D'ailleurs, j'ai répondu quelque chose sur un forum, voici la citation.
Je ne sais pas ce que ça vaut, à vous de me dire ce que vous en pensez.
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Le problème est double. Religions et humains. Les humains sont conditionnés par les religions, enfermés dedans, ça pousse à a haïr et rejeter, ça exacerbe la haine et l'intolérance, le sectarisme et le communautarisme (alors, je suis pour une certaine forme de communautarisme mais quand cela est à l'échelle d'une nation, une seule communauté, la couleur, que des gens croient ou non, on s'en fout, mais l'identité du pays, ce qu'il a en lui sur le plan local, régional, ça ne doit pas se perdre. On peut apporter des éléments mais ils doivent rester de côté, ils ne doivent pas empiéter, un peu comme une recette de cuisine, on peut ajouter quelques épices, on peut apporter quelques variantes pour les ingrédients, pas mais tout changer, sinon c'est plus le plat qu'on prétend, on a autre chose, un autre plat.)
C'est justement ainsi que j'aimerais voir le France un jour en sachant que c'est plus que très peu probable.
Je me trompe de cible en visant les religions. Alors la misogynie, tuer les femmes en leur interdisant d'avorter, les condamner à se prostituer, le détruire, lapider les femmes ou les châtier si elles ont un enfant sans êtres mariées, les enfants nés sans mariage sont des bâtards, illégitimes, la misère sexuelles des femmes, la condamnation et la haine contre leur corps, contre leur sexualité... ça n'a rien à voir avec la religion.
Mais alors les goulags et les millions de morts n'ont rien à voir avec la communisme. Et puis la mal-bouffe ça n'a rien à voir avec les industries de la mort et les usuriers. L'hypocrisie féministe n'a rien à avoir avec le féminisme idem pour la gauche...
Vous adorez une religion donc vous ne pouvez pas admettre que c'est le mal puisque vous croyez aveuglément le contraire et ce dans le dénie de tous les crimes, toutes les saletés qui sont intrinsèques à celle-ci. Le monde et la réalité ne sont pas comme vous croyez mais comme ils sont, c'est tout. Je n'y peux rien et j'ai pas envie de la fuir, non, je cours après, mais combien fuient, font l'autruche, même quand ça les rattrape?
Ce que je hais et bien, tout ce qui est nuisible, tous ce qui incarne la laideur de l'être, tout ce qui est un mal absolu pour l'humain, le dénature... je ne vais pas faire d'exception pour le nombril des uns et des autres. Les horreurs qui engendrent des crises, fichent en l'air des vies en masse, les monstres qui massacrent, qui infligent des souffrances et s'en vantent.
Pour ça, un début de quelque chose pour le discerner.
Identifier le problème. Quelle est la situation, quelles sont les circonstances, quelles sont les éléments liés à ces circonstances (qu'est-ce qui constitue tout cet ensemble.) Prendre ces éléments, qui composent une recette, si je puis dire ainsi, puis comment ils arrivent là, comment ça pousse, comment c'est fait, d'où ça vient, dans quelles conditions?
Là on identifie des sources, des origines et ses sources, des origines, que sont-elles, depuis combien de temps ces choses sont présentes, quels sont les résultats partout où c'est passé? Où ça s'est répandu? Est-ce qu'il y a des concordances? Si oui dans quelles conditions, quels contextes, quels sont les liens?
Voilà... c'est peut-être incomplet, mais avec ça... on remonte avant la révolution française, on écarte des éléments, on va à la base même, l'essence des choses, à la source ou aux sources.
On tombe sur quoi? La population. Pourquoi? Parce que si une masse est dans un état de mentalité, de connaissance, de vie, de réflexion, un niveau intellectuel, un mode de vie néfastes, mauvais, comment s'étonner de ce qui suit après? Comment voulez-vous après qu'un pays puisse vraiment s'élever.
Je pose cette question: si on part de ce principe, est-ce que c'était mieux avant quand on voit la médiocrité, quand on voit tout ce qui se passe et que ça n'était pas différent autrefois? Les dogmes ont changés, la religion a changé de forme, de genre, mais... au fond on ce n'est pas si différent.
Regardez les méthodes d'un certain nombre de féministes, observez, testez (là c'est pas très plaisant on se fait arroser...) et pour ma part, je ne peux pas faire la différence avec certain religieux, avec un certain nombre d'individus, croyants ou non, parce que le fond reste le même, la base reste la même. Quand on chasse l'esprit des dogmes, des croyances, des religions, il ne reste que le corps et là ça se ressemble beaucoup, c'est incroyablement proche...
Alors, qu'est-ce que je hais le plus... les salauds, les psychopathes, les monstres qui n'ont pas de compassion, pas d'empathie, ceux qui se vantent de commettre des atrocités et en sont fiers et je me fiche, dans un sens, qu'ils ne soient pas conscients de leurs crimes, de leurs actes, sachant que les mettre devant on recevra leur violence, leur virulence, leurs insultes, leurs mensonges, leurs accusations/diffamations strictement fondées sur rien de bon juste tout de bon à jeter.
Ils restent dans le dénie, pour eux, les horreurs qu'ils prônent n'en sont pas, les conséquences il n'y en pas, du moins, que du bien, que du bon puis le reste, c'est faux, ça n'existe pas, ça n'a jamais existé, c'est virtuel... vous voyez le niveau d'inversion totale des valeurs, des polarités?
Le virtuel serait réel et le réel est virtuel pour eux.
Il n'y a pas de différence de fond et de nature entre un gauchiste et un anti avortement par exemple. Alors, l'un est pour, même pour et pro sans limites... l'autre c'est le contraire, on peut même prendre les deux cas extrêmes. Seulement, quand on vire l'esprit, et bien on trouve les même méthodes, les mêmes bases, les mêmes armes, utilisés parfois de façons plus ou moins différentes mais... au final, des deux côtés ce n'est ni honnête, ni bon, ni tolérable.
Demandez à un gauchiste de détailler les chiffres de l'avortement en France, puisque j'ai pris cet exemple. Je n'ai trouvé nulle part ce genres de choses... et demandez à un anti avortement d'être honnête, aucun des deux ne le sera, ils sont le mal incarné chacun de leur côté. Et quand on creuse, quand on regarde le fond, ça n'a rien de surprenant.
Ces deux-là je ne peux donc que les haïr. Je connais les conséquences, pas toutes, mais j'ai déjà une gamme du spectre plus grande que l'un ou l'autre. Chacun a sa couleur, mon objectif c'est d'avoir la plus large palette possible. Qu'est-ce qui se passe quand on le fait sans limites? Qu'est-ce qui se passe quand on l'interdit et le criminalise? Quelles sont les preuves de la science, de la connaissance, des recherches? Les preuves sont absolues, indéniables, irréfutables et cela sur l'embryon, le foetus, là par contre, mise à part les img, ce sont les seuls cas tolérables. Parce que je me base sur la Vérité, sur la réalité et elle est basée sur le factuel, sur la factualité.
les deux autres ils en prennent quelques fragments pour arranger leurs mensonges, pour nuire. Vous pouvez observer ça avec la dualité écologistes/anti-écologie. Les uns disent "faut tout changer" mais ils servent des intérêts financiers et industriels car ils ne donnent et ne montrent que des choses qui font tourner la machine infernale. Les autres aussi, les autres, ils sont aussi dedans, d'une autre manière.
Mais là encore, quand vous virez l'esprit "écologie" "tout chimique/ogm" vous trouvez une base commune... je ne peux que rejeter voir haïr car tout le monde, vous, moi, tous nous sommes directement touchés par ces salauds et leurs saloperies (y a pas d'autres mots... vu ce qu'ils nous font, ce qu'ils font à la vie sur cette planète.)
Prenez la dualité de la gauche et de la droite en France, des républicains et des royalistes, des religieux-conformes et des laïcards... et vous observerez les mêmes schémas, vous aurez les mêmes bases, les mêmes fonds en commun... c'est un truc énorme, tellement gros qu'on ne peut pas le louper, en temps normal, mais, comme on dit, plus c'est gros plus ça passe facilement...
Voilà... je ne peux pas suivre, je ne peux rien suivre, suivre personne dans une doctrine ou une autre. Sinon en vos termes ça voudrait dire de vendre mon âme au diable, de traiter avec le diable, de me corrompre, si je reprends vos termes.
J'ai une conscience et ça, je ne peux pas le faire. Donc, je hais vraiment les aberrations, les abominations. Toutes les féministes ne sont pas les mêmes, tous les républicains ne sont pas les mêmes vous pouvez étendre cela à presque tout, à quelques exceptions près.
L'eugénisme là par contre... c'est une exception, la personne peut-être géniale et formidable mais ne jurer que par ça... non, on supprime. C'est pas une question de "liberté de penser" le fameux relativisme de "liberté de conscience" et bien pourquoi on ne fait pas des chasses aux sorcières? Pourquoi on ne fait pas des mariages halal de petites filles? Pourquoi on n'a pas le droit de faire vraiment tout et tout ce qu'on veut sans limites avec son corps? Ben oui, liberté de conscience, on a le droit de penser ce qu'on veut? On peut même dire ce qu'on veut, dire qu'il faut tuer tous les handicapés, allons-y, c'est open bar, on la droit, le droit, voilà aussi un gros problème: "j'ai le droit de... on me doit ça, c'est mon nombril, on doit me donner le droit de..."
Ou alors: "je dois suivre et la fermer, j'ai pas à questionner, c'est comme ça, c'est tout..."
Vous voyez? Vous comprenez? Il y a forcément une part personnelle dans ce qui est bien ou mal, certes, mais m'en défaire, aussi difficile que ce soit, c'est un devoir et voilà le résultat, un gros pavet écrit au passage...
Non, nous n'avons pas "le droit de..." mais "le devoir de, la responsabilité de..." et ça ne plaît pas à tout le monde, comme le devoir et la responsabilité d'une juste et réelle égalité donc ce qui va provoquer la colère des gauchistes, des trans-humanistes, des usuriers... mais aussi celle des anti-choix (pro mort (sachant que des pro mort, y en a en face aussi. en face, ceux qui ne le sont pas sont malgré eux des idiots utiles, ils y sont par défaut, faute de pouvoir sortir des chemins tracés... ils suivent, eux aussi...) voilà...