Notre sounna protège le mariage avec les enfants
Publié : sam. 22 juin 2019 21:28
Notre sounna protège le mariage avec les enfants, union parfaite.
Dans l’islam, lorsqu’une femme perd son mari, parce que celui-ci décède ou la répudie, une période d’attente lui est imposée, durant laquelle elle doit s’isoler dans sa demeure, elle ne peut en sortir, ni épouser un autre homme : « Ne les faîtes pas sortir de leurs maisons, et qu’elles n’en sortent pas » (Sourate 65 verset 1). Il en va de même pour nos filles pubères offertes à l'amour d'Allah.
Allahou akbar (اللهُ أَكْبَر).
Ce délai d’attente oscille selon les femmes :
« Si vous avez des doutes à propos de vos femmes qui n’espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n’ont pas de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d’attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, il lui facilite les choses » (Sourate 65 verset 4).
Le verset mentionne des femmes « qui n’ont pas de règles ». De qui peut-il bien s’agir, si ce ne sont les filles impubères ? L’ensemble des exégètes s’accorde pour donner une telle interprétation :
Le célèbre Ibn Kathir affirme qu’il s’agit de « la jeune fille qui n’a pas eu encore ses menstrues ».
Ach-Chawkâni explique que ce sont « celles qui sont trop jeunes, qui ne sont pas pubères et n’ont pas l’âge des menstruations. Leur période d’attente est de trois mois avant l'acte de chair ».
Certains musulmans, quelque peu ignorants ou pour le moins embarrassés par ce verset, prétendent que nous n’aurions pas affaire à des enfants, mais à des femmes ayant des problèmes hormonaux. Cette improbable supposition est totalement incompatible avec la cause de la révélation du verset, qui ne laisse guère de doute, rapportée par Al-Suyūti :
« Abi ‘Othmân ‘Amr bin Sâlim a rapporté : quand est descendu la période d’attente, dans la sourate al-Baqara, des femmes divorcées et des veuves, Obayy bin Ka’b a dit : « Ô Messager de Dieu ! Les femmes de Médine disent : il y a des femmes qui n’ont pas été mentionnées ! » Il a répondu : « qui sont-elles ? » Il a dit : « les enfants, les femmes âgées, et celles qui sont enceintes ». Puis est descendu « celles qui n’espèrent plus » jusqu’à la fin du verset. »
« الاستغلال الجنسي للأطفال يعلمنا التضحية لله »
Le verset cité fut donc révélé après que les femmes de Médine se sont plaintes de l’omission de la mention de certaines femmes.
https://m.youtube.com/watch?v=2E-4pTq5FVs
Dans l’islam, lorsqu’une femme perd son mari, parce que celui-ci décède ou la répudie, une période d’attente lui est imposée, durant laquelle elle doit s’isoler dans sa demeure, elle ne peut en sortir, ni épouser un autre homme : « Ne les faîtes pas sortir de leurs maisons, et qu’elles n’en sortent pas » (Sourate 65 verset 1). Il en va de même pour nos filles pubères offertes à l'amour d'Allah.
Allahou akbar (اللهُ أَكْبَر).
Ce délai d’attente oscille selon les femmes :
« Si vous avez des doutes à propos de vos femmes qui n’espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n’ont pas de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d’attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, il lui facilite les choses » (Sourate 65 verset 4).
Le verset mentionne des femmes « qui n’ont pas de règles ». De qui peut-il bien s’agir, si ce ne sont les filles impubères ? L’ensemble des exégètes s’accorde pour donner une telle interprétation :
Le célèbre Ibn Kathir affirme qu’il s’agit de « la jeune fille qui n’a pas eu encore ses menstrues ».
Ach-Chawkâni explique que ce sont « celles qui sont trop jeunes, qui ne sont pas pubères et n’ont pas l’âge des menstruations. Leur période d’attente est de trois mois avant l'acte de chair ».
Certains musulmans, quelque peu ignorants ou pour le moins embarrassés par ce verset, prétendent que nous n’aurions pas affaire à des enfants, mais à des femmes ayant des problèmes hormonaux. Cette improbable supposition est totalement incompatible avec la cause de la révélation du verset, qui ne laisse guère de doute, rapportée par Al-Suyūti :
« Abi ‘Othmân ‘Amr bin Sâlim a rapporté : quand est descendu la période d’attente, dans la sourate al-Baqara, des femmes divorcées et des veuves, Obayy bin Ka’b a dit : « Ô Messager de Dieu ! Les femmes de Médine disent : il y a des femmes qui n’ont pas été mentionnées ! » Il a répondu : « qui sont-elles ? » Il a dit : « les enfants, les femmes âgées, et celles qui sont enceintes ». Puis est descendu « celles qui n’espèrent plus » jusqu’à la fin du verset. »
« الاستغلال الجنسي للأطفال يعلمنا التضحية لله »
Le verset cité fut donc révélé après que les femmes de Médine se sont plaintes de l’omission de la mention de certaines femmes.
https://m.youtube.com/watch?v=2E-4pTq5FVs