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Le Coran ou le “Gendarme de la Mecque” !
David Belhassen·samedi 16 janvier 2016
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La lecture du Coran est déconcertante à plus d'un titre. Elle déconcerte en particulier toute personne ayant manié la plume ou la caméra.
Voici un scénario dans lequel l'ordre d'apparition des "scènes” et des “séquences" (que le Coran traduit par “sourates”) n'est guère dépendant d’un quelconque procédé cinématographique inhérent à la narration du film ou à sa mise en scène qu’elle soit chronologique ou par sauts de flash-back. Ce scénario fait également fi de contingences théologiques ou spirituelles, et encore moins littéraires ou rédactionnelles. Les 114 scènes-sourates sont tout simplement placées et numérotées selon un ordre plus ou moins décroissant, les plus longues au début et les plus brèves à la fin. D’où l’impression d’arbitraire, d’incohérence et d’absurdité totale lorsqu’on lit le Coran.
Imaginons donc un instant les rushs d'un film (un navet ?) réalisé par un novice. Pour ne pas aller à la catastrophe commerciale et à la faillite financière, le producteur a décidé de s'arrêter là. Il paye certes leurs honoraires aux acteurs, au réalisateur, et aux différents techniciens et intermittents du spectacle, mais il n'est pas question pour lui de débourser un sou à la salle de montage, pour un film auquel il ne "croit" plus.
Les années passent et puis un jour un braqueur surnommé Muhammad pénètre dans la salle de montage et découvre une malle remplie de bobines de pellicules déposées pêle-mêle et enchevêtrées. Zut ! Y'a pas de "flouze", se dit-il ! Déçu, le braqueur charge quand même la malle sur le dos de son chameau et l'enfouit sous sa tente. Et puis curieux, il ouvre la malle, déroule une des bobines et voit à la lueur du soleil les images négatives (donc à l'envers !) d'une scène érotique mettant en scène de jeunes éphèbes batifolant avec des houries déflorées et vierges éternelles.
Bigre, se dit-il ! Quelle aubaine ! Alléché, il s'inscrit vite à un stage de montage de films (subventionné par l'Etat ?) dont les profs sont des rabbins juifs et des moines chrétiens, et même des gourous d’une secte judéo-chrétienne. Après avoir appris les premiers rudiments du métier, il entreprend sous sa tente, fébrile devant son logiciel "Avid" (de Mackintosh ?), le montage des bobines de pellicule, avec l'intention ferme de s'octroyer la paternité et la propriété du film.
Mais encore une fois, zut ! Il y a un problème : le numérotage des 114 scènes du film et de ses "rushs" (indiqué par le célèbre petit clapet : "Moteur, silence on tourne" !), s'est… volatilisé ! Que faire ? Muhammad, le braqueur-apprenti-monteur, se lance alors à la recherche du scénario en se disant que son auteur a certainement numéroté les pages. Mais point de scénario ni de scénariste judéo-chrétien qui, envahi par la honte d'avoir "pondu" un tel navet, s'est exilé.
Laissé à lui-même, notre "héros" fait alors des essais de montage. A part le générique (Al-Fatiha (الفَاتِحَة), le prologue du Coran) dont il arrive à retrouver la trace, toutes les autres scènes s'embrouillent dans sa tête. Des kilomètres de pellicule s'amassent dans sa tente. Il coupe, colle, recoupe, recolle. En vain ! Diable, fulmine t-il, que voulait raconter le scénariste ? Quelle était la trame dramatique de son scénario ? Et quelles pouvaient bien être les intentions de mise en scène cinématographique du réalisateur ? Comptait-il faire usage d'artifices du métier comme le "flash-back", ou le "fondu" et le "flou artistique", ou encore de digressions en “super-impose", pour accroître l'impact dramatique des images.
Et le son ? C'est important le son dans un film, non ?! Certaines scènes devaient-elles être accompagnées de flute et de darbouka, de cris de guerre, et même de "voix-off" censés venir du Très-Haut et sublimer les pensées concupiscentes des protagonistes du film ?
Bref, notre braqueur en perd les pédales. Une terrible migraine le rend irascible. Il se met à insulter son entourage. Puis, pour se calmer, il prend un "joint" (ou un beuh de haschich ?). Et soudain, au travers des volutes de fumée du shit de Marijuana, lui vient une idée "géniale" : disposer les scènes selon l'ordre décroissant de leur minutage. Et ne croyez pas que cette idée lui soit venue d'un vulgaire compilateur. Nenni ! Elle lui a été directement soufflée - si j'ose m'exprimer de la sorte - par l'Ange Gabriel ou même par Allah en personne ! Hamdoulillah !
Juste pour le "kif", imaginons à présent un cinéphile en train de visionner une nouvelle version du film "Le gendarme à Saint-Tropez". Dans cette version inédite, les séquences sont disposées à la queue leu-leu, selon un ordre décroissant de longueur : le film commencerait par la longue séquence de chasse aux naturistes et se terminerait par la brève mutation de Cruchot au Var, en passant par les inénarrables engueulades de l'Adjudant Gerber. Il n'y comprendrait strictement rien ! De même, dans le montage du film imbuvable de Mahomet que tous nomment le Coran mais qu'il faudrait appeler "Le gendarme à la Mecque" : les premières séquences sont des longs et fastidieux récapitulatifs du Pentateuque et les dernières de brèves incantations contre les "Djins", tandis que la partie centrale censée développer la trame, n'est qu'une suite ridicule et incohérente de séquences ubuesques, d'élucubrations, de pérégrinations, et d'appels à zigouiller tous les mécréants.
Pourtant, le petit braqueur parvient tant bien que mal (plutôt mal que bien) à achever son chié-d'œuvre. Il l'envoie alors à ses anciens profs juifs et chrétiens. Ceux-ci se tordent de rire en se disant que décidément, ce Mahomet était leur élève le plus cancre de tous.
Humilié, le petit braqueur envoie son film à des "boites de distribution" mecquoises en leur spécifiant –pour les flatter– qu'il est sous-titré en arabe. Mais quelle salle de cinoche orientale voudrait projeter un tel navet, lui rétorquent-ils, alors qu'en comparaison le moindre péplum à la noix ou le dernier des westerns-spaghetti importés d'Italie, semblent des chefs d'œuvres du septième art !
Frustré et excédé par les refus successifs et les moqueries de tous, le braqueur apprenti-monteur fait appel à la cosa nostra médinoise (camouflée sous le nom d'un syndicat du genre CGT - Cons de Gauchos Tarés), en alléguant que c'est toute la "profession" des braqueurs-monteurs qui a été bafouée. La cosa nostra médinoise, composée de gangsters analphabètes, assoiffés de sang et armés jusqu'aux gencives de cimeterres, s'empresse évidemment à répondre affirmativement à l'offre de razzia !
Menés par notre petit braqueur-apprenti-sorcier, les "shahids" mafieux mahométans investissent alors les boites de distribution de la Mecque, occupent les salles de cinéma, décapitent leurs propriétaires légitimes, et s'emparent de leurs biens (après avoir fait disparaître tout document original compromettant). Puis, ils diffusent le navet dans le monde entier, non seulement en invitant toutes les bandes organisées de braqueurs ("Braqueurs du monde entier, unissez-vous dans la Oumma islamique !"), mais également en obligeant tous les habitants du globe à venir voir le navet, à l'applaudir, l'encenser et se prosterner, sous peine de mort !
Devenu désormais "l'étoile montante" des festivals palestiwoodiens et la coqueluche des medias gauchos-bobos occidentaux, Muhammad prend la “grosse tête” : Le "montage" de son Coran et la diffusion de son islam ont grugé plus d'un milliard d'adeptes aliénés qui, de leur vie, ne sont jamais allés au cinéma voir ce que c'est qu'un bon film. Juste pour comparer…