Bonjour Yara 1987!
Sur ton post de présentation, qu'on utilise plus
!
Tu as écrit ceci:
j'ai dis " il y a un daesh endormir " ce n'est pas pareil !
Je m'explique: oui ma mère elle n’égorgera jamais un infidèle ! elle n'ira jamais tirer sur les journalistes de Charlie hebdo mais elle prouve ce que les frère "kouwachis" ont fait
Elle n'est pas d'accord que daesh coupe les têtes des musulmans même les chiites mais les athées, jeter les homosexuelles du haut d'une falaise elle s'en fout
Pour précision,est ce bien, Ma mère approuve ce que les Kouachi ont fait ?
Donc elle approuve des assassins '!Sauf pour le policier musulman. ???
Et pour Daesh: elle n'est pas d'accord qu'ils coupent les têtes des musulmans.
Mais pour les chiites, les athées,les homosexuels... Elle s'en fout !??
Et tu as bien écrit Roumis, pour les chrétiens n'est-ce pas ?
C'est à dire les romains, donc les byzantins? C'est très ancien comme appellation? Toujours en usage ???
Tu as cité le mot tribalisme, il y a peut-être de cela! Le monde se résume à son village, sa tribu..
Et il est très compliqué de se projeter comme citoyen du monde, ou avoir de la compassion pour les autres.
Bref,elle ne tuerais pas elle même, mais si Daesh se présentait aux élections, elle voterais pour eux ???
Si ton père,ton frère, ton cousin au choix, allait tuer un mécréant auteur de caricatures du prophète, elle approuverait ????
Et pour les femmes yazidis et chrétiennes violées, vendues comme esclaves... Elle approuve aussi ???
Je suis désolée, c'est ta propre mère, désolée de te poser ces questions.
Et encore, penses-tu que cela soit un cas isolé, ou bien est-ce très fréquent dans ton entourage familial, ou de voisinage ???
Merci de ta réponse.
"La liberté, c'est la liberté de dire que 2 et 2 font 4. Lorsque cela est accordé, le reste suit." George Orwell, 1984
DOM JUAN: Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit.
TARTUFFE :Couvrez ce sein que je ne saurais voir:
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées.
DORINE:Vous êtes donc bien tendre à la tentation,
Et la chair sur vos sens fait grande impression!
Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte:
Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte,
Et je vous verrais nu du haut jusques en bas
Toujours Molière ! :
