de l’islam.

Les musulmans dits modérés sont des cancres, des pitres, des charlots, ternes, dissipés et des suivistes qui se donnent l’illusion de tout savoir mais qui ne savent rien, des arrivistes et des incultes, il y a les autres qui sont les premiers de la classe, qui excellent dans la compréhension des textes fondateurs de l’islam.

La palme revient incontestablement à Daech qui fait l’honneur de l’islam et le malheur de l’humanité.
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Re: Salem Ben Ammar

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Tous les musulmans sont modérés tant qu’iils ne sont pas passés à l’acte
Salem Ben Ammar 2 commentaires

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Le vrai musulman est par définition pernicieux et sournois qui attend patiemment son heure pour passer à l’action. Ne pas éveiller les soupçons, nul besoin d’afficher les signes ostentatoires pour marquer son appartenance pseudo-religieuse.

Le musulman costume cravate, lisse, beau parleur et hâbleur, séducteur et enjoliveur, ne se déparant pas de son sourire, masque en réalité ses crocs de carnassier. Se faisant passer pour un homme de dialogue et d’ouverture d’esprit, ne donnant jamais l’impression qu’il perd la main sur le débat, le musulman ne se laisse jamais déstabiliser par ses contradicteurs. Au besoin, il répond à coté, ou ne répond pas.

Aucun signe de nervosité ni d’énervement, n’hésitant pas à se montrer critique de ses dogmes, genre Bencheikh, Chebel, Boubakeur, ou Ramadan, les chouchous des médias-collabos, pour mieux couper l’herbe sous les pieds de ses adversaires et ne pas se trouver acculé comme un boxeur dans les cordes, et recevoir les coups sans pouvoir répliquer.

Il doit savoir user de finesse d’esprit, toujours aimable et affable, main tendue vers ceux-là-mêmes qu’il maudit 17 fois par jour dans sa fatiha démoniaque, qui dit que sont les juifs et les chrétiens sont égarés dans la voie de la mécréance et l’association.

Poignée de main chaleureuse, « fraternelle », à ces impies que Mahomet interdit de saluer, sauf pour répondre à leurs saluts – la courtoisie et les règles de bienséance doivent être de mises pour la cause de l’islam. Allah ne saurait lui tenir grief d’avoir serré les mains de ces êtres impurs qui ne le seront plus s’il réussit à les amener dans la voie d’Allah. C’est un péché pour le bien de l’islam.

Habile manoeuvrier, pervers, perfide et manipulateur-né, il ne doit rien laisser transparaître de sa propre personnalité façonnée par un endoctrinement du berceau jusqu’à la mort, il doit donner une image de soi rassurante et pondérée, qui tranche avec l’image du musulman fermé, frustre, agité, hystérique, colérique, au visage barbu effrayant et bestial, déformé par les stigmates de la haine, un visage talibanisé ou daechien.

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Jovial, apaisé pour gagner la confiance de son auditoire, devant faire en sorte que ses interlocuteurs se trouvent eux dans l’embarras à cause de la mauvaise opinion qu’ils ont des musulmans, et pour se déculpabiliser, faire acte de pénitence, ce qui est la première étape dans le processus de soumission et de dhimmitude (pour ceux qui souhaitent garder leur foi d’origine).

« Pas d’amalgame », « ce n’est pas ça l’islam », « les musulmans sont les premières victimes de l’islamisme », « l’islam est une religion de paix », »ne mettons pas tous les musulmans dans le même sac il y a des bons et des mauvais comme dans toutes les religions », « il y a des extrémistes dans toutes les religions », le chapelet des litanies flatteuses sèmerait le doute chez Mahomet lui-même s’il ressuscitait.

Les musulmans professent tous la même foi, s’abreuvent aux mêmes sources et sont tenus d’appliquer les mêmes règles cultuelles en vue d’atteindre le même objectif: celui d’imposer un nouvel ordre mondial sous la houlette de l’islam:

« Les Gouvernements du monde doivent savoir qu’Islam ne peut pas être battu. Islam sera victorieux dans tous les pays du monde et Islam et les enseignements du Qur’an prédominera sur le monde. » (Ayatollah Khomeini)

Faire la différence entre le musulman radical et le musulman soft, comme disent ceux qui les embobinent sur les ondes de radio et à la télévision, c’est comme faire un distinguo entre le bon et le méchant nazi.

L’islam n’adopte pas la même typologie qu’eux, car pour lui, le vrai musulman est celui qui vit et respire l’islam intégralement, et le mauvais musulman, celui qui prend des libertés par rapport au dogme. A lui l’islam promet le pire des châtiments.

Il n’y a pas de différence entre le vrai musulman, djihadiste qui tue et se fait tuer dans la voie d’Allah en Syrie, et celui qui fait la promotion de l’islam de paix. Ils convergent tous les deux vers le même objectif, tout en employant des modes opératoires opposés. Leur but commun : assurer la victoire finale de l’islam.

C’est pourquoi on peut les qualifier de « djihadistes du verbe ».

Une parole douce, mielleuse et châtiée pour tromper la vigilance de l’opinion publique, de plus en plus hostile à l’islam, et à qui les gouvernants-capitulards demandent de changer leur perception de l’islam, de faire preuve de mansuétude et de compréhension à l’égard des musulmans.

On attendra longtemps et en vain l’islam qui sera compatible avec la démocratie. Tout cela n’est qu’utopie et illusion d’optique.

Si l’islam avait foi dans la démocratie, il l’aurait faite loi dans ses propres terres.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info
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A chaque fois qu’un djihadiste passe à l’acte, les musulmans modérés jubilent de joie
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En ce vendredi 27 novembre 2014 pendant que la France pleure ses enfants victimes de la barbarie musulmane, les musulmans continuent à réciter dans leurs prières les versets qui ont guidé la main des tueurs. Evidemment tous les musulmans n’appliquent pas à la lettre l’enseignement coranique qui mute une colombe en prédateur féroce et un enfant de chœur en bombe humaine, mais ils ne le rejettent pas pour autant.
Ils se nourrissent des mêmes préceptes que les terroristes, ces vrais enfants du couple satanique Allah et Mahomet tant vénéré par tous les musulmans et pour lequel ils sont capables eux-mêmes de tuer et se faire tuer, ils ne peuvent donc prétendre objectivement qu’ils ne sont pas moralement et idéologiquement concernés par la pire nuit de Cristal de son histoire.
Les djihadistes d’aujourd’hui sont les musulmans qui n’étaient pas auparavant dans le passage à l’acte. Ce n’est pas en allant combattre les djihadistes en Syrie et en Irak, voire bientôt en Libye, que l’on va tarir les sources du djihad, il est consubstantiel à l’islam.
Tant que les musulmans n’en ont pas fini avec leur sacro-saint dogme de l’immuabilité du Coran afin de l’expurger de ses sourates ultra-violentes, liberticides, ethnocentriques, cosmiques et impérialistes qui font l’apologie de la haine de l’autre, du juif, des chrétiens, des « infidèles », des apostats, qui passent pour être une véritable solution finale pour l’humanité non-musulmane qui refuse de se plier aux lois de l’islam, le djihad et par conséquent l’islam constitue le plus grave péril que l’humanité n’ait jamais connu. Pire encore que le péril nazi, car la vermine djihadiste qui progresse que les attentats terroristes, chaque attentat fait naître des nouvelles vocations chez les jeunes musulmans pris dans la spirale nihiliste, prolifère partout dans le monde et fascine de plus en plus des jeunes musulmans tout heureux de trouver dans la voie du djihad un vecteur pour se construire une illusion d’identité forte et leur procurer des sentiments d’invincibilité et de toute puissance pour venger l’islam des humiliations que l’Occident lui a infligées, tenu pour responsable de la fin du Califat ottoman.
N’est-ce pas cet Occident tenu tant honni par les musulmans et notamment les jeunes des cités-émirats qui ne sont que les pouvoirs publics européens ont laissé se développer en toute impunité et bienveillance pour acheter un zeste de paix sociale qui est leur première cible ?
Ils ont beau être les premiers à profiter de ses bienfaits, que cela n’en déplaise aux défenseurs de la veuve et de l’orphelin musulmans soi-disant stigmatisés, ostracisés, marginalisés et injustement maltraités par leurs anciens colonisateurs, mais l’attrait de l’islam auquel ils veulent rendre son prétendu lustre passé est bien plus important que la main qui les nourrit et qu’ils ne jurent que par sa destruction.
Leurs délires messianiques leur font perdre la raison et décuplent leurs pulsions autodestructrices et mortifères. Pour eux, l’heure de la reconquête a sonné et le futur gouvernement mondial sous l’égide de l’islam est en marche. Ils y croient dur comme fer. Il n’y a pas de respect de la vie qui tienne, seule la volonté d’Allah et son enseignement guident leurs pas. Ils sont des objets entre ses mains, ils ne vivent que pour et par les besoins de sa cause. Il n’y a de vie que dans la dissolution de la sienne et sa dilution dans le bain d’acide sulfurique que Mahomet a concocté pour les crédules.
L’utopie musulmane fait l’effet sur eux d’une drogue de la pire espèce. Ils ne mesurent guère les conséquences de leurs actes ni sur eux-mêmes et encore moins sur autrui. On les appelle des kamikazes, ils ne sont en réalité que de la chair à canon de l’islam pour terroriser le monde jusqu’il finisse par tomber sous sa dictature. Rien d’autre qu’une arme de destruction massive et psychologique.
Plus ils appuient sur la gâchette de leur Kalachnikov et actionnent leur ceinture d’explosifs au milieu de la foule, plus les musulmans hypocrites jubilent de leurs exploits morbides dans leurs mosquées et plus le monde tremble de peur et de frayeur.
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Re: Salem Ben Ammar

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Avec la Charia la loi de l’islam, la femme est coupable d’avoir été violée
Salem Ben Ammar Un commentaire


On reconnaît un Etat de droit à sa capacité à juger les faits sans préjugés et parti pris. Mais la justice pénale tunisienne n’en a cure de ce principe élémentaire de droit. Au lieu de qualifier et juger d’abord les faits aggravés de viol et d’extorsion de fonds sous la menace d’arme à feu, de surcroît une arme de service, commis par des agents dépositaires de l’autorité publique et ce pendant l’exercice de leurs fonctions, elle commence par faire le procès des victimes pour atteintes ostentatoires aux bonnes mœurs, un chef d’inculpation abscons, sur la simple foi d’un procès-verbal vicié entaché d’irrégularités établi par des policiers-violeurs-racketteurs qui devrait être en tout état de cause frappé de nullité.

Comment peut-on être juge et partie sans que cela ne soulève de sérieux doutes sur la validité du procès-verbal ? On ne peut que s’interroger sur sa portée juridique, alors qu’il a été rédigé par les auteurs présumés du crime pour viol.

La justice tunisienne s’appuyant sur un constat entaché d’irrégularités tant dans la forme que dans le fond fait preuve d’un sens particulier de l’équité et de professionnalisme. A trop vouloir privilégier la morale publique aux détriments des droits des victimes, elle se couvre du voile de l’ignominie et l’infamie à l’image de celle qui a cours sous les cieux de son modèle wahhabite qui ne reconnaît pas le viol et où la victime d’un viol est passible de la peine de mort (Women and sexuality in Musulim societies Editions WWHR 2000). Il est à craindre que la victime tunisienne ne subisse le sort des autres femmes violées en Arabie Saoudite, au Yémen, à Dubaï, au Pakistan, au Bengladesh. En 2007, une chiite violée par sept hommes en Arabie Saoudite a été condamnée à deux cents coups de fouet et six mois de prison ferme. Telle autre victime d’un viol en bande organisée à Dubaï a été condamnée à deux ans de prison ferme. Une jeune adolescente violée et contrainte à épouser son violeur au Maroc et qui a préféré mettre fin à ses jours plutôt que de subir la double peine.Afficher l'image d'origine

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Dans le droit pénal musulman non-codifié faisant ainsi la part belle à l’arbitraire et aux spéculations juridiques à tout vent, le viol reste assimilé à une relation extraconjugale en présence des quatre témoins requis, de sexe masculin et de confession musulmane, censés fournir des preuves intangibles sur la matérialité de l’acte. Selon la sourate 4 « les femmes », verset 15 qui fixe comme condition de preuve le passage d’un fil entre les partenaires dans une relation amoureuse jusqu’à ce qu’il bute sur un obstacle.

Dans les affaires de viol, il y a rarement des témoins, comment la victime peut-elle attester de la véracité d’un viol alors que sa parole compte pour la moitié de celle d’un homme ? Pourquoi le droit musulman n’accorde pas les mêmes capacités juridiques à la femme qu’à l’homme ? Qu’est ce qu’un droit qui se veut moral alors qu’il est dépourvu de toute moralité dans le sens d’équité ? Quand on se veut une religion juste, pourquoi autant d’injustices frappant les femmes ? Pourquoi la femme est-elle considérée comme une musulmane entièrement à part et non à part entière ? Avec tous les interdits oppressants qui pèsent sur elle, il y a effectivement matière à se poser des questions quant au vrai sens de la morale religieuse qui sous-tend le droit musulman. Des questions qui resteront sans réponses parce qu’elles touchent au domaine du sacré. Personne ne peut s’y aventurer sans que cela ne heurte la susceptibilité des musulmans.

Le vrai danger qui menace les droits des personnes, c’est que les musulmans s’abritent derrière le sacré qui est le fondement de leur morale publique pour verrouiller tout débat sur la condition féminine dans le monde musulman. Leur argument de défense consiste toujours à dire : Dieu a fixé les droits et devoirs de chaque sexe, on ne peut ni en discuter, ni changer ou modifier l’ordre naturel des choses. Tout doit rester immuable et figé. Seuls le rigorisme et la soumission ont droit de cité. Hommes et femmes se doivent de respecter les normes obligatoires telles qu’elles sont prescrites par la religion, et si une femme se trouve victime d’une agression sexuelle qui serait la conséquence de son inobservation des règles spécifiques de sa religion, le juge musulman doit juger plutôt de la morale que des faits allégués.

En procédant de la sorte, la Tunisie met le cap sur la charia en toute clarté. Avec cette affaire, elle fait une entrée spectaculaire dans le cercle véreux des pays qui font de la morale religieuse un blanc-seing pour les hommes d’affirmer leur autorité sur les femmes et d’en faire un objet d’asservissement sexuel. Le viol conjugal est inconnu dans le droit musulman.

La Tunisie après avoir trahi l’esprit de sa Révolution, ne va pas manquer son rendez-vous avec la charia qui était pourtant à des années-lumière des revendications des manifestants d’avant le 14 janvier 2011.

Infidèle à son identité tuniso-tunisienne, la voilà qui se veut fidèle à une identité synonyme d’archaïsme, d’esclavagisme, de totalitarisme et d’immobilisme. Le virage négocié par la justice pénale tunisienne aux couleurs de la théocratie religieuse portant les griffes d’Ennahdha dessine le visage de ce que ce sera la nouvelle Tunisie. Une Tunisie qui aura perdu son âme tunisienne pour ressembler aux pays de la barbarie humaine : la Somalie, l’Afghanistan, le Pakistan, l’Arabie Saoudite….

Plutôt que de juger les coupables, elle juge les victimes surtout quand il s’agit d’une femme non-voilée, même la voilée n’est pas à l’abri non plus, qui est déjà une coupable en puissance, au point que l’on se demande si elle ne cherche pas à déculpabiliser les auteurs du viol et de racket en bande organisée avec menace de mort afin de faire tomber le plus cyniquement du monde les lourdes charges qui pèsent sur les représentants de l’anarchie juridique nahdhaouiste.

De même qu’elle aurait été plus avisée de s’intéresser à la personnalité des policiers, à leurs états de service, leurs passés judiciaires, leurs dates de recrutement au Ministère de l’intérieur aux mœurs des plus douteuses, immorales et criminelles, etc., elle préfère livrer en pâture aux chiens nahdhaouistes la vie des innocents dont le seul tort, à supposer qu’il en soit, est d’avoir choisi par pudeur publique un endroit isolé à l’abri des regards, où ils ont pu garer leur véhicule en toute tranquillité et sans que cela ne constitue un quelconque trouble caractérisé de l’ordre public, ni exhibitionnisme, ni ébats amoureux ou tout autre comportement fautif de nature à constituer une violation de la morale publique.

Comment deux individus à bord de leur véhicule personnel qui est censé être un espace privé quand bien même leur véhicule est stationné dans un espace public, peuvent-ils enfreindre le droit pénal tunisien ? Si infraction il y a elle ne peut qu’être de nature administrative, et en aucun cas tomber dans le champ des juridictions pénales du pays.

De même quel crédit doit-on donner à des propos indécents et inqualifiables qui sont une violation des droits des victimes et une ingérence grave dans la sphère de la justice tenus par deux ministres de tutelle de l’intérieur et de la justice à la probité aléatoire, l’un condamné pour des faits aggravés d’agression sexuelle sur mineur et l’autre fortement soupçonné de délit de favoritisme pour avoir permis la libération de son frère délinquant sexuel notoire ? La morale chez eux est à géométrie variable et n’a de sens que si elle est soi-disant d’essence divine et non humaine et nécessaire au bon fonctionnement de la société dans toute sa pluralité.

Quel crédit accorde-t-on à des témoignages de policiers qui se trouvent accusés et accusateurs ? Ce qui laisse peser des sérieuses suspicions et réserves quant à recevabilité de leurs témoignages ainsi que la validité juridique de leur constat.

Pourquoi la justice pénale tunisienne a-t-elle mis autant de zèle et de célérité pour faire le procès des victimes en s’en tenant à des simples faits qui ne reposent sur aucun fondement juridique sérieux motivés par les seules allégations des policiers-violeurs-tortionnaires et racketteurs ? Dans un état de droit et de justice indépendante, on commence par rendre justice aux victimes avant d’envisager des éventuelles poursuites pour des faits mineurs qui leur seraient reprochés et surtout au vu du caractère fortement suspect du chef d’accusation.

Cette affaire d’une extrême gravité pour les victimes et qui devrait relever du champ de compétence de la cour d’assises tunisienne, a pris une tournure politique, ubuesque et kafkaïenne, digne de l’état-bananier, de l’état-voyou qu’est devenu la Tunisie, où l’on se garde de juger les coupables pour juger les victimes et dissuader ainsi d’autres victimes d’abus de droit et de violence policière à ester en justice, en se trouvant sur le banc de l’infamie juridique. Une mise à mort programmée des droits des victimes apparaît en filigrane de cette affaire qui jette un véritable discrédit sur le pays du même acabit que la violation et la mise à sac des locaux de l’Ambassade américaine. La Tunisie s’inscrit immanquablement dans le sillage des Etats musulmans les plus réactionnaires au système juridique appuyé sur les lois de la charia.

Il n’est donc pas étonnant de voir les victimes déchues de leurs droits pour se trouver sur le banc des accusés. Surtout quand la victime n’est pas de sexe masculin. Dans le droit musulman, il n’existe pas d’égalité de traitement entre les sexes. Pour schématiser, l’homme est présumé innocent, tandis que la femme est une coupable potentielle à cause du caractère maléfique que lui impute la religion. Les hommes sont juridiquement considérés supérieurs en droit aux femmes. C’est pourquoi la victime de ce viol immonde est jugée pour des faits imaginaires, farfelus et abracadabrants, en dépit de tout bon sens moral et juridique. Comme si l’on veut la pénaliser, la sanctionner et la punir d’avoir osé mettre en cause la toute puissance masculine, surtout quand elle est censée représenter l’ordre dominant d’essence pseudo divine. Que vaut la parole d’une femme devant le témoignage de ses accusateurs-violeurs ?

Les quatre témoins requis ne sont pas là pour témoigner selon la charia, il reste pourtant les preuves implacables de l’A.D.N. mais qui sont inconnus par cette dernière. Si jamais, elle et son compagnon se trouvent condamnés pour outrage aux bonnes mœurs, il y a tout lieu de croire que les policiers seront innocentés. En toute évidence, le ministère public tunisien fait sienne la doctrine juridique d’Ennahdha basée sur la notion de la morale publique d’essence religieuse afin d’occulter la réalité des faits, de les nier, pour incompatibilité juridique avec les bonnes mœurs. Ouvrant ainsi la voie royale à l’injustice et aux abus de pouvoir et de droit.

Une conception du droit et de la justice qui laisse augurer un avenir des plus liberticides et despotiques pour la Tunisie.

En cherchant à élever la morale, notion abstraite et absconse, fondée sur le bien et le mal au-dessus des lois, Ennahdha ne fait plus mystère de sa volonté d’imposer aux tunisiens un type de société liberticide, carcérale, et concentrationnaire pour les femmes. Cette affaire n’est en aucun cas le prélude d’un régime fasciste, elle porte en elle tous les ferments de l’archaïsme et le rigorisme wahhabite.

La Tunisie ne va pas tomber sous les coups de butoir du fascisme islamique, elle est déjà tombée sous le joug du sectarisme wahhabite. Pour paraphraser Jean de la Fontaine : Selon que vous êtes musulman ou femme musulmane voire non -musulman, la cour de droit canon musulman vous rendra blanc ou noir. Enfin qu’est ce qu’une morale religieuse sans morale elle-même ? Un ordre juridique prétendument moral se doit de juger les coupables avant les victimes et ne pas déclarer coupables d’avoir été victimes.

Toute justice culpabilisant les êtres humains à raison de leur sexe, origine, croyance, à cause des préjugés négatifs véhiculés par les dogmes religieux et les idéologies est une justice inique,immorale, inhumaine, raciste, nazie et barbare.

On ne fait pas des présupposés des arguments factuels.

Quelle société de demain le monde veut-il laisser en héritage aux générations futures avec la Charia qui fait loi et l’islam faisant foi ?
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Re: Salem Ben Ammar

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Les jihadistes ne défigurent pas l’islam, ils sont les meilleurs élèves de sa classe

Salem Ben Ammar Laissez un commentaire pour l'amour d'Allah Puissant et Sage

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Pourquoi de tous les systèmes de croyance, le seul qui engendre le plus grand nombre des sociopathes, des primates une sorte d’islamopithèques et des bombes humaines est l’islam ?

Ni le judaïsme, ni le christianisme, ni les Témoins de Jéhovah, ou les Evangélistes, ne font faire naître chez leurs fidèles même les plus fondamentalistes des vocations nihilistes, suicidaires, négatrices de la vie, ultra-violentes, comme dans la religion musulmane.

Ceci étant, je me demande pourquoi les musulmans qui lisent le Coran n’empruntent pas la voie du djihad et ne deviennent pas des exterminateurs comme certains de leurs coreligionnaires.

La lecture du Coran produit-elle des effets plus dangereux, altérants et nocifs chez les uns plus que les autres ?

Est-ce à dire que le Coran ne peut pas être laissé entre les mains de tous les musulmans à cause des ravages qu’il peut provoquer chez certains ? Et s’ils lisaient la Thora ou le Nouveau Testament ?

Il est difficile de nier l’inexistence d’une corrélation entre la lecture du Coran et le basculement de certains musulmans dans la barbarie et les crimes contre l’humanité.

Pourtant, les musulmans sont les premières victimes de la terreur djihadiste, alors qu’ils s’abreuvent tous aux mêmes sources, sont tous censés avoir capté le même message doctrinaire, professent tous la même foi en Allah et Mahomet et observent tous les mêmes obligations cultuelles.

Mais ils ne présenteraient pas tous pour autant une menace, ni pour leur vie ni pour l’humanité, et leurs pauvres, leurs voyous et leurs marginaux ne sont pas non plus tous des bombes humaines potentielles, il n’empêche que ce sont les leurs, rien que les leurs, y compris les convertis de plus en plus nombreux, qui font peser le plus grave péril à l’humanité depuis le nazisme et ça devrait justement les interpeller, mais un musulman qui se questionne cesse de l’être et devient un apostat.

Si la majorité des musulmans semblent immunisés contre le virus djihadiste et encore à force de se frotter le front contre le tapis de prière, tous ne peuvent pas en dire autant et laissent supposer qu’il existe des sujets plus prédisposés que d’autres à la contamination virale djihadiste. Comme s’il s’agissait d’un déficit immunitaire spécifique à certains musulmans.

A moins qu’il ne s’agisse d’un profil psychologique type qu’on ne rencontre que parmi les adorateurs d’Allah et de son alter ego Mahomet ou l’inverse, car dans leur panthéon on ne ne sait qui est plus dieu que l’autre et au regard de leurs douleurs légendaires pour des caricatures inoffensives, ce serait Mahomet leur vrai Allah est juste un avatar pour donner une légitimité mystico- psychédélique à son message fruit de ses crises neurologiques. Cette ambiguïté serait à l’origine cet état de confusion mentale qui les caractérise et un facteur de développement d’une certaine forme de schizophrénie chez eux.

On peut croire que les musulmans ne sont pas tous perméables à l’utopie djihadiste, mais rien ne prouve qu’il y a une frontière étanche entre les musulmans atteints du virus psycho-idéolgico-neurologique du djihad et ceux qui en seraient immunisés. Si tel n’est pas le cas, c’est à eux et à eux seuls de nettoyer leurs écuries d’Augias et d’aider leurs coreligionnaires séduits par les chants des sirènes coraniques, terreau fertile au djihad, de sortir du guêpier du djihad dont ils ne sont pas eux-mêmes à l’abri.

Le danger vient du Coran lui-même. C’est aux musulmans de prendre leurs responsabilités et d’en assumer les conséquences.

Soit ils éradiquent la violence en leur sein, soit ils sont complices.
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Re: Salem Ben Ammar

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Femmes musulmanes, vous êtes la pire calamité pour Mahomet
Salem Ben Ammar 2 commentaires

« Je n’ai laissé derrière moi une cause de tentation plus funeste aux hommes que les femmes. » Chères musulmanes voilées ou pas et quoi que vous fassiez vous restez une calamité pour votre Mahomet. « Je n’ai pas vu une femme au paradis elles peuplent l’enfer comme les rats dans leurs tanières. » Des propos qui doivent lui valoir mépris et une bonne corde s’il était de ce monde et vous le vénérez comme si vous étiez dépourvues de discernement ou plutôt de « foi et de raison »

De peur de vous voir égarées dans le mauvais chemin il vous a mis sous la tutelle éternelle de vos hommes qui ont autorité sur vous et auxquels vous devez obéir au doigt et à l’œil si vous voulez être parmi les 72 femmes de joie qui lui sont promises au grand bordel du Fardaouss.

Il ne vous suffit de remplir votre devoir cultuel vous avez l’obligation de préserver votre chasteté et de n’être que sa petite chose malléable à souhait si vous ne voulez pas cramer en enfer. Et si par malheur il vous vient à l’idée de ne pas céder à ses assauts virils vous aurez tous les anges maléfiques pour vous lapider toute la nuit.

Comment les anges peuvent-ils être des figures supposés être doux comme des agneaux pouvaient être dans votre théologie des bourreaux ?

Il est prescrit au musulman de corriger la femme désobéissante et rebelle et vous-mêmes vous semblez vous en accommoder parfaitement sans rechigner en donnant l’impression que vous en éprouvez une certaine jouissance organique.

Encore un mystère impénétrable comme un musulman qui laboure son champ aux dimensions du corps d’une femme.
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Re: Salem Ben Ammar

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Salem Benammar

Tous les pays musulmans pas plus anglophones que le chameau saoudien ne brille guère sur la scène mondiale. Je peux les citer un par un tous aussi nuls les uns comme les autres. Le problème n'est pas l'apprentissage de telle ou telle langue étrange c'est le substrat culturel et religieux qui est le vrai frein de leur développement. Mesdames et Messieurs les francophobes tunisiens qui sont légion dans ce pays qui étouffent sous des montagnes d'ordures ménagères et dont certains de ses ressortissants excellent dans le terrorisme et djihad du sexe halal le mal est en vous et ce n'est pas la faute à la langue française qui vous a tant apporté plus que l'arabe la langue de vos maîtres violeurs de votre identité. Vous êtes sans savoir que le recul du français à l'école depuis Mohamed Mali s'est accompagné par la montée de l'obscurantisme et le fanatisme musulmans.Vous voulez angliciser l'enseignement pourquoi faire pour devenir une vassale wahhabite ? Quant à votre marionnette de sinistre de l'éducation il ferait mieux de stopper l'islamisation de l'enseignement et qu'il arrête de déverser son fiel sur le français qui l'avait nourri au temps où il traînait à la Place de la Sorbonne. Encore un qui crache dans la soupe et vomit Bourguiba. Un faux-nez nahdhaoui ?

Regardez l'état des pays où l'islam est roi. Si cela vous inspire et le pire est que vous en subissiez le contre-coup avec les flots incessants des migrants fuyant leurs misérables rafiots mais qui une fois chez vous reproduisent ce qu'ils ont laissé derrière eux tout en voulant vous entraîner dans leur descente aux enfers, n'attendez plus pour vous y soumettre. De toutes les façons ce sera l'islam ou la mort. Vous l'aimez tellement que vous en perdiez la raison. Vous ne pouvez pas dire que vous êtes contre l'islam tout en votant pour les courtisans des voix des musulmans. En votant pour eux vous votez aussi pour l'islam et vous l'intronisez ainsi comme votre maître Qu'avez-vous fait pour sauver votre France quand il était encore temps et vous n'avez pensé qu'à votre confort personnel.
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Re: Salem Ben Ammar

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A défaut d’encourager le viol, l’islam ne le condamne pas pour autant
Salem Ben Ammar Laisser un commentaire

Rien ne permet de dire explicitement que le viol, « eghtissab » en arabe, est absolument prohibé par le Coran. Autant il condamne sans réserve l’adultère autant il reste muet en ce qui concerne le viol que certains assimilent à l’adultère, « zina » en arabe. Ce qui est un comble. L’adultère est un rapport consenti hors mariage, appelé fornication, entre les 2 partenaires, autant le viol est un rapport sexuel violent, contraint et forcé imposé de force à la femme. De même que les hadiths restent quelque peu flous en ce qui concerne le viol, assimilé selon Ibn Kathir dans son exégèse de la fameuse sourate [2 : 223] qui confère à la femme un statut de champ de labour en référence à l’abondance et à la fécondité, que son mari peut labourer quand et comme bon lui semble, il s’agit plutôt de position que l’homme doit adopter avec sa femme, c’est-à-dire la position désirée pour l’acte sexuel proprement dit, excluant la position verso, en l’occurrence la sodomie parce qu’elle n’a pas pour finalité la procréation.

Ainsi, et en toute évidence, quand bien même l’Islam condamne les rapports sexuels hors mariage, il reste très ambigu en ce qui concerne la notion du viol qu’il confond soit avec la fornication dans le Coran soit avec la sodomie dans les hadiths. Cette double confusion dans les sources de la foi musulmane entre le viol et la fornication d’une part et le viol et la sodomie d’autre part, à défaut d’être un signal d’encouragement à la toute puissance masculine maîtresse consacrée du corps de la femme, laisse la porte ouverte au viol, conférant une sorte d’impunité dogmatique aux violeurs potentiels.

Nul doute qu’il existe un véritable vide juridique de droit Canon qui ne peut que les immuniser contre toute forme de condamnation. Pourquoi, les sources du droit musulman se plaisent-elles à évoquer les rapports hors mariage, comme si tous les hommes étaient censés être père et époux, et pas tout simplement de l’homme non-marié, le célibataire ? A supposer que l’Islam prohibe le viol, pourquoi la femme n’a pas le statut de victime comme il transparaît à travers les innombrables cas de viol dans les pays musulmans où de victime est jugée coupable condamnée soit à la prison soit contrainte à épouser son violeur ? N’est-elle pas non plus considérée comme un butin, « ghanima » en arabe, au même titre que le bétail et les biens razziés à l’époque du prophète même, dotée du statut d’esclavage sexuel ? Ne dit-on pas qu’il était permis de dévoiler dans le sens violer les captives que le Coran est loin de désapprouver ? Il semble que l’on doit s’assurer du plein consentement de la captive pour entretenir une relation sexuelle avec elle, une espèce de viol par consentement.

Que vaut la parole d’une femme victime de rapports non-consentis alors que sa parole compte pour la moitié de celle de l’homme selon le droit musulman qui lui fait obligation de l’étayer par le témoignage de 4 hommes musulmans, et par extrapolation de 8 femmes ? L’Islam n’encourage pas le viol, mais ne l’interdit pas non plus ne serait-ce au regard de les « Sirats » du Prophète et de ses Compagnons que les nostalgiques pathétiques de la pureté originelle de l’Islam qui considérait la femme comme un être funeste et impure veulent en faire un nouveau mode de vie pour tous les musulmans. Ils oublient qu’en sacralisant et légitimant le viol au nom des valeurs sacrées de l’Islam, ils commettent un crime contre l’humanité.

Tant que la femme est considérée comme l’incarnation de l’esprit Malin, les violeurs continueront toujours à jouir d’un blanc seing canonique pour accomplir leurs forfaits de mise à mort de la dignité et de l’intégrité physique et psychique de la femme. Juger une femme victime de viol, en bande organisée bien souvent, ce qu’on appelle une tournante en Occident, qui n’est pas sans rappeler étrangement les tournantes dans les cités françaises, revient tout simplement à lui infliger un nouveau viol public avec la bénédiction de l’autorité politique et judiciaire du pays.

En conclusion, seul l’Etat de droit est garant du respect du corps de la femme contre les velléités sexuelles des prédateurs qui rôdent autour de leurs proies féminines. Un Etat régi par les lois de l’Islam, à savoir la Charia de la barbarie humaine, est une vraie aubaine pour les violeurs du monde entier à la recherche de cieux plus cléments pour labourer à leur guise et en toute impunité le corps des femmes que Dieu a offerts aux hommes pour assouvir leurs pulsions bestiales et incontrôlées. Quant au viol conjugal, il est dans l’ordre coranique des choses. Le dénoncer est assimilé à une apostasie. La femme qui doit une absolue soumission à l’homme dont il est le dépositaire devant dieu se doit d’accéder aux désirs sexuels de son mâle dominant en tout lieu et en toute circonstance même quand elle se trouve sur la selle d’un chameau.
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