ARTI13 A UN PETIT SEXE !

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moez
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pour mon arti cherie [smilie=hot over you.gif]

Jeunesse algérienne

L’AMOUR COMME AU CINEMA

Les oiseaux se cachent pour s’aimer. Dans quelques cinémas du centre d’Alger, les jeunes couples se retrouvent pour des étreintes très poussées dans les salles sombres. Plongée cinématographique dans le monde de l’amour obscur.

Il fait beau sur Alger, un temps à rester dehors. Mais c’est une image, juste une image : « avant, on allait dans les parcs publics », m’explique le jeune homme qui arrange sa chemise à la sortie du cinéma. « Maintenant ce n’est plus possible, laâraya ils viennent, violent ta copine et volent ton argent. », poursuit-il, résigné mais heureux. Sa jolie copine d’une vingtaine d’années se refait les cheveux discrètement ; elle aussi est heureuse mais déjà pressée. L’amour comme au cinéma ? Oui. Signe des temps, ce n’est plus la police ou les islamistes qui chassent les couples dans les parcs publics. Ce sont les jeunes. Voyous désœuvrés, ils les chassent, s’en prennent aux filles et détroussent leurs compagnons quand ils ne les tabassent pas. C’est tout naturellement que les jeunes couples qui veulent s’étreindre se retrouvent dans les cinémas, réactualisés pour l’occasion. Il faut donc aller au cinéma. Pour ce faire, j’ai réussi à convaincre une jolie papiche de m’accompagner. Elle est jeune, un peu oisive et a accepté, pour des raisons uniquement professionnelles évidemment. Nous convenons du rendez vous et le jour J à l’heure H, nous nous retrouvons devant le cinéma, à quelques minutes M près. Quelques affiches de films traînent sur les murs mais nous comprenons très vite qu’elle n’ont rien à voir avec le film projeté à l’intérieur.

ORCHESTRE OU BALCON

75 dinars en bas, 100 dinars en haut, le premier dilemme est entamé. La jeune fille qui m’accompagne n’en sait pas plus que moi, elle n’est jamais entrée dans ce type d’endroit. Où est la meilleure vue sur la société de l’amour obscur ? Au balcon, on ne peut voir ce qu’il y a en bas. A l’orchestre, on ne peut observer ce qu’il se passe en haut. Dans le doute, je prend deux orchestres, c’est moins cher. Coût de l’opération, 150 dinars, une somme dérisoire comparée aux chambres d’hôtel. Avec la jeune fille qui m’accompagne, nous nous regardons une dernière fois comme si nous allions entrer en enfer par la porte principale. Sourires complices et légères appréhensions, l’Algérie change si vite. Bêtement je demande ce qu’il y a comme film au placeur qui m’ouvre la porte de l’orchestre. Il me regarde comme s’il voyait un extraterrestre, surtout que la fille est jolie. Je n’insiste pas et préfère demander si le film a commencé. Il réfléchit vaguement à cette question : « y en a un qui a commencé, un autre va suivre », lâche-t-il sans conviction, toujours atterré à l’idée qu’un couple puisse venir au cinéma pour regarder un film. En fait, je comprend plus tard, il n’y a pas d’horaires. Les films sont projetés en boucle et sans interruption de 13 heures à 18 heures. Bref. Le placeur est déjà entré, nous entrons prudemment derrière lui dans la pénombre. Il a une lampe torche à la main et me fait signe de le suivre dans une obscurité presque totale. Nous montons par les travées du cinéma et je tente de découvrir ce qu’il s’y passe. Je ne vois rien mais entend des rires, des râles et halètements significatifs. Ma copine s’est perdue derrière moi, je me retourne et l’appelle. « Gouwwed sahebtek, tiens-là par la main », me dit le placeur à la lampe torche, voyant notre inexpérience en la matière. Je récupère ma papiche et suis l’accompagnateur dans le noir. Ça y est, il me présente notre place, s’adressant à moi sans jamais parler à la fille. Je trouve la place trop centrale, inadéquate pour une observation in vivo de ce milieu naturel. « Il me semble qu’il y a des places dans le fond », lui dis-je. Il me regarde avec sa torche, un peu irrité : « tu t’assois où tu veux », me dit-il en partant. Toujours la main dans celle de ma papiche mais sans la petite lumière de la torche, je cherche une place. Non. Pas là. Là non plus. « Samhili ». On n’y voit rien et je manque plusieurs fois de m’asseoir sur un couple en plein travail. Ça ne se voit pas bien à cause de l’obscurité mais le cinéma est plein, un couple tous les deux ou trois sièges environ. De plus, de nombreux sièges sont cassés et il faut en trouver deux côte à côté, ce qui n’est pas facile. Ma copine et moi, on a l’air ridicules à tourner dans le noir du cinéma. Le placeur avait raison, il connaît bien son cinéma, on aurait du l’écouter. Lassés, on finit par s’asseoir n’importe où. Je casse un premier siège en ruine en m’asseyant. Je tombe et me relève. Tiha ou nouda. Je tend l’oreille pour entendre les rires fusant sur ma maladresse mais personne ne s’occupe de nous, ils ont autre chose à faire. On change de place et on finit par trouver deux sièges, plus ou moins acceptables. On s’assoit enfin, face à l’écran qui débite des cascades en série, dans un mauvais film pour mauvais spectateurs. Les yeux commencent à s’habituer à l’obscurité. Je scrute. Des couples partout. Dans toutes les positions. Je demande à ma partenaire de m’embrasser pour ne pas avoir l’air suspect. La fille consent -c’est pour le travail- et dans ma position, j’observe. Partout, des filles et des garçons collés, discutant, riant ou faisant l’amour, enserrés dans la position de l’après, de l’avant ou du pendant. Ils font l’amour, le vrai. Si le phénomène n’est pas nouveau et que dans les années 80, les jeunes couples se retrouvaient aussi au cinéma pour de gentils flirts sans conséquences, là c’est différent ; il s’agit de vrais scènes d’amour, sans trucage. Du sexe, réel, comme dans la vraie vie. J’observe et scrute, les yeux grand ouverts. Dans la pénombre devenue demi clarté par accommodation, je me retrouve de nouveau suspect. J’embrasse donc encore ma copine, ce qui commence à nous plaire à tous les deux.

COMME A LA MAISON

Juste à côté, à trois sièges. Torse nu, une cigarette à la main, un jeune homme savoure son after. On n’a rien vu mais la fille qui se rhabille explique à peu près tout. A deux sièges de nous sur la droite, un couple est enlacé serré. Elle a remontée sa jupe et lui a la braguette défaite. Les corps sont collés et le mouvement est éloquent. Juste derrière, un autre couple cherche la position la plus pratique pour le va-et-vient de l’amour. Le problème est simple ; les accoudoirs qui séparent les sièges ne se relèvent pas et il faut vraiment trouver l’encastrement ergonomique. C’est un cinéma pour acrobates de l’amour, me dis-je. Mais certains couples ne s’embarrassent de tant de recherches. Derrière, une fille est assise de face sur son partenaire, qui lui est sur son siège. Ça monte et descend rapidement, ça monte bien au dessus du niveau des sièges, ce qui fait que derrière eux, personne ne peut voir le film, si tant est qu’il y en a qui sont là pour suivre la projection. Si si, au milieu de cette foule de copulateurs en folie qui bruissent de plaisir, quelques hommes sont seuls et semblent suivre le film. J’embrasse et enlace de nouveau ma papiche pour surveiller ces hommes et voir si ce ne sont pas de simples voyeurs qui profitent du spectacle pour en tirer un plaisir solitaire. Non, je les observe un bon moment, ils regardent vraiment le film. D’ailleurs devant, le placeur à la lampe torche est assis, indifférent à ce qu’il se passe derrière. Lui aussi regarde le film, bien qu’il ait du le voir un millier de fois. Mais il est payé, contrairement aux hommes solitaires qui regardent le film entourés de couples qui font ce qu’ils ont à faire. Comment rester stoïque dans ces cas-là ? C’est un mystère. Sur notre droite, à genoux par terre, une fille tente de satisfaire son partenaire assis sur son siège. Ce dernier lui tapote la tête et apprécie le geste, les yeux flous sur l’écran du cinéma. Tout en bas à droite, un couple entre aux toilettes. Je décide de chronométrer le temps qu’ils y resteront. Ils ne ressortiront qu’un bon quart d’heure plus tard, ce qui est bien loin du simple besoin organique. Une lumière en bas. C’est la lampe torche de notre ami le placeur. Un couple est arrivé et monte pour s’asseoir juste devant nous. Le garçon a un sachet dans lequel il semble avoir diverses victuailles et boissons. Ils sont donc là pour longtemps, comme à la maison. Sa partenaire est arrivée avec un objet étrange emballé dans un sachet. On comprend quand elle prend place ; c’est un coussin, qu’elle dispose entre elle et le siège. La question est évidente ; lavent-ils les sièges après chaque séance d’amour ? Probablement pas ou peut-être à la fin, quand la série de films qui tournent en boucle s’arrêtent vers 18 heures. Une fille que j’avais vu sortir au début avec un garçon vient d’entrer à nouveau dans le cinéma, avec un autre garçon. Fait-elle ça pour de l’argent ? Le placeur se lève une nouvelle fois avec sa torche, sans rien dire. L’ambiance, malsaine au début, commence à paraître normal. Les couples s’amusent, rient quand ils ne font pas l’amour et discutent, comme à la maison. Quelques uns se connaissent et s’interpellent de loin, s’offrant une cigarette ou une canette de quelque breuvage. Ma partenaire est maintenant complètement détendue, comme tout le monde dans la salle. Tout a l’air tranquille. On s’embrasse et s’enlace encore pour que je puisse observer. Ça nous plait. Elle se baisse. Comme à la maison.

ENTREE ET SORTIE LIBRE

Les films tournant en boucle sans entracte ni lumière allumée bien sûr, on entre et on sort comme on veut dans la pénombre. A n’importe quel moment. Le temps de voir un couple de deux garçons sortir et éveiller ma curiosité (des couples homosexuels ?) et le film se termine pour immédiatement laisser la place à un autre qui s’enchaîne à la seconde près. Trois quarts d’heure de présence, nous décidons avec ma copine de sortir, ayant accompli ce que nous avions à faire. Nous sortons du cinéma et la fille se regarde dans un rétroviseur de voiture garée devant. Elle s’arrange les cheveux, moi aussi. Je la remercie doublement pour sa participation. On se quitte avec de grands sourires et se promet d’essayer le balcon une prochaine fois. Dehors, d’autres couples sont sortis et tentent de réarranger leurs mines et habits défaits. Il est tard, les derniers couples entrent pour de furtives étreintes. Je m’en vais, le sens du devoir accompli. Plus tard, mon rédacteur en chef refusera que je décrive ce qu’il s’est passé entre moi et la jolie papiche qui m’a accompagné au cinéma, me demandant de me contenter de décrire ce que j’ai vu, sans parler de ce que j’ai fais. D’accord. Il est 18 heures, Alger sombre sur les pentes du crépuscule qui s’annonce. Les filles de bonne famille rentrent chez elles au pas pressé. Moi non. Je repense à ce cinéma de l’amour obscur. Oui, j’ai oublié de parler du film. Je crois qu’il s’agissait d’un vague Jet Li contre le reste du monde.

Chawki Amari


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arti13
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Message non lu par arti13 »

Bah oui, c'est bien marqué dans le mien, pourquoi pas dans le tien ?
c'est de pire en pire ce disciple, au secours islamla, karim admn, venez m 'aider :D :D si cette insulte est marqué dans ton dico c'est que celui qui vendu, ta refourgué le dico des insultes en anglais et ta pris pour un con surtout.
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Message non lu par arti13 »

bonjour ma pute sionniste, ta vu jsuis poli tu pourrais dire bonjour toi aussi. :D

c un peu lon ton texte, mais bref que veux tu dire par cela ? que les gens s'aiment en algérie malgré tout ? et alors ? ais dis que c'était mal ? dis moi le fond de ta pensée meme si je sais que tu n'as pas de pensée.
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Message non lu par Disciple-du-Christ »

arti13 a écrit :c'est de pire en pire ce disciple, au secours islamla, karim admn, venez m 'aider si cette insulte est marqué dans ton dico c'est que celui qui vendu, ta refourgué le dico des insultes en anglais et ta pris pour un con surtout.
Je l'ai acheté en grande surface mon dico, imbécile.
Quand tu regardes dans le grand Larousse français, t'as bien les insultes en français, non ?
T'es trop bête...
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Disciple-du-Christ a écrit :
arti13 a écrit :c'est de pire en pire ce disciple, au secours islamla, karim admn, venez m 'aider si cette insulte est marqué dans ton dico c'est que celui qui vendu, ta refourgué le dico des insultes en anglais et ta pris pour un con surtout.
Je l'ai acheté en grande surface mon dico, imbécile.
Quand tu regardes dans le grand Larousse français, t'as bien les insultes en français, non ?
T'es trop bête...
Mias bien sur conard motherfucker c dans le dico attend je vérifie si g raison ca va etre ta fete rectum
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arti13 a écrit :Mias bien sur conard motherfucker c dans le dico attend je vérifie si g raison ca va etre ta fete rectum
Dans le mien c'est marqué, si t'as un dico de poche, çà ne sera surement pas marqué.
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Message non lu par arti13 »

Dans le mien c'est marqué, si t'as un dico de poche, çà ne sera surement pas marqué.
quel année ton dico ? et quelle édition, donne moi des précisions g pas trouvé dans les dicos ordinaires motherfucker et pourtant c'est pas des dicos de poche.

a propos j avais pas remarqué ta signature, efface la ou j'en mets une qui plus crasseuse et plus ignoble. :mad: :mad: :mad:
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Message non lu par Disciple-du-Christ »

arti13 a écrit :quel année ton dico ? et quelle édition, donne moi des précisions g pas trouvé dans les dicos ordinaires motherfucker et pourtant c'est pas des dicos de poche.

Larousse grand dictionnaire Anglais/français édition 99

arti13 a écrit :a propos j avais pas remarqué ta signature, efface la ou j'en mets une qui plus crasseuse et plus ignoble.
Je la trouve très bien ma signature.

Et toi Moez t'en penses quoi ?
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Message non lu par moez »

salut arti cherie,

je te dis salut pas bonjour on est entre nous mon arti chérie [smilie=kiss of love.gif]

a part les insultes et les propos a caractere sexuel tu sais t'exprimer autrement arti cherie ?
a part diaboliser le sionisme tu serais engager une conversation sans propos antisemite arti cherie ?

dommage que tu sache te montrer que de façon barbare ,heureusement il y a des algeriens qui sont respectueux ,tu devrais prendre model sur eux sur ce arti cherie bon week end
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Message non lu par moez »

Je la trouve très bien ma signature.

Et toi Moez t'en penses quoi ?
salut disciple ,

je me depeche car mon temps de parloir depuis ton incarceration est limité une seule visite par mois :lol:

j'ai pas compris ta signature si tu peux l'expliquer :idea:

bon courage dans ta prison et que D te benisse
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Message non lu par Disciple-du-Christ »

Moez a écrit :j'ai pas compris ta signature si tu peux l'expliquer

L'admin l'a supprimé parce que "trop intolérente".

Voilà ma superbe ancienne signature:

Brulons le coran,
Brulons les mosquées,
Brulons les voiles islamiques,
Boutons les baiseurs de chèvres hors de nos frontières.
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Message non lu par moez »

a la place de bruler il ne serait pas plus sage que les musulmans retirent eux meme les passages barbare ? :idea:
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Message non lu par Disciple-du-Christ »

Moez a écrit :a la place de bruler il ne serait pas plus sage que les musulmans retirent eux meme les passages barbare ?

Moi, je veux tout cramer. Que les versets coraniques de paix et versets barbares disparaissent.

A mort l'islam !
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Message non lu par moez »

tu aimeras ton prochain comme toi meme discipl tu ne peux pas dire une chose pareil :lol:
Image
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L'islam c'est pas mon prochain, c'est pas un être humain. J'ai parfaitement le droit de haïr l'islam.

Sus à l'islam !
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