Liste des raisons pour l'apostasie...

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yacoub
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Re: Liste des raisons pour l'apostasie...

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Salut Spin mon ami

Tu ne viens plus sur le forum politique pourtant tu as du travail là bas pour décrasser les cerveaux


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spin
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Re: Liste des raisons pour l'apostasie...

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yacoub a écrit :Salut Spin mon ami
Tu ne viens plus sur le forum politique pourtant tu as du travail là bas pour décrasser les cerveaux
Ben je suis sur tellement de forums... tu peux me rappeler l'adresse ?

à+
De quel droit refuserions-nous de faire usage du plus grand don de Dieu ? N'est-ce pas un formidable blasphème que de croire contre la raison ? (Vivekananda)
https://daruc.fr/divers/islamp.htm
https://bouquinsblog.blog4ever.com/blog ... ique_.html
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Fleur2jasmin
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Re: Liste des raisons pour l'apostasie...

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tuer l'apostat.jpg
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
"Gentil, tu seras
Droit dans le cul tu te la prendras"
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yacoub
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Re: Liste des raisons pour l'apostasie...

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Un musulman vivant en Suède explique l'islam en toute franchise

https://www.youtube.com/watch?v=LMhlu6ibvwM

https://www.youtube.com/watch?v=2grmfDULRZ8

https://www.youtube.com/watch?v=bGZrpcxVRHo

https://www.youtube.com/watch?v=Oe7ayZKVMm0

========================================================
Image
UPN3 a écrit :L'islam dérange les diaboliques, eux qui ont passés des siècles à vider les églises, à les mettre en location dans un état républicain qui ne s'en occupe pas (heureusement des personnes "honnêtes" et leurs associations veillent) les voilà devant une autre religion plus vivante, plus dangereuse aussi, eux, si faibles, si lâches, si mal intentionnés, devant faire passer l'islam pour rétrograde, terroriste, agressive, ils s'emploient à faire passer les musulmans pour des idiots, alors ils ne les éduquent que de travers, mais attention, l'âne mort, et sera victorieux, Allah les guidera à la victoire, vous leurs faite la guerre, vous armez les pires pour mieux en faire des boucs émissaires, vous perdrez, car vous êtes les instigateurs fourbes qui manipulent les masses en utilisant certains peuples, pas que les musulmans, les russes aussi, les chinois, les japonnais, les allemands.

Votre quête absurde des profondeurs, que vous manifestez d'un abaissement de la tête, sera pour vous, un trajet pour aller rejoindre les singes et leurs familles ... chutez inconscients, mais vous ne savez pas ou, vous l'imaginez sans pouvoir le prouver, entrainant dans vos délires les masses qui n'entendent rien à vos jérémiades d'enfants mal renseignés.
:lollol
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Re: Liste des raisons pour l'apostasie...

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Walid, l'embarrassant blasphémateur palestinien

Il fut pendant quelques mois l'un des internautes les plus détestés du monde musulman. Sa page Facebook, qui s'intitulait "Ana Allah" ("Je suis Dieu "), était remplie de saillies blasphématoires et d'apologies de l'apostasie.


Il fut pendant quelques mois l'un des internautes les plus détestés du monde musulman. Sa page Facebook, qui s'intitulait "Ana Allah" ("Je suis Dieu "), était remplie de saillies blasphématoires et d'apologies de l'apostasie. A la surprise générale, le mystérieux effronté, arrêté au début du mois, s'est révélé être un timide garçon coiffeur de Qalqiliya, une bourgade de Cisjordanie.

Walid Husayin, 26 ans, désormais emprisonné dans une cellule des moukhabarat (services secrets) palestiniens, menait une double vie à l'insu de toute sa famille. La journée, il travaillait dans le salon de coiffure de son père, un pieux musulman. Ses amis le connaissaient comme un garçon effacé, déçu de ne pas avoir trouvé d'emploi dans l'informatique, la discipline qu'il avait étudiée à l'université. Mais, dès qu'il en avait l'occasion, le jeune homme s'échappait dans un café Internet à l'écart du centre-ville pour rédiger et poster ses textes incendiaires. Dans l'un d'eux, il affirmait que Mahomet était un Bédouin primitif. Dans un autre, il écrivait qu'il était Dieu et il ordonnait à ses fidèles de boire du whisky et de fumer du haschich. Ouvert en novembre dernier, le blog qu'il tenait sous le pseudonyme de Walid Al-Husseini, parallèlement à sa page Facebook, a reçu près de cent mille visiteurs. A ceux qui l'accusaient de faire le jeu de l'Occident chrétien, le jeune barbier répondait que "les religions sont toutes un ramassis de légendes et de non-sens qui défient l'entendement" et "qu'elles jouent à laquelle sera la plus stupide".

Colère des habitants de Qalqiliya

Cette bouffée de libre-pensée sur un média aussi incontrôlable que le Net finit par inquiéter les autorités religieuses sunnites, à l'université Al-Azhar, en Egypte, ainsi qu'en Arabie saoudite. Des enquêtes commencèrent. C'est finalement le patron du café Internet de Qalqiliya, intrigué par ce client atypique, qui passait jusqu'à sept heures d'affilée devant l'écran, qui alerta la police. L'annonce de son arrestation fit l'effet d'une bombe à Qalqiliya, une ville conservatrice qui s'était dotée d'un maire Hamas en 2005. Depuis ce jour, la population ne décolère pas contre le bloggeur apostat, qu'elle qualifie au mieux de "malade mental" et au pire d'"infidèle". Cette émotion est l'une des raisons citées par les autorités palestiniennes pour justifier son incarcération. " Je ne pourrais pas garantir sa sécurité s'il sortait de prison aujourd'hui", assure le directeur de la police. L'autre raison est un article du code pénal jordanien, toujours en vigueur en Cisjordanie, qui punit toute insulte à la religion de un à trois ans de prison.

L'Autorité palestinienne ira-t-elle jusqu'au procès, au risque de faire du barbier de Qalqiliya un martyr de la liberté d'expression ? Rien n'est moins sûr. Les rumeurs locales disent qu'il pourrait renier ses écrits, avant d'être remis en liberté. Une autre option consisterait à l'envoyer à l'étranger le temps que les esprits s'apaisent. A Dieu, rien n'est impossible...

Benjamin Barthe

En savoir plus sur

http://www.lemonde.fr/proche-orient/art ... IK86lUy.99
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Re: Liste des raisons pour l'apostasie...

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Sabah Aslan : Seuls les demeurés mentaux occultent la vérité de l’islam

Depuis janvier 2019, le site de langue arabe, ssrcaw.org (Secular Studies and Researches Centre in Arab World), nous fait connaître des articles de la plume d’un jeune chercheur, issu de l’islam, qui milite en faveur de la laïcité dans le monde arabo-musulman. C’est l’irakien Sabah Aslan. Il s’efforce dans ses différents articles de lever le voile sur la réalité ironique de l’islam et son impact sociétal cuisant. C’est le cas de son dernier article du 10.12.2019, intitulé Les pays musulmans et le sous-développement civilisationnel, dans lequel il met en lumière la corrélation étroitement sarcastique entre les autorités religieuses chiites et les évènements tragiques en Irak.

Dans le texte qui suit, paru le 7.6.2019 sur le site déjà cité, Sabah Aslan commente avec une raillerie amère le verset coranique qui dit : « Vous étiez la meilleure nation suscitée pour les hommes » (3.110). Ce verset est repris et complété dans un hadith cité par Bukhari (1839/33) qui dit : « Les meilleurs des hommes sont ceux qui tirent les gens avec des chaînes au cou afin de les faire entrer dans l’islam. » Il se demande :

Pour contribuer à Dreuz.info en utilisant votre carte de crédit sans vous inscrire à Paypal, cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.

« Qui peut imaginer que la meilleure nation traîne des gens enchaînés comme des esclaves, les force à embrasser l’islam et coupe la tête de celui qui le rejette ? Comment une religion se répand-elle normalement ? Est-ce par la prédication, la bonne parole, la persuasion, ou par la contrainte, l’épée, les invasions, la coupe des têtes, le rapt des femmes, la recherche du butin, l’occupation de la terre, l’oppression des peuples, comme c’est le cas de notre islam et de son héritier Daech et consorts qui incarnent à merveille cette croyance et dévoile son vrai visage à tous les êtres humains au XXIe siècle ? »

Sabah Aslan, ce citoyen qui se dit « né par hasard en islam », se révolte contre les enseignements absurdes de cette religion et ses pratiques barbares. Il s’insurge contre cette prétention ubuesque que les musulmans se considèrent comme la meilleure nation suscitée pour l’humanité. Il écrit :

« Nous les musulmans, nous avons théoriquement étudié l’islam dans les livres, mais nous avons vu les pratiques des criminels du califat islamique qui coupaient les têtes, capturaient et violaient les femmes yézidies, pillaient les banques et le trésor de l’État irakien, expulsaient les chrétiens de leurs foyers, brûlaient les vivants, coupaient les mains avec les couperets et les épées, crucifiaient les prisonniers et les innocents, vendaient les antiquités ou les détruisaient s’ils ne pouvaient pas les déplacer. Ils ont tout fait au nom de l’islam et pour défendre la prétendue cause du dieu de l’islam. Ils nous ont montré que leurs actes étaient textuellement conformes au Coran et à sa charia. Donc, ils nous ont montré le véritable visage de l’islam. Aucune autorité religieuse n’a osé les contredire ni dénoncer ces enseignements, révélant ainsi leur complicité la plus sournoise et leur hypocrisie la plus odieuse. »

Cet insurgé constate avec consternation que les musulmans accusent les chrétiens d’avoir falsifié l’Évangile, parce que Jésus y dit : « Plusieurs faux prophètes viendront après moi, et ils séduiront beaucoup de gens (Matt. 24.11) ». Ou : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits (Matt. 7.15-16). »

Aslan estime que c’est un prétexte fallacieux et infâme, puisqu’il incite les musulmans à persécuter les chrétiens et les soumettre à la législation tribale des musulmans. Ces derniers s’attribuent le droit de les tuer ou de les forcer à leur payer un pot-de-vin ou une rançon dans l’humiliation pour acheter leur survie. C’est le tribut (jizya) imposé aux Gens du Livre (juifs et chrétiens). Puis ils les traitent de polythéistes et les qualifient « d’immondes » (Coran 9.28). Face à ces risibles aberrations, Sabah Aslan ne voit dans l’islam qu’une religion rigide qui n’accepte ni renouveau, ni urbanisation, ni modernisation, ni recours à la raison.

Il observe : « que ses adeptes croient à des livres obsolètes de leur patrimoine, y compris ceux des compilateurs ou commentateurs des hadiths, comme Bukhari, Muslim et tant d’autres qui ont inventé et insinué des superstitions et des propos qu’ils n’avaient jamais entendus de leur auteur. Ils les ont intégrés dans des livres, deux cents ans après le décès de Mahomet. Leurs collections de hadiths sont considérés comme sacrées et authentiques. Celui qui les critique ou les conteste, sera condamné et mis en prison. »

Faut-il rappeler que l’université islamique d’al-Azhar au Caire qui se considère comme la gardienne du temple de l’islam sunnite, a déjà fait condamner Islam Behery et cheikh Mohammed Abdallah Nasr, parce qu’ils ont osé dénoncer ces livres et critiquer les superstitions et les affabulations de Bukhari et Muslim, les deux principaux compilateurs des hadiths (dits et actions de Mahomet).

Le fascisme et le nazisme ont été combattus à cause de leurs idées nuisibles pour l’humanité, et leur idéologie imbibée d’erreurs et de racisme. Mais l’islam politique demeure et rampe comme un serpent parmi les ignorants illettrés ou mi-instruits qu’on parvient facilement à séduire et à induire en erreur au nom d’une religion belliqueuse et d’un dieu guerrier nommé Allah.

Sabah Aslan évoque également le sort de l’apostat et le hadith qui le condamne à mort en islam. « Celui qui quitte sa religion, tuez-le » (Bukhari, n° 3017). La Charte des Droits de l’Homme qui garantit à tout individu la liberté dans le choix de sa religion, de ses convictions et de sa doctrine, est bafouée en islam et totalement ignorée. Même le sort de ceux qui critiquent l’islam n’est rien d’autre que la mort ou la prison. C’est le cas de nombreux intellectuels égyptiens et soudanais comme Faraj Fouda, Mahmoud Mohamed Taha, Neguib Mahfouz et tant d’autres [Leur dernière cible est maintenant le médecin et écrivain égyptien, Khaled Montasser].

Notre auteur dénonce les musulmans qui oublient que leur Coran qualifie la Bible de « direction et lumière » (5.46). Or, ils préfèrent toujours prétendre qu’elle est falsifiée, puisqu’elle ne mentionne pas ce qu’avait prétendu le prophète de l’islam, que Jésus y a annoncé sa venue après lui.

Ce qui frappe de stupeur notre auteur c’est de voir le dieu de l’islam, dit omniscient, clément et miséricordieux, garder auprès de lui un coran plein de contradictions, d’erreurs diverses ainsi que d’incitations au meurtre, au viol, à la captivité des femmes et à la réduction des humains en esclaves. « Comment ce drôle de dieu, dit tout puissant, a-t-il permis qu’on falsifie la Bible et demeure, en même temps, incapable de le sauver, d’autant plus que le Coran qu’on lui attribue, reconnaisse son inspiration divine ? », se demande-t-il encore.

Par ailleurs, les musulmans confirment que la foi d’un croyant reste imparfaite s’il ne reconnaît pas les prophètes, les apôtres et leurs livres. En même temps, on observe que l’islam abroge les religions célestes précédentes et prétend qu’il est désormais la seule religion valable devant Allah. Par conséquent, quiconque cherche une autre religion que l’islam, sera l’un des perdants et que l’enfer sa demeure éternelle.

Le Coran abroge tous les livres révélés, alors que Mahomet y plagie 80 % de leur contenu. En revanche, il oublie qu’il se contredit en disant : « Si ton seigneur l’avait voulu, il aurait fait des hommes une seule communauté. Or, ils ne cessent de manifester leur différence (Coran 11.118) ». Que devons-nous dire de cette cacophonie et de ces propos invraisemblables ?

Sabah Aslan se moque aussi du hadith attribué au prophète de l’islam, qu’au jour du grand jugement, Allah absoudra tous les musulmans de leurs péchés et les fera entrer au paradis – même s’ils avaient volé et commis un adultère – afin qu’ils puissent baiser les houris et les jeunes éphèbes. Ce jour-là, il attribuera leurs délits aux juifs et aux chrétiens, uniquement parce que les musulmans ont cru en Mahomet comme le parfait associé de cet Allah en tout, y compris au cinquième du butin, du pillage, de l’appropriation des femmes, etc.

Enfin, il s’interroge : « Qui peut encore croire à un tel islam qu’on veut nous imposer comme une religion révélée par un dieu statique, statufié, installé en toute quiétude sur un trône au septième ciel ? Seuls les demeurés mentaux tentent encore et cherchent à occulter la vérité de l’islam. »

Bref, nous trouvons toujours des musulmans à la recherche d’informations qui confirment leurs convictions. Mais ils évitent les renseignements et les faits évidents qui les contredisent. Ils ferment les yeux sur les données objectives. Hélas, c’est une des infirmités morbides chez les musulmans. Abdelwahab Meddeb (1946-2014) en parle assez dans son livre La maladie de l’islam (Seuil 2013).

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Maurice Saliba pour Dreuz.info.

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

Maurice SALIBA, auteur de L’islam mis à nu par les siens. Anthologie d’auteurs arabophones post 2001. Éditions Riposte Laïque, 2019 (Préface d’Henri BOULAD).
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Re: Liste des raisons pour l'apostasie...

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Sabah Aslan : Seuls les demeurés mentaux occultent la vérité de l’islam

Depuis janvier 2019, le site de langue arabe, ssrcaw.org (Secular Studies and Researches Centre in Arab World), nous fait connaître des articles de la plume d’un jeune chercheur, issu de l’islam, qui milite en faveur de la laïcité dans le monde arabo-musulman. C’est l’irakien Sabah Aslan. Il s’efforce dans ses différents articles de lever le voile sur la réalité ironique de l’islam et son impact sociétal cuisant. C’est le cas de son dernier article du 10.12.2019, intitulé Les pays musulmans et le sous-développement civilisationnel, dans lequel il met en lumière la corrélation étroitement sarcastique entre les autorités religieuses chiites et les évènements tragiques en Irak.

Dans le texte qui suit, paru le 7.6.2019 sur le site déjà cité, Sabah Aslan commente avec une raillerie amère le verset coranique qui dit : « Vous étiez la meilleure nation suscitée pour les hommes » (3.110). Ce verset est repris et complété dans un hadith cité par Bukhari (1839/33) qui dit : « Les meilleurs des hommes sont ceux qui tirent les gens avec des chaînes au cou afin de les faire entrer dans l’islam. » Il se demande :
« Qui peut imaginer que la meilleure nation traîne des gens enchaînés comme des esclaves, les force à embrasser l’islam et coupe la tête de celui qui le rejette ? Comment une religion se répand-elle normalement ? Est-ce par la prédication, la bonne parole, la persuasion, ou par la contrainte, l’épée, les invasions, la coupe des têtes, le rapt des femmes, la recherche du butin, l’occupation de la terre, l’oppression des peuples, comme c’est le cas de notre islam et de son héritier Daech et consorts qui incarnent à merveille cette croyance et dévoile son vrai visage à tous les êtres humains au XXIe siècle ? »

Sabah Aslan, ce citoyen qui se dit « né par hasard en islam », se révolte contre les enseignements absurdes de cette religion et ses pratiques barbares. Il s’insurge contre cette prétention ubuesque que les musulmans se considèrent comme la meilleure nation suscitée pour l’humanité. Il écrit :

« Nous les musulmans, nous avons théoriquement étudié l’islam dans les livres, mais nous avons vu les pratiques des criminels du califat islamique qui coupaient les têtes, capturaient et violaient les femmes yézidies, pillaient les banques et le trésor de l’État irakien, expulsaient les chrétiens de leurs foyers, brûlaient les vivants, coupaient les mains avec les couperets et les épées, crucifiaient les prisonniers et les innocents, vendaient les antiquités ou les détruisaient s’ils ne pouvaient pas les déplacer. Ils ont tout fait au nom de l’islam et pour défendre la prétendue cause du dieu de l’islam. Ils nous ont montré que leurs actes étaient textuellement conformes au Coran et à sa charia. Donc, ils nous ont montré le véritable visage de l’islam. Aucune autorité religieuse n’a osé les contredire ni dénoncer ces enseignements, révélant ainsi leur complicité la plus sournoise et leur hypocrisie la plus odieuse. »

Cet insurgé constate avec consternation que les musulmans accusent les chrétiens d’avoir falsifié l’Évangile, parce que Jésus y dit : « Plusieurs faux prophètes viendront après moi, et ils séduiront beaucoup de gens (Matt. 24.11) ». Ou : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits (Matt. 7.15-16). »

Aslan estime que c’est un prétexte fallacieux et infâme, puisqu’il incite les musulmans à persécuter les chrétiens et les soumettre à la législation tribale des musulmans. Ces derniers s’attribuent le droit de les tuer ou de les forcer à leur payer un pot-de-vin ou une rançon dans l’humiliation pour acheter leur survie. C’est le tribut (jizya) imposé aux Gens du Livre (juifs et chrétiens). Puis ils les traitent de polythéistes et les qualifient « d’immondes » (Coran 9.28). Face à ces risibles aberrations, Sabah Aslan ne voit dans l’islam qu’une religion rigide qui n’accepte ni renouveau, ni urbanisation, ni modernisation, ni recours à la raison.

Il observe : « que ses adeptes croient à des livres obsolètes de leur patrimoine, y compris ceux des compilateurs ou commentateurs des hadiths, comme Bukhari, Muslim et tant d’autres qui ont inventé et insinué des superstitions et des propos qu’ils n’avaient jamais entendus de leur auteur. Ils les ont intégrés dans des livres, deux cents ans après le décès de Mahomet. Leurs collections de hadiths sont considérés comme sacrées et authentiques. Celui qui les critique ou les conteste, sera condamné et mis en prison. »

Faut-il rappeler que l’université islamique d’al-Azhar au Caire qui se considère comme la gardienne du temple de l’islam sunnite, a déjà fait condamner Islam Behery et cheikh Mohammed Abdallah Nasr, parce qu’ils ont osé dénoncer ces livres et critiquer les superstitions et les affabulations de Bukhari et Muslim, les deux principaux compilateurs des hadiths (dits et actions de Mahomet).

Le fascisme et le nazisme ont été combattus à cause de leurs idées nuisibles pour l’humanité, et leur idéologie imbibée d’erreurs et de racisme. Mais l’islam politique demeure et rampe comme un serpent parmi les ignorants illettrés ou mi-instruits qu’on parvient facilement à séduire et à induire en erreur au nom d’une religion belliqueuse et d’un dieu guerrier nommé Allah.

Sabah Aslan évoque également le sort de l’apostat et le hadith qui le condamne à mort en islam. « Celui qui quitte sa religion, tuez-le » (Bukhari, n° 3017). La Charte des Droits de l’Homme qui garantit à tout individu la liberté dans le choix de sa religion, de ses convictions et de sa doctrine, est bafouée en islam et totalement ignorée. Même le sort de ceux qui critiquent l’islam n’est rien d’autre que la mort ou la prison. C’est le cas de nombreux intellectuels égyptiens et soudanais comme Faraj Fouda, Mahmoud Mohamed Taha, Neguib Mahfouz et tant d’autres [Leur dernière cible est maintenant le médecin et écrivain égyptien, Khaled Montasser].

Notre auteur dénonce les musulmans qui oublient que leur Coran qualifie la Bible de « direction et lumière » (5.46). Or, ils préfèrent toujours prétendre qu’elle est falsifiée, puisqu’elle ne mentionne pas ce qu’avait prétendu le prophète de l’islam, que Jésus y a annoncé sa venue après lui.

Ce qui frappe de stupeur notre auteur c’est de voir le dieu de l’islam, dit omniscient, clément et miséricordieux, garder auprès de lui un coran plein de contradictions, d’erreurs diverses ainsi que d’incitations au meurtre, au viol, à la captivité des femmes et à la réduction des humains en esclaves. « Comment ce drôle de dieu, dit tout puissant, a-t-il permis qu’on falsifie la Bible et demeure, en même temps, incapable de le sauver, d’autant plus que le Coran qu’on lui attribue, reconnaisse son inspiration divine ? », se demande-t-il encore.

Par ailleurs, les musulmans confirment que la foi d’un croyant reste imparfaite s’il ne reconnaît pas les prophètes, les apôtres et leurs livres. En même temps, on observe que l’islam abroge les religions célestes précédentes et prétend qu’il est désormais la seule religion valable devant Allah. Par conséquent, quiconque cherche une autre religion que l’islam, sera l’un des perdants et que l’enfer sa demeure éternelle.

Le Coran abroge tous les livres révélés, alors que Mahomet y plagie 80 % de leur contenu. En revanche, il oublie qu’il se contredit en disant : « Si ton seigneur l’avait voulu, il aurait fait des hommes une seule communauté. Or, ils ne cessent de manifester leur différence (Coran 11.118) ». Que devons-nous dire de cette cacophonie et de ces propos invraisemblables ?

Sabah Aslan se moque aussi du hadith attribué au prophète de l’islam, qu’au jour du grand jugement, Allah absoudra tous les musulmans de leurs péchés et les fera entrer au paradis – même s’ils avaient volé et commis un adultère – afin qu’ils puissent baiser les houris et les jeunes éphèbes. Ce jour-là, il attribuera leurs délits aux juifs et aux chrétiens, uniquement parce que les musulmans ont cru en Mahomet comme le parfait associé de cet Allah en tout, y compris au cinquième du butin, du pillage, de l’appropriation des femmes, etc.

Enfin, il s’interroge : « Qui peut encore croire à un tel islam qu’on veut nous imposer comme une religion révélée par un dieu statique, statufié, installé en toute quiétude sur un trône au septième ciel ? Seuls les demeurés mentaux tentent encore et cherchent à occulter la vérité de l’islam. »

Bref, nous trouvons toujours des musulmans à la recherche d’informations qui confirment leurs convictions. Mais ils évitent les renseignements et les faits évidents qui les contredisent. Ils ferment les yeux sur les données objectives. Hélas, c’est une des infirmités morbides chez les musulmans. Abdelwahab Meddeb (1946-2014) en parle assez dans son livre La maladie de l’islam (Seuil 2013).

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